« Au-delà des polémiques de toutes sortes, il nous appartient de faire vivre cette édition du Printemps des Poètes coûte que coûte, et de penser d'abord au public », déclarent les cofondateurs des éditions Doucey. Cette réaction intervient peu après l'annonce de la démission de Sophie Nauleau, directrice artistique du Printemps des Poètes.
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27/01/2024 à 12:21
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Le parrainage de la manifestation, confié à Sylvain Tesson, aura tenu en haleine durant près de dix jours, après qu’une tribune qualifiant l’écrivain d’« icône réactionnaire » réclamait sa destitution. Une saga qui s’enflamma quand, Libération officialisa le texte dans ses colonnes le 18 janvier, au lendemain de l’article que ActuaLitté avait publié. Soutiens et opposants s'affrontèrent dans la presse au fil des jours, jusqu'à cette étonnante décision de la directrice artistique, faisant part à l'AFP de sa démission, au coeur de la tourmente.
À LIRE - Tesson et le Printemps des poètes : Sophie Nauleau démissionne
Bruno Doucey, Murielle Szac et Ariane Lefauconnier, cofondateurs des Éditions Bruno Doucey réagissent avec un appel au collectif, reproduit ici dans son intégralité.
La tourmente dans laquelle le Printemps des Poètes se débat depuis quelques jours vient de conduire à la démission de sa directrice artistique, et cela à quelques semaines de l'ouverture officielle de la manifestation. Au-delà des polémiques de toutes sortes, nous tenons simplement à rappeler que nous devons avant tout penser au public. Celui qui chaque année depuis vingt-cinq ans se mobilise partout pour faire vivre la poésie.
Car cette manifestation est collective et participative. Sur tout le territoire des événements sont lancés, et des poètes sont attendus dans les hôpitaux, les écoles, les prisons, les médiathèques, les centres sociaux, les maisons de quartier, les théâtres, les cinémas, les universités, les EPAHD, dans les villes et les villages, en France, à l'étranger au-delà même des frontières du monde francophone. Il nous appartient de faire vivre cette édition, coûte que coûte.
À LIRE - Qui veut la peau de Sylvain Tesson ?
Parce que l'urgence de faire entendre la poésie dans un monde qui va si mal est chaque jour un peu plus vitale.
Comme tous les ans, et en toute indépendance, tant éditoriale que finacière, nous publions une anthologie qui rassemble les voix des poètes autour du thème choisi pour le Printemps des poètes. Cette année ecore Bruno Doucey et Thierry Renard ont réuni 118 poètes venus de tous les horizons pour ouvrir et déplier le mot Grâce avec sa richesse de significations qui échappe à toute simplification.
À LIRE - “Il faut être un idiot majuscule pour écrire de la poésie”
Des extases érotiques, à l'engagement en passant par la défense de la nature ou la spiritualité pour ne citer qu'eux, les multiples sens de ce mot appellent à le célébrer, envers et contre tout.
Quant aux poètes que nous publions, ils sont plus que jamais mobilisés pour faire entendre partout la voix de la poésie, en ce moment privilégié où elle entre dans des lieux qu'elle ne fréquente que rarement.
« Merci aux paroles qui nous ancrent dans le terreau de nos vies, aux poèmes qui nous inventent l'envol et l'au-delà des mots. »
– Michel Baglin
Nous ne formulons désormais qu'un souhait : que les événements qui agitent le milieu de la poésie ne sonnent pas le coup de grâce d'une manifestation qui a plus que jamais sa raison d'être. Dès l'origine il s'agissait d'ouvrir la porte de la poésie au plus grand nombre, de la rendre enfin au public. Chiche, on ne lâche rien ?
Crédits photo : Le Printemps des poètes
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Joyeux anniversaire, Lou ! L’héroïne créée par Julien Neel souffle ses 20 bougies, un cap exceptionnel que « peu de séries BD franchissent », selon Nicolas Forsans, son éditeur actuel. Avec 3,4 millions d’exemplaires écoulés, la série, qui a évolué au rythme de ses lecteurs, continue de s’imposer comme un incontournable à chaque nouvelle parution. Mais quel est le secret de cette longévité ? Histoire d’un véritable phénomène générationnel.
