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Orléans de Yann Moix : Famille je te hais

ROMAN FRANCOPHONE – Enfance battue, roman d’humiliation, polémique familiale… Tout a été dit ou presque sur le dernier roman de Yann Moix paru chez Grasset il y a près de six mois. Autant dire une éternité. Mais si beaucoup ont écrit sur ce qu’est le livre, bien peu ont évoqué ce que le livre n’est pas, et pourquoi Moix est peut-être passé à côté d’un grand roman. Explications.

Le 01/02/2020 à 13:14 par Maxime DesGranges

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Publié le :

01/02/2020 à 13:14

Maxime DesGranges

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Il suffit de recopier in extenso le premier paragraphe d’Orléans pour reconnaître la qualité première du livre de Moix : sa capacité indéniable à nous faire goûter immédiatement, par la convocation des sens et ses effets de style, l’atmosphère des salles de classe que nous avons tous connues :

Le monde rouillait. Derrière la fenêtre, c’était l’automne. L’air jaunissait. Quelque chose d’inévitable se déroulait dehors : la mort des choses. La cour de récréation, mangée par une marée de pénombre, revêtait des reliefs alambiqués. Je ne reconnaissais plus l’univers. Dans la salle de classe, éclairée par des néons grésillants, j’éprouvais, dans la bouche, ou plus exactement au fond du palais, un goût d’amande et d’abri. Rien n’était urgent parmi les dessins, les chiffons tachés, les flacons, les pots, les pinceaux, les éponges mouillées, les grosses lettres aimantées au tableau noir, les motifs en papier kraft. Le contraire de la haine n’est pas l’amour, mais une fin d’après-midi orange, en novembre, dans une école maternelle.

Ça n’a l’air de rien mais, en matière de littérature française actuelle, quand on voit ce qu’on voit et qu’on entend ce qu’on entend, on a bien raison de penser ce qu’on pense, comme dirait Coluche. Or, l’entrée en matière d’Orléans, en comparaison avec ce qui se fait ailleurs, fait plutôt plaisir à lire.

L’emploi des couleurs, auquel je suis personnellement sensible, y est peut-être pour quelque chose : « L’institutrice, bleutée, portait un chignon. », « la lune, dans ce grand décor mauve et désolé, posait des rubans pâles. » Les oiseaux ne tournent pas dans le ciel mais dans « le bleu ». Ou est-ce la délicatesse de ces images : « Je rentrai tout couvert de nuit. », « Il s’exprimait, bégayant, à une terrifiante allure ; les mots prenaient dans sa bouche une sorte d’élan, puis, à l’instant de sortir, semblaient jouer des coudes les uns avec les autres, s’empêchant mutuellement d’éclore. », « je demandai au vent qu’il me nettoyât des immondices qui me recouvraient. »

Ajoutez à cela quelques partis pris assumés : un vocabulaire désuet (« ceux qui l’avaient lu n’en gardaient pas souvenance », « faire accroire », « je fis choir un yaourt » …) et l’emploi systématique des subjonctifs imparfait et plus-que-parfait (« j’eusse voulu aspirer toute cette lumière avec une paille », « sans que je le susse », « afin qu’ils épongeassent mon chagrin »…), voilà qui donne une vague idée générale de l’écriture moixienne, à prendre ou à laisser.

Trop beau pour être Moix

Tout, dans le style de Moix, n’est pas enthousiasmant non plus – et je ne parle pas là de ses chemises mal taillées et ouvertes trop largement. Quelques platitudes et errances lyriques malheureuses ponctuent le texte ici et là. Contentons-nous d’en relever trois : « Tout exhalait la solitude infinie de Dieu » paraît un brin excessif pour décrire une route départementale, quand bien même serait-elle plongée dans la nuit.

Ou encore, presque aussi gênant qu’un poème de Dominique de Villepin : « Parmi les galaxies, quand le monde humain ne sera plus, que Wagner ne se distinguera plus du silence, que les tragédies et les commotions se seront tues, que l’histoire sera scellée dans la crypte du néant, on distinguera peut-être le chant lamentable des enfants qui furent. »

Et enfin une idée aussi idiote que bien évidemment fausse : « Si nous retranchions du monde le Guernica de Picasso, le monde vacillerait. Supprimez une phrase, une seule, de Notre-Dame de Paris et tout s’écroule autour de nous, dans un tourbillon de cendres. » M’est avis que si nous supprimions ces deux phrases, ces deux seules, d’Orléans, rien ne s’écroulerait et la littérature s’en porterait tout aussi bien.

