#Presse

La bioéthique face à l’eugénisme : deux ouvrages de référence

Une tribune de la ministre de la Santé Marisol Touraine sur l’innovation en matière de santé et un récent article du Monde sur les progrès de la correction du génome humain relancent la polémique sur les limites éthiques de la science. C’est une bonne occasion de relire deux ouvrages majeurs sur cette problématique du devenir de l’être humain : L’avenir de la nature humaine de Jürgen Habermas et Règles pour le parc humain de Peter Sloderdijk. Leur querelle, désormais célèbre, a opposé deux conceptions bien différentes de ce que l’homme est et doit être.

Le 09/09/2015 à 08:34 par La rédaction

0 Réactions |

Publié le :

09/09/2015 à 08:34

La rédaction

Partager cet article sur Linkedin Partager cet article par mail Imprimer cet article
ActuaLitté

Sloterdijk et la domestication

Billet écrit en partenariat avec

La-philosophie.com

Dans les Règles pour le parc humain, Sloterdijk tente de retracer l’histoire de l’hominisation de l’humain à travers une triple relecture des concepts nietzschéens, de la Politique de Platon et de la Lettre sur l’humanisme de Heidegger. Dans cette dernière, le philosophe de Fribourg diagnostique l’échec de l’humanisme, en ce qu’il était incapable d’ouvrir l’homme sur la pensée de l’être, inapte à penser la clairière. L’humanisme, comme primauté absolue accordée au sujet, occulte l’être et détourne le Dasein de son essence véritable, qui est de recueillir l’être en recourant à la pensée méditante, en se faisant l’ami de l’être, et non plus l’ami des autres hommes. Sloterdijk, s’il reprend à son compte le diagnostic heideggérien sur la fin de l’humanisme, n’en partage cependant pas les motifs.

Pour Heidegger, en effet, l’humanisme doit être dépassé, son dépassement exige une rupture, une volonté d’arrachement à la métaphysique de la subjectivité, alors que Sloterdijk estime, de son côté, que l’humanisme, de fait, ne peut que constater ses propres ruines et, de plus, que l’humanisme et le post-humanisme possèdent une contiguïté. Chez Heidegger, le dépassement de l’humanisme classique signifie la fin de l’anthropocentrisme, chez Sloterdijk, il signifie persistance dans l’anthropocentrisme. Si Heidegger s’est proposé de dégager l’impensé de l’humanisme, qu’il caractérise comme l’oubli de l’être, Sloterdijk définit cet impensé comme l’auto-domestication de l’humanité. En effet, selon lui, l’humanisme classique, à travers le média de la lecture, ambitionnait d’apprivoiser les instincts bestiaux au profit des instincts de la sociabilité, favorisant l’hominisation, le devenir-homme. Cette dialectique entre bestialité et apprivoisement se réfère, de manière plus ou moins explicite, aux concepts nietzschéens de « Dionysos » et d’« Apollon ».

En bonus, Sloterdijk affirme que l’éducation et la scolarité humanistes sont apolliniennes en ce qu’elles inhibent, les forces destructrices de l’homme. C’est pourquoi elles représentent une sélection génétique intuitive, non réfléchie. Cependant, cet auto-élevage de l’humanité a échoué en raison de la victoire du média du divertissement sur celui de la lecture, libérant ainsi, de manière inquiétante selon Sloterdijk, « les tendances actuelles qu’a l’être humain à retourner à l’état sauvage ». Passant de fondements sociaux littéraires à post-littéraires, il faudrait nécessairement en conclure que les fondements sociaux sont désormais post-humanistes. Il faut néanmoins s’interroger sur cette équation, ce lien d’implication entre la lecture, l’humanisme et l’apprivoisement. De fait, il est peut-être réducteur de considérer la lecture, et en général l’écriture, comme l’unique source de l’éducation humaniste : la socialisation s’effectue également par des voies orales. De plus, il semble que Sloterdijk ait une conception quelque peu monolithique de l’humanisme : la lecture de Sade au dix-huitième siècle et après, et tout le mouvement libertin, peut-elle être considérée comme une force inhibitrice, un élément de synthèse sociale ?

Reprenant la définition de l’homme heideggérienne, voire sartrienne, selon laquelle il est un « être des lointains », un « pour-soi », il considère que les progrès de la biologie ouvrent précisément, nous dit Sloterdijk, la voie de l’anthropotechnique, c’est-à-dire « la conscience des productions de l’homme ». Ainsi son projet ne tendrait qu’à nous rendre conscients de ce qui est déjà à l’œuvre, d’une part que l’humanisme classique se fondait sur l’auto-élevage des hommes, et d’autre part qu’il n’est plus à même de remplir cette fonction aujourd’hui.

