La littérature française est riche d’innombrables récits tirés de l’Antiquité grecque ou romaine. Sans remonter aux Aventures de Télémaque, nous avons tous lu La Venus d’Ille de Mérimée et son cruel dénouement, Gautier et Arria Marcella, Dumas et sa sulfureuse Acté et bien entendu Salammbô dans lequel Flaubert, de son aveu même, voulut appliquerà l’Antiquité les règles du roman moderne. L’Antiquité comme décor fabuleux et comme recueild’exemples politiques, mais aussi l’Antiquité onirique, féroce et sensuelle dont les jeunes latinistes découvraient avec ébahissement qu’elle reposait, au sens chrétien, sur une immoralité sans limite. Par Antoine Cardinale.
Publié le :
05/12/2021 à 09:00
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Cette approche est au demeurant peut-être celle qui nous explique le mieux Amour étrusque, illustré dans l’édition de 1898 que j’ai entre les mains, de vignettes d’un érotisme très fin de siècle. C’est cette approche que déchiffra Freud — qui aima tant l’Italie, qu’il connut d’ailleurs à peu près au moment où J.H. Rosny écrivait son roman — et dont la pensée, qui devait devenir la psychanalyse, se précisa en lisant Gravida, fantaisie pompéienne de Wilhelm Jensen : le phantasme — représentation imaginaire, nous dit Larousse — est le désir même, dont l’accès est barré par l’interdit qui provoque la transgression et enfin la sanction… C’est la progression de bien des romans, depuis Tristan et Iseult, et les écrivains en ont deviné la richesse dramatique : c’est aussi le fil d’Amour étrusque.
La vie et l’œuvre de Joseph Henri Boex
Des frères Rosny (Séraphin Justin François Boex selon l’état civil, est son cadet) Joseph Henry Honoré est l’aîné, et selon le jugement de leurs contemporains, le mieux doué des deux frères. Leur collaboration sous le nom de J-H Rosny durera jusqu’en 1908 et ils signeront après cette date leurs propres livres sous le pseudonyme de JH Rosny aîné pour l’un et de JH Rosny Jeune pour l’autre.
Joseph Henry avait néanmoins, avant la séparation, emprunté d’autres pseudonymes comme celui de Jacques Soldanelle ou d’Enacryos afin de publier de son côté. Ces pseudonymes lui permirent de signer une série de romans antiques dont la mode ne lui appartient pas, comme nous le rappelions en préambule et qui ont pour titreBérénice de Judée, Les aventures de Setné ou La Flûte de Pan. Amour étrusque appartientdonc à l’œuvre d’Enacryos. Ce court roman parait en1898 : c’est une date importante puisque paraissent cette année-là L’art religieux en France d’Emile Mâle et La Cathédrale de JK Huysmans.
Comme on le sait, Edmond de Goncourt, dans son testament littéraire, les nomma dans son Académie, et dans les délibérations du prix Goncourt, les deux frères prirent la résolution, pour éviter de faire basculer les scrutins, souvent serrés, car les jurés se comptent au nombre de dix, de toujours voter pour un auteur différent. Exception il y eut, et elle fut de taille : ils votèrent tous les deux pour Marcel Proust en 1919 pour L’ombre des jeunes filles en fleur et décidèrent en effet du scrutin. Ajoutons une remarquable longévité littéraire puisqu’ils se succédèrent pour présider l’Académie Goncourt de 1926 à 1945 !
Venu du réalisme social, dont il ne s’éloigna jamais, il JH Rosny aîné fut inspiré par l’Antiquité et les grands textes des civilisations extraeuropéennes. Mais c’est à ses romans préhistoriques ou primitifsque Rosny l’Aîné doit de demeurer dans l’histoire littéraire. On ne présente plus La guerre du feu, mais on connaît moins Les Xipéhuz. Dans leur œuvre de science-fiction — ce merveilleux scientifique que Hervé Bel a remarquablement présenté il y a quelques semaines dans une de ses chroniques — on peut citer Les Navigateurs de l’infini ou La Mort de la Terre, qui narre en réalité l’extinction de la race humaine. Rosny s’était donné pour mission d’explorer ce qu’il appelait le mystérieux demain ; il ne s’est pas interdit, pour notre plus grand plaisir, d’explorer le Passé.