Mais allons, ne faisons pas la fine bouche : globalement, le style de Moix a tout de même une certaine tenue. Seulement, le style n’est pas une fin mais un moyen mis au service d’une structure narrative, d’une vision du monde, d’un point de vue sur les choses. Et c’est en cela, il me semble, que le roman de Moix ne va pas au bout de son sujet.

Émouvoir ne suffit pas

« T’as qu’à poster une photo de chat, ça marche à tous les coups », me conseillait cyniquement Annabelle, 10 ans, en haussant les épaules quand je lui demandais sa méthode pour avoir autant d’abonnés Instagram. À cet égard, le roman de Moix est un peu comparable à une photo de chat postée sur Internet : décrire une enfance maltraitée, « ça marche à tous les coups ». Qui pourrait y être insensible ? C’est un fait : la longue succession de scènes de violence et d’humiliations égrenées dans la première partie soulève une émotion indéniable chez le lecteur.

Certains épisodes serrent franchement le ventre, comme celui où le père abandonne son fils en pleine forêt pendant la nuit, pour la simple raison que l’enfant fait des cauchemars trop bruyants à son goût. Ou encore celui lors duquel le petit Moix, réveillé en retard, est forcé par sa mère d’aller en classe en pyjama et d’ingurgiter ses tartines et son Ovomaltine assis à son pupitre, sous les rires et les moqueries de ses camarades. Et que dire de celui où sa mère lui barbouille le visage de ses propres excréments, devant les amis de la famille installés au salon ?

Donc oui, on est touchés, mais j’ai envie de dire : encore heureux. Ce n’est donc pas l’émotion qui manque à ce livre, c’est, à mon sens, la profondeur familiale. À ce titre, Moix n’aurait peut-être pas dû adopter le point de vue de la victime. Ce dernier permet de convoquer l’empathie du lecteur, certes, mais elle empêche trop souvent de faire émerger la complexité des autres personnages. Et c’est toujours la complexité de l’humain, ses paradoxes, ses failles, ses contradictions, ses dilemmes moraux, mis en lumière et en récit par l’auteur qui conduisent à placer le lecteur face à lui-même, donc face à sa propre humanité, et non face à une situation qu’il observe de l’extérieur et, d’une certaine manière, le « désengage ».

Pas le sujet, ou hors sujet ?

Qu’entendons-nous exactement par « profondeur familiale » ? Plusieurs choses. D’abord, au-delà du fait que le père de Moix a indiqué dans une interview qu’il avait été martyrisé lui-même dans son enfance, ce qui pose la question toujours épineuse des anciennes victimes devenues bourreaux, on lit ce passage à propos du père, que Moix menace de frapper avec une pierre pour se défendre : « Quelques secondes plus tôt, il avait mis ses bras dans cette position que je connaissais si bien et qui consiste à protéger son visage à l’aide des coudes ; un réflexe qui ne m’a pas quitté et qui est la signature, reconnaissable entre mille, de ceux qui dans leur enfance ont dû parer la brutalité des adultes. »

Une porte entrouverte vers l’histoire paternelle que Moix, trop centré sur sa propre souffrance, ne prendra jamais la peine d’ouvrir, et les deux parents nous apparaissent finalement univoques, monolithiques. Certes, Moix indique qu’il a voulu écrire « un roman d’humiliation » et non pas une fresque familiale émilezolienne explorant l’hérédité de la violence sur trois générations.

Pourtant cette question, ou celle de la potentialité de la violence qui existe en chacun de nous, aurait été d’autant plus intéressante – nécessaire ? – à traiter que Moix donne plusieurs indices sur ses propres difficultés rencontrées à l’âge adulte vis-à-vis de la paternité, du fait même de ce passé mouvementé.