16/12/2024, 16:55
Depuis 2008, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême (FIBD) est organisé par la société 9e Art+, après délégation par l'Association du FIBD. Une histoire partagée, jalonnée de polémiques quant à la gestion de l'argent public, aux choix artistiques et aux résultats de la manifestation. En 2025, l'association aura la possibilité de dénoncer le contrat avec la société, mais Delphine Groux, sa présidente, évoque plutôt une réflexion autour d'« un projet en interaction avec 9e Art+ ».
16/12/2024, 10:36
Depuis les annonces de coupes budgétaires réalisées par la présidente du conseil régional, Christelle Morançais, le secteur de la culture en Pays de la Loire est en sursis. Parmi les structures inquiétées, la revue et la maison d'édition 303, qui pourrait voir 40 années d'activité et de création balayées par une simple décision... Cette institution ligérienne appelle au soutien dans une tribune, reproduite en intégralité ci-dessous.
16/12/2024, 09:31
Depuis 25 ans, l'association Lire et faire lire œuvre pour transmettre aux jeunes le plaisir des livres et des mots. Elle propose des séances de lecture à voix haute, animées par des bénévoles de plus de 50 ans, créant ainsi des moments d’échange intergénérationnel riches et précieux. À l’occasion de ce 25ᵉ anniversaire, nous avons invité six bénévoles à témoigner de leur expérience. Joël Billaut, ancien consultant, a accepté de répondre à nos questions.
13/12/2024, 18:11
La controverse entourant Kamel Daoud et son roman Houris, prix Goncourt 2024, s'inscrit dans les débats sur la guerre civile algérienne. Cette œuvre serait la première à avoir bravé l'interdit et brisé le tabou du récit... Sauf que ce thème a déjà été abordé par nombre d'écrivains algériens, souvent des femmes. Et ce, malgré La charte pour la paix et la réconciliation nationale d'Algérie.
13/12/2024, 12:23
Pas encore voté mais déjà amplement discuté, le budget prévisionnel de la région Pays de la Loire pour 2025 entend réduire considérablement les dépenses publiques pour la culture. Un choix politique qui risque de coûter cher aux travailleurs du secteur, mais aussi aux habitants et, plus largement, à tout le territoire, pointe la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse dans un texte reproduit ci-dessous.
13/12/2024, 11:45
Dans le cadre du 25e anniversaire de l'association Lire et faire lire et pour accompagner cet anniversaire nous sollicitons 6 bénévoles dans la France pour avoir leur témoignages qu’on pourra ensuite présenter sur notre journal. À l'occasion de cet anniversaire, nous avons sollicité six bénévoles. Sylvie Allo, ancienne professeur d'anglais, a accepté de répondre à nos questions.
12/12/2024, 16:08
L’arrestation de Boualem Sansal est une épreuve pour tous ceux qui croient en la liberté d’expression, non pas parce que nous partageons ses prises de position, mais précisément parce qu’il est possible de s’y opposer. La liberté d’expression ne saurait être sélective : elle s’applique à tous, y compris – et surtout – à ceux avec qui nous sommes en désaccord. Elle est le socle indispensable de toute société prétendant à la justice.
12/12/2024, 11:28
Depuis un quart de siècle, l'association Lire et faire lire s'engage à cultiver l'amour des livres et des mots chez les jeunes. Elle organise des séances de lecture à voix haute, tenues par des bénévoles âgés de plus de 50 ans, offrant ainsi des moments d'échange intergénérationnel enrichissants. Pour célébrer ce 25e anniversaire, nous avons invité six bénévoles à partager leur expérience. Noëlle Boussiron, ancienne infirmière puéricultrice, et grande lectrice, a répondu à notre invitation pour un entretien.
10/12/2024, 17:04
48 Commentaires
Fab
27/01/2024 à 13:23
Quand la Grâce se mue en garce c'est la disgrâce...
jocdrou
28/01/2024 à 05:34
"Quand la Grâce se mue en garce c'est la disgrâce..."