Amour étrusque est dédié à Édouard Guillaume, éditeur original, qui rêva de retrouver la beauté du grand art de l’édition, celui des grands maîtres imprimeurs du passé par le procédé nouveau de l’impression plane, en s’annexant les ressources du marketing moderne — il proposera à ses clients un meuble réalisé sur l’exacte mesure de ses collections intégrales ! JH Rosny gagnait sa vie comme secrétaire de rédaction chez Édouard Guillaume. Il était spécialement chargé d’explorer des domaines littéraires peu connus, contes hindous, persans ou chinois et de les adapter pour son éditeur.
De JH Rosny aîné, Jacques Chastenet dira qu’il fut un écrivain dont les hautes conceptions et la vaste curiosité souffrent d’être exprimées en jargon. Il est vrai, les images s’entrechoquent parfois dans un styledéconcertantet dans des dissonances qui doiventdavantage à Lautréamont qu’à Émile Zola : Sa peau semblait un lit de sable étincelant, ses yeux des torches sous la forêt. Oui, vous avez bien lu : des yeux comme des torches sous la forêt. Ou bien, « Son être se retourna, comme un firmament de nuages » ; ou encore, pour rester dans le genre aérien : « la silhouette ennuagée ».
Rémy de Gourmont, illustre contemporain, le classa parmi les anarchistes. Et il est vrai que Rosny écrivit des romans dans lesquels il met en scène les milieux anarchistes, avant la grande vague de ce qu’on nommera le terrorisme noir.
Mais davantage que la politique, Rosny est animé d’une vision philosophique. D’un côté les forces de la science et du progrès qui aspirent à rendre l’homme à la beauté et au bonheur ; de l’autre les forces rétrogrades qui maintiennent l’humanité dans les fers de la misère, de la frustration et de la violence. On le verra, cette thématique n’est pas absente d’Amour étrusque.
Les Fables antiques et autres récits érotiquesde JH Rosny ont été republiés chez Biblioblog, avec une préface de Fabrice Mundzick. L’auteur de ces lignes n’a pas été en mesure de vérifier si Amour étrusque figurait dans ce recueil. Le roman est par ailleurs disponible en ebook.
Ces étranges Rasènes
Rouvrons nos livres d’Histoire. Les royaumes étrusques prospéraient en Italie, accoutumés d’être sur cette terre mille ans avant la fondation de Rome, nous dit Rosny. Jusqu’en 509 avant notre ère ils donnèrent même des rois à Rome, avant d’en être expulsés et de subir un lent déclin sous la poussée romaine. En 264 avant notre ère tomba la dernière cité étrusque, Volsinii. Mais le peuple étrusque continua à exister et supporta avec impatience le joug romain. À la fin de la République encore, nombre de villes des défunts royaumes étrusques durent être durement ramenées à raison. Nous devinons sous la plume des historiens romains que ces histoires de cités rasées, de populations déportées, de propriétés confisquées, eurent quelque chose à voir avec un expansionnisme sans pitié exercé aux dépens de ce peuple. Impitoyable revanche, car bien avant Rome ils unifièrent l’Italie du Pô jusqu’à la Campanie : mais le cœur de la civilisation étrusque battait en Ombrie, dans le Latium et la Toscane. Les Grecs les connaissaient sous le nom de Tyrsennoï, nom qui survit dans la mer Tyrrhénienne, les Romains sous celui de Tusci, dans lequel nous reconnaissons les Toscans et enfin eux-mêmes se nommant Rasenas, les Rasènes, vocable que d’ailleurs Rosny cite avec justesse, mais qui ne se déversa dans aucun mot de la langue italienne. Les Étrusques sont l’illustration terrible de l’histoire des peuples disparus.