D’abord, Moix, ayant enfin réussi sa « tentative d’évasion hors de la sphère paternelle » pour citer Kafka, conclut la première partie en se projetant vers un avenir enfin libéré de l’emprise parentale, mais écrit que malheureusement, et contrairement à ce qu’il espérait, « ce qui est cassé ne se répare pas ; ce qui est brisé se brise chaque jour davantage. » Une promesse romanesque qui aurait évoqué les séquelles de cette maltraitance mais qui ne sera jamais honorée.

Il n’existe pas de fatalité de la violence : un enfant battu ne deviendra pas nécessairement un adulte violent. Mais Moix laisse à penser que les germes de la violence sont d’ores et déjà en lui. Sur le petit Daniel, fils de l’institutrice : « un éclair de chaleur se propagea sur sa joue droite : je l’avais giflé de toute mon âme, imitant à la perfection la gestuelle paternelle. Puis une palette de coups de poing s’abattit sur son occiput ».

D’autant que l’héritage maudit s’immisce partout, comme un virus tenace dont le corps ne peut se défaire : « Seule la biologie me liait à eux, et la biologie n’est pas grand-chose. Elle comporte toutefois une malédiction : cette ressemblance physique, cette gestuelle héritée qui, lorsque l’heure est tardive et qu’on se retrouve seul face au miroir d’un appartement vide, d’une chambre d’hôtel tel dimanche d’août, donne envie de se tirer une balle dans la tête. » Ou comme le disait de façon plus lapidaire un personnage de Paul Nizan au sujet de sa ressemblance honteuse avec ses parents : « Il est affreux de se prévoir. »

Or, Moix pose explicitement la question de cet héritage piégé : « Rend-on à l’aveugle, au premier venu, ce que la vie nous a infligé ? Me faudrait-il, quand l’âge d’avoir des enfants viendrait, parvenir à la hauteur de ma tâche de père : m’empêcher de fouetter mon fils, d’abandonner ma fille la nuit aux mâchoires froides de l’hiver ? » Hélas, aucune réponse ne sera apportée à ces questions pourtant intrigantes dans la deuxième partie du roman.

Défauts en général et qualités en particulier

La deuxième partie, parlons-en. Intitulée « Dehors » (soit hors de la sphère familiale), elle admet les mêmes caractéristiques, les mêmes réussites et les mêmes reproches que « Dedans », et raconte des épisodes tout aussi émouvants que la première. Elle est construite elle aussi comme une suite de scènes relatant différentes formes d’humiliations endurées par Moix, mais à l’école cette fois (de la Maternelle jusqu’aux classes de Maths Sup / Spé), souvent administrées par les (nombreuses) filles dont il tombe amoureux.

Cette partie est aussi le lieu des premières prises de conscience, sur la mort (« Nous ne pouvons savoir, tandis que nous courons, aimons, nageons, rions, jouons, étudions, si nous sommes d’abord en train de vivre ou plutôt en train de mourir. ») ou le temps (« L’enfant que j’étais n’a pas grandi – il a été criblé par le temps, travaillé par lui, visité, fouillé par son muscle et piqué par sa flèche. Nous appelons « date » un coup d’épée dans l’être ; cette épée c’est le temps. »).

Il faut également parler de la drôlerie empreinte de tendresse de certains chapitres, comme celui où le jeune Moix passe des journées entières à compiler méthodiquement et frénétiquement ses morceaux préférés sur des cassettes qu’il envoie à Fabienne, énième étudiante dont il est amoureux, avec la certitude qu’elle succombera à sa finesse de mélomane, compilations que la Fabienne en question ne prendra pourtant jamais la peine d’écouter comme il l’apprendra beaucoup plus tard de la bouche même de l’intéressée.

Émouvoir ne suffit (toujours) pas

Seulement, quand on referme le livre et qu’on considère l’architecture d’ensemble, quelque chose manque. La façade est belle, mais les murs tiennent mal. En dernière analyse, le lecteur ne se satisfait pas tout à fait de ces petites nouvelles conclues de manière souvent réussie mais ne proposant aucune progression narrative, sans ouverture vers quoi que ce soit – l’espoir ou la désolation, le pardon ou la rancune éternelle, le salut par la littérature ou la claustration dans les livres – bref, peu importe quoi, mais quelque chose qui nous fasse respirer un autre air que celui, vicié et stagnant, de l’enfant qui a beaucoup souffert.