C'est un peu faible, facile, voire paresseux de votre part. Les attaques envers Sylvain Tesson sont entièrement gratuites et ne peuvent que nuire à l'expression même de la poésie qui s'enferme souvent dans les tours d'ivoire.
Fab
28/01/2024 à 14:59
Oui, c était vraiment tentant mais vous avez fait une mauvaise interprétation de cette mauvaise rime...
Gracieusement
jocdrou
04/02/2024 à 19:04
Mauvaise rime, sans aucun doute.
Joce B.
29/01/2024 à 17:16
Entièrement d'accord
Michel
29/01/2024 à 19:41
Oui je pense que c'est un peu facile de ne pas commenter, de faire un pas de côté "l'importance c'est le public"? la poésie ? et les attaques? fondées ? ou pas!!!.c'est quoi ce milieu. je retourne à mes centaines de livres de poésie et des très très nombreux DOUCEY,un peu de courage
Jasper the disaster
28/01/2024 à 13:00
Et quand besson rencontre Tesson, on est bon pour la guerre des boutons ! Vous en avez d'autres comme ça ?
Anjo
28/01/2024 à 14:07
Comment ne pas être d'accord? "Si j'étais poéteu, je serais ivrogneu, j'aurais un nez rougeu, une grande boïteu, où j'enfilerais plus de cent sonnets, où j'enfilerais mon oeuvré complet. " Boris Vian
Pierre la police
28/01/2024 à 14:48
Ce commentaire a été refusé parce qu’il contrevient aux règles établies par la rédaction concernant les messages autorisés. Les commentaires sont modérés a priori : lus par l’équipe, ils ne sont acceptés qu'à condition de répondre à la Charte. Pour plus d’informations, consultez la rubrique dédiée.
Pierre la police
28/01/2024 à 15:23
Halte à la censure ! Comme Sylvain Tesson, je fais partie des réprouvés, des ignifugés et des calomniés.La France de Marcellin revient !
Printemps des ventes
28/01/2024 à 15:44
Et oui, il va falloir la vendre cette nouvelle anthologie des éditions Bruno Doucey ! Si le Printemps des poètes était annulé, ce serait dramatique... financièrement !!
Ann.2121
28/01/2024 à 18:43
Vil procès d'intention qui cache quoi ? Le désir éconduit d'être publié ? À tout hasard...
Printemps des ventes
29/01/2024 à 21:47
C'est un éditeur qui publie cette tribune. Il s'exprime depuis ce statut. Il défend ses intérêts... d'éditeurs. Des intérêts commerciaux liés, présentement, au Printemps des poètes.
Eric Dubois
29/01/2024 à 14:40
Je trouve ça débile d'écrire une ânerie pareille !
Aurelien Terrassier
28/01/2024 à 16:39
Malheureusement le Printemps des poètes 2024 risque d'être gâché par un écrivain réactionnaire proche de personnalités d'extrême droite.
Pierre la police
28/01/2024 à 17:00
Oui, et en plus s'il connait Depardieu et Yann moix et qu'ils ont été en Corée du nord ensemble, alors là, c'est la fin de tout.
Fab
28/01/2024 à 17:22
Et puis qui nous dit s'il n' à pas rencontré Vlamir Poutine dans sa cabane en Sibérie ???
Pierre la police
28/01/2024 à 17:31
Je pense en effet que votre question mérite d'être soulevée, vu les sympathies du personnage.
Fab
28/01/2024 à 17:20
Si A Rimbaud était toujours de ce monde, lui reprocherait-on ses commerces d'armes, peaux de bêtes...?
Eric Dubois
29/01/2024 à 14:39
hélas oui et il ne serait pas lu
Lulu Berlu
28/01/2024 à 20:11
Je me demande sincèrement si vous n'êtes pas un robot, monsieur Terrassier.
Aurelien Terrassier
29/01/2024 à 11:04
Lulu Berlu Je suis tout sauf un robot et vous êtes un fan de Sylvain Tesson sous pseudo qui étale sa mauvaise foi en quelques mots et qui n'aurait que d'autres arguments que ceux des neo-reacs supplétifs volontaires ou involontaires des militants d'extrême droite.