Les historiens anciens ne les ignorent pas totalement, et Tite-Live voyait en eux un peuple profondément religieux, l’empereur Claude, nous dit Suétone, écrivit en vingt livres une histoire des Étrusques. Leur panthéon nous est connu. S’ils partageaient des dieux avec les Romains, comme Mar (Mars), Nethuns (Neptune) ou Satres (Saturne) ils adoraient des divinités aux noms étranges qui n’appartiennent qu’à eux : Athrpa, Culsu ou le repoussant Tuchulca.
Ajoutons que les Étrusques sont un peu le thermomètre idéologique de la recherche historique en Italie. L’étruscologie fut prudemment mise en veilleuse pendant l’ère fasciste, car l’histoire de ce peuple offrait une diversion au roman national du peuple romain conquérant. Après la guerre en revanche, la recherche fut réveillée par une idéologie de gauche, pour des raisons inverses et symétriques, puisque les Étrusques proposaient une autre histoire italienne, nourrie d’apports grecs et orientaux, primordiale, alternative, et un récit « débranché » à la fois du militarisme romain et de l’héritage catholique.
La documentation de Rosny est sûre, mais jamais envahissante. Il connaît leurs mœurs et nous invite dans leurs maisons et à leurs banquets, il n’ignore ni leurs rites ni leurs sépultures, et lorsqu’il évoque ces têtes aux yeux de rêve, on comprend qu’il a beaucoup vu ces figures étranges dessinées sur leurs poteries.
On peut voir et rêver à ce monde disparu dans les musées de Volterra, de Tarquinia, de Pérouse et à Rome même, on a reconstitué, dans la villa Giulia dont on doit les plans à Michel-Ange et à Vignola, et qui est devenue le musée étrusque de la Ville, un temple étrusque complet, avec ses colonnes peintes, ses antéfixes et ses acrotères. Dans les vitrines muséales s’alignent des urnes à la forme parfaite et au dessin léger, coupes sur lesquelles s’inscrivent lignes simples ou doubles, entrelacées, droites ou ondulantes, olpés, tasses à godrons, œnochœ au vernis habile donnant l’apparence du métal mat, canthares aux décorations à figures noires ou à figures rouges, objets domestiques ; mais aussi objets votifs, vases canope et urnes tirés des vastes nécropoles d’un peuple qui semble fasciné par l’au-delà.
Vers 1900, l’Antiquité revenait à la mode. Combien a-t-on écrit alors de soties, d’opéras et de ballets, de sonnets : Danses et airs antiques, Le sacrifice au Temple, Ballet des hétaïres, Antoine et Cléopâtre, Les larmes d’Ariane ou Le rêve d’Actéon
L’après-midi d’un faune est donné en 1912 dans lequel Nijinski mima la vivacité du désir avec un réalisme qui scandalisa ; puis l’année suivante le Sacre du printemps, dont le tableau final porte comme titre Le sacrifice.
Les amateurs les plus fortunés construisent alors des villas dans le goût grec comme la villa Kerylos à Beaulieu ou dans le goût romain comme la villa Florus à Sorrento — je recommande dans le genre antique The last of the Tenth Legion, écrit par William Waldorf Astor.
Dans Amour étrusque, on peut être sensible à l’opposition qui se dessine nettement entre la jeunesse, insouciante, passionnée, et enfin rebelle d’une part, et d’autre part le vieux monde, celui des notables et des prêtres, le cœur sec, et qui ont l’âme aussi vide que leur bourse est pleine. Le roman est publié en 1898 et bientôt on se passionnera pour les nouvelles générations. Comme l’Antiquité, la jeunesse devient à la mode. Bergson écrit L’évolution de la jeunesse actuelle m’apparaît comme une sorte de mirage. Paraissent alors d’innombrables Enquêtes sur la jeunesse, la première, retentissantes, sous la plume d’Henri Massis, la seconde sous celle d’Emile Henriot — on mènera même une Enquête sur les jeunes filles. Un historien a même soutenu que la jeunesse, en tant qu’objet sociologique, naquit dans ces années-là. Rosny a traduit Giovanni da Porto et son Histoire de deux nobles amants, qui est la source — avec Bandello — du Romeo et Juliette de Shakespeare : la jeunesse et l’amour assassinés dans un monde déchiré par de vieilles querelles, c’est malgré tout un motif très ancien.