Certes, au moins, contrairement à beaucoup de romans actuels qui nous tombent littéralement des mains, celui-ci non seulement se lit, mais donne matière à réfléchir. Il faut dire que cette chronique n’a pas la prétention d’être exhaustive et que plusieurs thématiques de premier plan n’y ont pas été abordées (la découverte décisive de la littérature de Gide, Ponge, Sartre, Bataille, et, ce faisant, la difficulté à construire sa personnalité hors de l’influence de ces maîtres, même si, comme le dit Gombrowicz : « Être un homme, cela veut dire ne jamais être soi-même. »)

Et oui, au moins, Moix n’a pas commis l’erreur de nous infliger un énième roman « à hauteur d’enfant », ce genre à la mode qui en général me donne envie, comme le grand académicien Bob Toison, de « prendre ma Suzuk et de fuir over loin de la coupole. »

Mais soyons clairs. Moix a beau écrire : « Je me promis qu’un jour, quand je saurais écrire la vérité dans sa simplicité nue, je la dirais dans un roman d’humiliation comme il existe des romans d’initiation. Tel serait le genre que j’inventerais. Ce jour-là, ce jour-là seulement, peut-être, j’aurais du génie » ; ce jour-là n’est, semble-t-il, pas encore arrivé.

Yann Moix – Orléans – Grasset – 9782246820512 – 19 €

1 Commentaire

 

Marie

06/02/2020 à 12:17

"Enfance battue, roman d'humiliation, polémique familiale"...Tous ces ingrédients alimentent les romans de la suédoise Camilla Läckberg. Laquelle intéresse au plus haut point psychiatres et pédopsychiatres. En plus c'est bien écrit.

Orléans

Yann Moix

Paru le 21/08/2019

272 pages

Grasset & Fasquelle

19,00 €

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Personne ne peut résister au charisme foudroyant de la fille la plus populaire du lycée ! Personne à part... le nouvel élève qui vient d'arriver et qui garde ses distances, quoi que Mona fasse pour le faire fondre. Piquée au vif, elle va redoubler d'effort pour le séduire... quitte à s'y brûler les ailes. 

17/06/2024, 10:30

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Sur les traces de “Didi”, chauffeur routier du Brésil

Dans Ce qui m’appartient (traduction de Keylla Barbosa et Pierre Marlière, Grasset, 2024), premier roman autobiographique de l'auteur, José Henrique Bortoluci nous raconte son père, camionneur sur les routes sans fin du Brésil. Par Bruno Ménétrier.

13/06/2024, 12:51

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Les somptueuses planches d’Aurélie Wilmet

Aurélie Wilmet est une autrice de bande dessinée qui, dès son premier album, s’est imposée comme une des artistes contemporaines à suivre. Elle revient avec un second album tout aussi marquant, toujours chez Super Loto Éditions, l’occasion pour nous de vous les présenter.

12/06/2024, 13:29

Autres articles de la rubrique Livres

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Yann Queffélec raconte une après guerre d'Algérie

Rentreelitteraire2024 — « Le cœur lui battait, en descendant la passerelle, sa cantine à l’épaule. Il reconnut l’accent chantonnant des dockers, aperçut au loin les remparts du Vieux-Port, Notre-Dame de la Garde. Il était d’ici, presque d’ici, plus ému qu’il n’aurait imaginé. Grâce à Dieu, il était vivant. » 

15/07/2024, 18:06

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Suspense et danger dans l'Outback Australien

Rentreelitteraire2024 — D'après certains spécialistes, les pays disposant de vastes espaces inhabités sont plus susceptibles de devenir des refuges pour les criminels, car ces derniers peuvent échapper plus facilement à la vigilance des forces de l'ordre... Un roman à l'ambiance à la croisée d'Into the wild et d'un slasher pour adolescents, tout en abordant des thèmes résolument anti-coloniaux et anti-racistes.

15/07/2024, 18:00

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Fantasy médievale et énigmes : découvrez Le Sang d’Encre

Rentreelitteraire2024 — Dans le royaume des Terres-Mêlées, un mal énigmatique ravage la cité de Kaalun : crevasses, gerçures, fissures et écailles marquent les corps. Un nouveau roman de fantasy médiévale signé Nena Labussière, à découvrir dès 13 ans, le 28 août en librairie.