NAUWELAERS
29/01/2024 à 02:54
Aurelien Terrassier,
Les vrais écrivains sont libres et planent au-dessus des viles tentatives de censure de petits commissaires du peuple à la manque.
Foutez-nous la paix avec vos obsessions politiques qui nous les brisent !
Vous pouvez vous en prendre à Baudelaire ou Chateaubriand, tant qu'à faire, qui n'étaient pas des militants de gauche ?
Tout cela est affligeant de bêtise et de médiocrité rance.
Et le Printemps des poètes, à maintenir, ne concerne pas que le seul Tesson mais des foules d'auteurs et d'autrices.
Ce que les pisse-vinaigre de la tribune anti-Tesson omettent sciemment !
CHRISTIAN NAUWELAERS
Thomas
29/01/2024 à 09:35
"Social media made y'all way too comfortable with disrespecting people and not getting punched in the face for it." - Mike Tyson
Aurelien Terrassier
29/01/2024 à 11:02
Christian Nauwelaers Ce que vous dîtes est trop facile et cela relève aussi d'une profonde malhonnêteté intellectuelle. Tout comme dans le cinéma, beaucoup de films industriels sont politique mais de manière subtile et sublimal de manière à mieux faire avaler la pilule à un public parfois berné qui réduit souvent l'artiste à une star du show-biz! Dans le cas de Sylvain Tesson, il fait passer depuis des années des idées réactionnaires sur la prétendue disparition de la civilisation occident judeo-chretienne et des propos xénophobes sur les migrants et islamophobes en stigmatisant les musulmans. Ses amitiés dans le passé avec des figures d'extrême droite comme Jean Raspail et Dominique Venner ne sont plus à prouver. L'art et être romancier n'excuse pas tout et la défense de Sylvain Tesson est je trouve pathétique et il ne va pas non plus renier parmi ses soutiens, ceux d'extrême droite.
Philippe Braunstein
29/01/2024 à 11:39
Bravo, monsieur Nauwelaers, vous au moins, vous savez remettre tous ces médiocres à leur place. Vous semblez savoir ce qu'est la poésie et je me réjouis de trouver en vous un être éclairé au milieu de tous ces frustrés qui ne connaissent rien aux difficultés des gens de lettres. Confraternellement, p. Braunstein.
Aradigme
29/01/2024 à 10:08
Bonjour Aurélien Terrassier,
J'estime au contraire que ce qui risque de gâcher le Printemps des Poètes, c'est la pétition malvenue de quelque 1200 sectaires qui baptisent d'extrême droite quiconque ne pense pas exactement comme eux.
Salutations
Aradigme
Aurelien Terrassier
29/01/2024 à 13:08
Aradigme Votre commentaire ne m'étonne pas étant donner les idées très conservatrices et très à droite que vous défendez ici-même quitte à parfois un peu déraper aussi. Malheureusement si le Printemps des poètes risquerait d'être gâché si un écrivain réactionnaire tel que Sylvain Tesson invité dans les émissions du service public comme un chanteur de variété ou un grand acteur de cinéma venait le parrainer. Les signataires en ont marre de cette omerta! On peut être de droite libérale ou gaulliste et ne pas banaliser ou légitimer des idées d'extrême droite fort heureusement. On peut être de droite je pense et trouver Sylvain Tesson réactionnaire et quelque peu islamophobe et xénophobe de par certains de ses écrits, fort heureusement aussi!
Eric Dubois
28/01/2024 à 18:38
Il ne faut pas que le Printemps des Poètes disparaisse ! Depuis 25 ans, le Printemps des Poètes a servi de loupe pour nos lectures, nos spectacles, nos scènes ouvertes, il faut que cela continue ! Poètes, vous voulez qu'on se retrouve comme avant l'an 2000 dans le presque anonymat et l'invisibilité ? Non ?
Eric Dubois
Un poète, un blogueur, un revuiste
Samuel
28/01/2024 à 21:22
OUI !