Un homme et une femme
L’histoire se déroule sous Vespasien, qui régna entre 69 et 79 de notre ère. Un jeune homme, Dyonis, que la ruine de sa famille, riches négociants de Syracuse, a jeté sur les routes, connaît la dure condition du vagabond, ne gagnant son pain qu’en faisant sonner sa flûte dont il joue avec virtuosité. À bout de forces, il s’endort au bord du Volturne, au cœur de la Campanie. Sa beauté autant que sa détresse émeuvent une jeune fille qui surprend son sommeil. Elle ramène le pauvre hère à Tarao, riche maître-potier de la cité de Veïla, et dernier descendant des lucumons, ces rois et grands-prêtres qui présidaient aux destins du peuple étrusque, et dont la forêt ciminienne fut aussi redoutable aux légions romaines que trois siècles plus tard les forêts de la Germanie. Car Dehva, c’est le nom de la jeune fille est la petite-fille de Tarao et elle va concevoir des sentiments profonds pour le jeune exilé, que celui-ci lui rend passionnément. Mais Dehvha est une vestale de Diane-Etrusque, et briser ses vœux de virginité est un crime puni de la plus lourde sentence, pour elle comme pour son tentateur. Tarao, bon et sage, va donner à Dyonis la chance de devenir potier, d’apprendre les secrets de l’ébauchoir et du tour, de rechampir et d’orner, de veiller aux cuissons précises dans les cheminées closes. Et surtout de donner au jeune homme la chance de devenirun citoyen adoptif de la petite cité étrusque, car le monde antique ne conçoit pas de malheur plus grand que d’être sans patrie. Mais Flavia, la belle et sensuelle Ombrienne, esclave du riche et vieux Licinius n’est pas insensible au charme de Dyonis et elle n’est retenue par aucun vœu religieux…
Transposons un instant cette histoire : un fils de famille ruiné est jeté sur les routes, n’ayant que ses talents de musicien pour échapper à la mort de faim. Recueilli par un riche et honnête entrepreneur, il se voit offrir une chance de vie et un nouveau foyer — Le travail lui refaisait une patrie écrit le romancier. Une tendre et chaste idylle se noue avec la fille adoptive de son bienfaiteur, vouée à la religion. Mais la sensuelle et délaissée épouse d’un riche bourgeois n’est pas non plus absolument indifférente au charme du jeune exilé…
Ce décalque de l’intrigue nous indique immédiatement que ce roman antique est la transposition d’un roman naturaliste, Rosny tord cependant le scénario en superposant le combat des forces telluriques qui opposent la tendre et amoureuse beauté de la campagne italienne avec la sombre forêt où les prêtres de Diane-Etrusque veillent et punissent, à celui des forces sociales qui opposent le progrès et la réaction.
Ce canevas qui se retrouve bien souvent dans les romans sociaux de Rosny comme dans sa science-fiction, comme dans les romans des âges farouches, se découvre naturellement dans Amour étrusque. Rosny ne montre d’ailleurs aucune naïveté dans cette vision de l’Histoire : L’injustice domine de toutes parts la justice, le bien est un enfant débile devant la colossale figure du malnous dit-il. S’il n’y avait la beauté, ajoute-t-il cependant, prodige de la vie, fruit étrange et comme anormal, le destin du genre humain, son passé et son futur, n’attirerait que le dégoût et le désespoir.
Amour étrusque veut nous montrer avec une sorte d’impartialité terrible les choix qui s’offrent à l’Humanité. D’un côté une société paisible, aux cadres définis, s’harmonisant à une nature magnifique, mais punissant tout écart aux règles tirées d’un code impitoyable mis dans les mains des prêtres ; de l’autre côté l’Homme et la Femme seuls, sentant leur désir de paix et d’amour comme un devoir sacré et un droit de nature, mais découvrant les risques et la grandeur de la liberté, défiant la religion et proclamant que l’homme est du monde la mesure véritable. Avant les libres penseurs, avant Rome, Périclès nous avertit qu’il n’est pas de bonheur sans liberté, et pas de liberté sans courage.