15/07/2024, 17:31

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Basile, élève en CM1 : comment vaincre ses harceleurs ?

Rentreelitteraire2024 — Basile, en classe de CM1, est harcelé par Lucas, le nouveau garçon populaire dont tout le monde parle à l'école. À la piscine, ce dernier a remarqué la cicatrice qui marque Basile sur le torse,s’ensuit une année très difficile… Quelque chose sur le coeur décrypte les mécanismes du harcèlement, et démontre que l'intervention des adultes est souvent contre-productive. À retrouver en librairie dès le 22 août prochain.

15/07/2024, 07:30

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Nocturnals, l'intégrale T1

14/07/2024, 15:39

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Les Ensablés - Rafales, de Roger Vercel (1894-1957)

Encore connu des cinéphiles pour les adaptations au cinéma de ses romans  Remorques (adapté par Jean Grémillon) et Capitaine Conan (prix Goncourt 1934, adapté par Bertrand Tavernier), Roger Vercel est un remarquable écrivain de récits maritimes, inspirés de témoignages  de marins, recueillis à Dinan, ville où il vécut et exerça le métier de professeur de lettres. Par Isabelle Luciat

14/07/2024, 09:00

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Carlos Díaz Dufoo, penseur solitaire et figure insaisissable

Rentreelitteraire2024 — « J’ai vendu mon âme pour savoir si j’avais une âme. » Carlos Díaz Dufoo, né en 1888 à Mexico, est un écrivain mexicain reconnu pour son œuvre unique et concise. Issu d'une famille intellectuelle, son père portait également le nom de Carlos Díaz Dufoo et était un écrivain, dramaturge, journaliste et économiste éminent. 

14/07/2024, 08:30

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50 ans d'histoire tunisienne à travers deux familles

Rentreelitteraire2024 — Le désastre de la maison des notables, traduit de l'arabe (Tunisie) par Souad Labbize, est un roman choral et une fresque familiale qui traverse plus de cinquante ans d'histoire tunisienne, tissant les destins de deux familles bourgeoises contrastées : les Naifer, conservateurs, et les Rassaa, libéraux et progressistes. 

14/07/2024, 08:00

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À la sortie d'Elle et lui de Leo McCarey

Rentreelitteraire2024 — Dans son roman La Face nord, Jean-Pierre Montal tisse une histoire d'amour démarrant par une rencontre fortuite à la sortie d'une projection du film Elle et lui de Leo McCarey. 

14/07/2024, 07:00

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Spectres du futur : liberté contre immortalité

Rentreelitteraire2024 — Jennifer Richard explore les dilemmes contemporains liés à la révolution technologique. Adrien et Céline, un couple de quadragénaires prospères, incarnent la réussite parfaite : richesse, amour, santé, et carrières passionnantes. 

14/07/2024, 06:30

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"De plus en plus de couples stériles"

Rentreelitteraire2024 — « Crise de la fécondité. De plus en plus de couples stériles. De moins en moins de garçons. Délétion du gène Y. Infertilité masculine. Et pour les couples qui y arrivaient, huit enfants sur dix étaient des filles, et trois sur cinq naissaient avec le syndrome de l’X fragile ». Un premier roman de science-fiction, entre anticipation politique et thriller psychologique signé Nicolas Martin, à découvrir le 22 août prochain. 

13/07/2024, 08:30

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Les 5 terres Cycle III – XX Tome 13 : Rester vivants

Les5Terres – Voici le premier tome du nouveau cycle de Jérôme Lereculey, Lewelyn : Les 5 Terres entame son troisième cycle, avec un treizième tome, Rester vivants…

13/07/2024, 08:00

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Adorés : le tome 9 de la saga Assoiffés arrive en librairie

Rentreelitteraire2024 — Une nouvelle menace gronde au moment même où le Cercle s'effondre. Dans un 9e tome, avant-dernier de la saga, Tracy Wolff embarque le lecteur dans les tréfonds du Royaume des Ombres. À retrouver dès le 14 août en librairie, dans une traduction de Julie Lafon.