Poésie toutes saisons
31/01/2024 à 16:19
Le Printemps des poètes n'est qu'une vitrine institutionnelle totalement ringarde. Celles et ceux qui charbonnent toute l'année la poésie (dont je fais partie), auprès d'une multitude de publics, n'en n'ont aucunement besoin. La poésie c'est tout le temps, partout et pour tout le monde.
sylvie podevin
05/02/2024 à 10:29
Je suis d'accord avec vous. Ce qui me semble étrange c'est de considerer Sylvain Tesson comme un Poète, je me fous qu'il soit de droite mais ce n'est pas un poète.
Marie
11/02/2024 à 17:20
Si, c'est un véritable poète. Lisez "Avec les fées" et vous en serez convaincue.
Michel
28/01/2024 à 20:15
Bilan comptable.
Au passif :
- une dame, qui n'avait pourtant pas démérité, a perdu son travail.
A l'actif :
- la gauche, et autres envieux animés de passions tristes, sont décrédibilisés à jamais ;
- et surtout on n'a jamais autant parlé de poésie depuis longtemps.
Car "qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi !" (Léon Zitrone)
Palbou
29/01/2024 à 04:34
"Vive la poésie" veux aussi dire "que vive la poésie... que la poésie soit vivante..." car elle est comme la vie.... Avec ses bons, ses mauvais moments ! Mais à la fin des fins... de cette vie qui va... on espère/préfère ne se souvenir que des bons moments... !
J'ai dejà dans ma besace le beau livre des "115 poètes d'aujourd'hui" qui s'appelle cette année "Ces instants de grâce dans l'éternité". La couverture, par Gérard Titus-Carmel, est magnifique, et le panel des auteurs publiés enthousiasmant ! Qu'on se le dise !!!
Lorenzo parrinello
29/01/2024 à 10:13
Qu'est qu'on lui répproche a ce malheureux Silvain Tesson ? De faire l'aventurier de service ....
Remy Delatour Dupain
29/01/2024 à 11:06
"Quand j'entends le mot poésie, je sors mon bulldozer."
Francis Bouygues
Désir de livres
29/01/2024 à 11:59
Bravo ! Et merci de revenir à l'essentiel : faire résonner la poésie dans toute sa beauté et sa diversité - plus que jamais nous en avons besoin.
Mescalito
29/01/2024 à 14:16
Oui place à la poésie
J'aime Sylvain Tesson autant que Marcelle Delpastre et Laura Vasquez
Mescalito
29/01/2024 à 14:16
Oui place à la poésie
J'aime Sylvain Tesson autant que Marcelle Delpastre et Laura Vasquez
adnstep
29/01/2024 à 15:32
« Les ratés ne vous rateront pas » Bernanos, conservateur/catho/réac.
adnstep
29/01/2024 à 15:37
C'est tout de même nouveau, dans ces milieux, que certains osent tenir tête à l'intelligentsia gauchiste.
Chorfi
29/01/2024 à 16:11
Au lieu de lire les romans de gares de Sylvain Tesson lisez plutôt mon avant dernier livre qui s intitule merde à Dieu ! Livre de 801 pages ouvrez votre cerveau Erik Chorfi le poète ex Fayçal Chorfi
Fleury Marilou
31/01/2024 à 07:18
Je pense qu'il est vital et encore plus nécessaire que jamais dans notre monde désorienté de maintenir ce lien avec la poésie qui nous ramène vers des impressions intimes, singulières et profondes de notre humanité. La beauté , la grâce, l'éphémère existent . Ce regard là même s'il ne sauve pas le monde, ouvre, et requestionne les frontières de nos certitudes .
Jean Bave
01/02/2024 à 13:09
En poésie comme en agriculture, tout se termine sous la terre.
Sim (1926-2009)
adnstep
02/02/2024 à 00:37
« La plupart des écrivains sont de vrais écolos : ils ne laissent aucune trace. »
Je vous laisse deviner l'auteur.
Jasper the disaster
04/02/2024 à 12:42
L'auteur est Tesson et ce que vous citez est le triste reflet du personnage méprisant et enflé de lui-même qu'il est, personnage dans lequel se retrouvent toutes les personnes qui ont peu prou raté leur vie et admirent Tesson de leur canapé. Visiblement, il y en a un paquet ici.