Un mot de style
Si l’on se penche sur le style, c’est d’abord à Salammbô que pense le lecteur. Le C’était au soir, à la lueur des torches, devant le temple de Diane-Etrusque qui ouvre le dernier chapitre d’Amour étrusque, emprunte évidement son rythme et sa couleur au « C’était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar » par lequel commence le chef-d’œuvre de Flaubert. Mais la ressemblance s’arrête là. Car la seconde phrase du maître de Croisset comporte quarante mots, celle de Rosny quinze.
Et la troisième phrase de Salammbô, si belle, si dépaysante : Les capitaines, portant des cothurnes de bronze… compte, si je ne me trompe, soixante-quinze mots. La phrase de Rosny, elle, est courte, d’une structure élémentaire, avec des coupes brutales. Son style mêle des brutalités à la réaliste avec des préciosités symbolistes ; conteur remarquable, il sait toujours donner un rythme formidable à son récit, et pour cela garde le souci de la couleur locale : Et beaucoup avaient de la pitié pour la vierge issue des lucumons.
Remarquons, ce qui nous fera revenir à la dette de Rosny à l’égard de Flaubert, que ce « Et » pour commencer la phrase, est une caractéristique dans lequel Marcel Proust voyait une des signatures stylistiques de Gustave Flaubert : En un mot, chez Flaubert, « et » débute toujours une phrase secondaire et ne termine presque jamais une énumération. Et c’est vrai, souvent Rosny imite Flaubert dans cette subversion grammaticale : la conjonction, ainsi que le voudrait le bon usage, au lieu d’ajouter un élément à une série, comme lorsque nous disons je prendrais volontiers du pain et du fromage, aspire au contraire, en commençant une phrase, à diriger pour ainsi dire le regard ailleurs, à divertir l’attention du lecteur sur un autre point du tableau ou sur un autre aspect du récit.
Un rêve passe
L’impression que laisse Amour étrusque est profonde et déroutante. À quoi rattacher la fascination qu’on en subit ? L’intrigue s’est déjà vue, les personnages sont un peu convenus et l’écriture appartient à son époque. D’où vient alors cette mélancolie, cette infinie tristesse, ce regret d’avoir quitté une Campanie d’il y a deux mille ans que l’auteur a imaginé pour nous, d’où vient-elle sinon d’une certaine puissance onirique par lequel il semble, en refermant le livre, qu’un songe a passé et qu’on aperçoive la tendre et terrible idylle dans la buée d’un rêve.
Une œuvre d’art, et la trace profonde qu’elle dépose en nous, possède des causes en partie manifestes ; certaines, moins évidentes, pourront être recherchées, trouvées, analysées et comprises, mais d’autres raisons resteront cachées, aussi insaisissables qu’agissantes. Le savant peut s’irriter de ces raisons cachées, mais pas le lecteur, qui a bien le droit appeler ces raisons cachées un enchantement.
5 Commentaires
PLINK
05/12/2021 à 11:23
J’ai adoré l’article qui me donne l’envie de découvrir ce livre et son auteur.
Juste une question : qui de l’auteur ou du typographe n’a pas suivi le cours de grammaire ( CE2) sur l’accord nom/ adjectif qualificatif ( amour/ étrusques)?🤔
Une professeur des écoles
Hélios en vrai
05/12/2021 à 16:53
Professeur un jour , pro de la fessée toujours...
Herrman25
06/12/2021 à 08:34
Très bel article et belle analyse qui donnent vraiment envie de lire le livre et de découvrir une nouvelle facette de l'auteur des Xipéhuz, de la Mort de la Terre et de la Guerre du feu qui ont enchanté mon adolescence.
Mamoun
07/12/2021 à 08:30
Ce bel article me remet en mémoire des écrivains aimés mais oubliés, il m'envoie à leur recherche, je vous en remercie.
Aradigme
10/12/2021 à 08:49
Merci pour cet article qui me fait découvrir une nouvelle oeuvre d'un auteur que je lus vers douze ans ("La guerre du feu", évidemment)