13/07/2024, 08:00

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Harry Roselmack propose un guide pratique de l'existence

Rentreelitteraire2024 — Pour conduire, il n'est pas nécessaire d'être mécanicien, mais une formation s'impose. Pour bien vivre, c'est la même chose. Pour la rentrée, le journaliste Harry Roselmack publie Dieu, la source et l'Univers philosophal aux éditions Jouvence. Un faisceau de réflexion sur la nature humaine, et bien plus encore.

13/07/2024, 07:30

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Katanga ! La guerre oubliée de la Françafrique contre l'ONU

12/07/2024, 18:22

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Le futur ne sera pas

12/07/2024, 17:39

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(Re) découvrir Paris en remontant le temps

12/07/2024, 16:45

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Vacances studieuses pour lecteurs en herbe...

Qui a dit que les vacances allaient être de tout repos ? Surtout pas les parents de nos très chers lecteurs en herbe... En cette semaine 27 (du 1er au 7 juillet), les cahiers de vacances caracolent en tête des ventes, éclipsant toute littérature, aussi estivale soit-elle. Seule Adèle, avec le tome 21 de Mortelle Adèle : RécréAction Générale !, se fraie un chemin dans le classement des meilleures ventes, s’installant en 9e position avec 15.523 ventes cette semaine. 

12/07/2024, 11:41

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Les meilleurs livres de poker : guide complet pour progresser au poker

Le poker est un jeu de stratégie complexe qui nécessite une compréhension approfondie des probabilités, de la psychologie et des techniques de jeu. Pour ceux qui souhaitent progresser et améliorer leur performance, les livres de poker sont des ressources précieuses. 

 

12/07/2024, 11:25

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Un hymne à la librairie, et son importance dans la communauté

#RentreeIndes – Elle franchit le seuil de sa librairie avec une sensation de bien-être enveloppante ; son cœur s'illuminait et son corps se détendait, savourant pleinement le plaisir de revenir dans ce lieu qui lui était si cher. Sa journée de travail commençait sous les meilleurs auspices. Tandis que certains imaginent le paradis sous les traits d'une bibliothèque, d'autres, sans la moindre hésitation, opteraient pour une librairie.

12/07/2024, 08:30

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Portrait d'une Allemagne détruite

#RentreeIndes – Au cœur des tourments du XXe siècle, Timothée Demeillers dépeint une vaste fresque historique centrée sur les Sudètes, une région éprouvée par les vicissitudes de l'histoire.

12/07/2024, 07:30

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Une ode vibrante à la vie et un voyage mémorable

#RentreeIndes – Traduction réalisée par Élisabeth Landes depuis l'allemand (Suisse), L'Homme qui apporte le bonheur sera disponible à partir du 22 août 2024. Ce livre traverse l'océan Atlantique, du East River au Danube, offrant deux narrations qui reflètent les drames des émigrés, tout en peignant le portrait d'une époque.

12/07/2024, 06:30

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L'amour gay en Palestine

#RentreeIndes – Dans une Palestine ardue, baroque et fabuleuse se déploie l’amour fou de Gabriel et d’Isaac. Un étrange vent de sable ensevelit le pays tandis que les deux hommes se rencontrent chez la tante Fátima. Dans Jérusalem, cette ville labyrinthe, ils se séduisent chaque nuit en imaginant des récits de jinns, de lions et de chevaliers.

11/07/2024, 08:00

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Liberté et émancipation par la littérature, au coeur de l'Empire romain

#RentreeIndes – À l’aube du premier siècle, dans l’Empire romain, la jeune Junil travaille dans la librairie de son père tyrannique. Elle fabrique des papyrus aux côtés d’esclaves qui lui apprennent à lire. Les textes interdits d’Ovide, surtout, lui apparaissent comme une révélation. (traduit du catalan par Juliette Lemerle)

11/07/2024, 07:30

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Entre vérité et fake news, le double jeu d'un reporter

#RentreeIndes – Le personnage d'Arnaud Daguerre, grand reporter au journal hebdomadaire d'investigation Le Miroir, est acclamé tant par les lecteurs que par ses pairs, qui lui ont attribué le prestigieux prix Albert Londres. Cependant, malgré les apparences, ses méthodes de travail sont loin d'être orthodoxes...

11/07/2024, 06:30

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Glace et sorbet, toutes les sucreries de l'été !

10/07/2024, 16:45

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Le 1er août 1944, la ville de Varsovie se soulève contre l'occupation nazie

Rentreelitteraire2024 — L'insurrection de Varsovie, qui s'est déroulée entre août et octobre 1944, est narrée par l'un de ses protagonistes, quatre-vingts ans plus tard. Le 1er août 1944, la ville de Varsovie se soulève contre l'occupation nazie.

10/07/2024, 08:30

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Tuer ou mourir : le monde se divise en deux catégories...

#RentreeIndes – Qu'est-ce qui peut bien pousser le héros de ce court roman à regagner la Lavaharie, ce petit royaume singulier qui le passionna naguère ? C’est ce qu'il se demande en déambulant dans cette contrée où les habitants ont la particularité de surdévelopper le langage et de subir une religion expiatoire centrée sur le principe de punition.

10/07/2024, 08:04

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L'auteur de Sherlock Holmes entre à l'école pour enfant extraordinaire

Rentreelitteraire2024 — Découvrez la véritable histoire du mystérieux Arthur Conan Doyle, cet enfant si spécial remarqué pour ses prodigieux talents d'enquêteur... Scolarisé dans l'école pour enfants extraordinaires, le jeune homme découvre Baskerville Hall, établissement dans lequel il va susciter jalousie et admiration. Sous une traduction d'Isabelle Troin, Les mystères de Baskerville est à découvrir en librairie le 29 août prochain.

10/07/2024, 07:30

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Véronique Olmi est certaine : qui sauve une vie, sauve le monde entier

Rentreelitteraire2024 — Ben, un jeune activiste altermondialiste, traverse la France pour retrouver Jimmy, son demi-frère beaucoup plus jeune, qu'il n'a pas vu depuis le décès de leur mère. Jimmy, récemment retiré de la garde de son père Fred, un musicien alcoolique, a été placé en foyer. 

09/07/2024, 08:30

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Aider Mourad : trois femmes, une maison, un même espoir

Rentreelitteraire2024 — « Malika aimerait tant lui montrer une autre Algérie, celle de la joie de vivre, celle qu’elle a oubliée mais qui existe encore. Elle grillera le peu d’argent qui reste sur son compte postal pour découvrir avec son amie Suzanne l’insouciance volée à ses seize ans. Rire comme deux gamines dans les rues d’Alger, assommées par ce même soleil qui inonde autant la Corse que son pays. »

09/07/2024, 07:30

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Marie Hélène Poitras confère aux femmes le pouvoir

Rentreelitteraire2024 — Dans le village fictif de Noirax, dominé par les hommes et leurs lois depuis des générations, le père Berthoumieux aspire à devenir maire et prévoit de passer la main à son fils Jeanty, récemment revenu au village après un mariage échoué. 

09/07/2024, 06:30

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Trois mille ans d'écologie indienne. Penser autrement la nature

08/07/2024, 18:36

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Une enfance palestinienne, aux quatre coins du Moyen-Orient

Rentreelitteraire2024 — Symbole de l'identité palestinienne, l'olivier est un appel au temps et à la mémoire. Relation profonde à la terre, l'olivier est la métaphore d'un ancrage centenaire. Ce roman raconte une enfance palestinienne, il est un rappel de la part de rêve et de magie que l'on oublie trop souvent.

08/07/2024, 18:22

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Là où les absents continuent à être présents

Rentreelitteraire2024 — Marie et l’enfant forment un monde à eux tout seul, ils n'ont besoin de rien d'autres. Quelques mois plus tôt, la jeune femme a brusquement quitté Paul, ignorant qu’elle était enceinte, et s’est éloignée de la plupart de ses amies. Seule la présence d’Élisabeth, sa mère, est tolérée par nécessité.

08/07/2024, 17:33

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Alice et Finn face aux mystères de la Grande Guerre

Rentreelitteraire2024 — La Première Guerre Mondiale, vue par deux ados, est un ouvrage écrit par Julien Hervieux et illustré sous les traits d'Anaïs Alvarez. Les auteurs y présentent une autre facette de la Grande Guerre, spécialement adaptée aux jeunes lecteurs. Richement documenté et doté d’explications claires, ce livre offre une plongée fascinante dans cette période historique, à travers l'histoire d'Alice et Finn.

08/07/2024, 16:49