Se rendre conscient signifie pour lui se rendre sujet, et non plus objet, de la sélection, vouloir et non plus être voulu selon les catégories nietzschéennes. La conséquence de cela, nous dit-il, aux dépens des humanistes contemporains qu’ils considèrent comme des « conservateurs [...] à la fois nostalgiques et désemparés », est qu’il faut déterminer une « politique de l’espèce », une anthropotechnologie qui endigue la désinhibition causée par le média du divertissement. Cette biopolitique, que Sloterdijk fait remonter à Platon , lequel définissait la tâche du politique comme la gestion du parc humain, doit décider s’il est possible, sinon envisageable, d’engager à l’avenir « une planification explicite des caractéristiques ». Il formule ainsi la question qui, selon lui, traversera les siècles prochains : « L’humanité pourra-t-elle accomplir, dans toute son espèce, un passage du fatalisme des naissances à la naissance optionnelle et à la sélection prénatale ? »

L’interprétation d’une telle question, cruciale dans l’interprétation générale de cette conférence, tient à deux éléments : d’une part dans le sens que l’on donne au terme « pourra », qui apparaît ici chargé d’ambiguïté. Si on le comprend comme synonyme de « aura le courage », ou bien de « risquera », la conception de Sloterdijk en est bien sûr changée. Il en de même si l’on considère cette question comme une question rhétorique, qui ne servirait qu’à masquer le fait qu’il pose une idée, voire un impératif plus qu’une véritable interrogation. Mais il semble que la suite de la conférence indique quelle interprétation de cette question il est justifié que le lecteur se fasse. La conférence se clôt en effet sur l’analyse du Politique, sans prise de position claire de la part de Sloterdijk à l’égard de ce dialogue, dans lequel le politique, ou art royal, consiste à gérer le parc humain de sorte qu’il relie l’ensemble des membres de la communauté politique de sorte que des élites sont chargées d’élever le reste du « troupeau ». Ainsi, il est possible d’interpréter l’interrogation citée plus haut comme une affirmation déguisée, comme une prescription. Ce post-humanisme élitiste et libéral, fondé sur une biopolitique réflexive utilisant l’anthropotechnique comme un ensemble de codes servant à planifier et à sélectionner la future humanité.

Dans la postface de la conférence et dans La domestication de l’être, Sloterdijk se livre à une sorte d’« exercice de rattrapage » : il affirme n’avoir que décrit les enjeux que soulevaient les progrès des biotechnologies, et en aucun cas donné des injonctions et affirme d’autre part que « la technique biologique [...] pourrait dégénérer en une prise d’otages des sociétés par leurs propres technologies avancées ». Il déclare également dans un entretien « ne prôner ni le clonage ni la sélection : je souligne une menace, j’indique un risque ». Cependant on peut voir dans ces propos une volte-face, lié au fait que Sloterdijk recule devant les conclusions induites par des prémisses qu’il a lui-même posées. Il semble ainsi qu’il n’assume pas les conséquences du post-humanisme qu’il appelle de ses vœux. D’autre part, le post-humanisme esquissé par Sloterdijk laisse entrevoir un eugénisme qui nie toute interrogation bioéthique : en cela il reprend le projet de Heidegger, qui souhaitait « penser contre les valeurs ».

Or c’est précisément à un niveau éthique, plus qu’ontologique, que la réponse de Habermas se situe : c’est le caractère a-éthique de ce post-humanisme qui posera problème, plus que les fondements ontologiques heideggériens ou nietzschéens de la pensée de Sloterdijk. Habermas essaie de juger la perspective de ce dernier à l’aune des conséquences qu’induisent ses prémisses. Dans L’avenir de la nature humaine, Habermas tente ainsi de démontrer, en anticipant la réalisation du projet philosophique de Sloterdijk, celui d’un post-humanisme, rendu possible par les biotechnologies, fondé sur une anthropotechnique réflexive, en quoi le développement d’un eugénisme libéral fait, selon lui, fausse route.

Habermas et l’angoisse de l’hétéronomie

L’avenir de la nature humaine, s’il serait réducteur de l’analyser comme une simple réplique aux Règles pour le parc humain, peut cependant être lu comme un texte réactif à la pensée de Sloterdijk. Les arguments utilisés contre Sloterdijk se situent à un quadruple niveau : historique, éthique, politique et enfin du point de vue systémique, c’est-à-dire celui de la théorie communicationnelle. Les sociétés occidentales sont entrées dans ce que Rawls appelle le « fait du pluralisme », ou ère post-métaphysique, c’est-à-dire une période où coexistent pacifiquement les modèles de vie bonne, où la philosophie renonce à donner des définitions substantielles du bien, fait le deuil du dogmatisme. Or, selon Habermas, le post-humanisme eugéniste implique une prise de position métaphysique sur ce que doit être une vie bonne ou souhaitable. La sélection de caractères déterminés constitue en effet une conception compréhensive du bien qui implique que l’on pose en modèle le choix des parents, ou quiconque décidant de cette planification. Ainsi, d’emblée, le soupçon est jeté sur ce post-humanisme qui réhabiliterait la compétition entre les différentes définitions substantielles de la vie bonne, et donc le retour des représentations métaphysiques du monde. Cet eugénisme libéral semblerait de la sorte constituer une position réactionnaire à l’égard de la modernité philosophique.

À cet argument historique s’ajoute une objection de type éthique. Habermas s’appuie sur l’éthique kierkegaardienne et son concept de « pouvoir-être-soi-même ». L’intervention sélective sur le génome humain, ou eugénisme positif, introduit dans la biographie de la personne concernée une intention étrangère, qui précède sa vie, autrement dit à laquelle il ne peut échapper ni être tenu pour imputable. Cette ingérence pose de considérables problèmes : la liberté de cet individu, au sens kantien ou arendtien de commencement d’une série, de nouveau commencement, se trouve sapée. Ainsi, Habermas retourne contre Sloterdijk la définition « existentialiste » de l’homme : l’arrachement à la facticité ne peut exister que de manière endogène, l’individu ne peut en être dispensé. Ainsi, la manipulation génétique agirait en quelque sorte comme le « fatum » pesait sur les héros grecs, à savoir une aliénation, un enchaînement irrémédiable. De même, le projet qu’il ferait de lui-même se verrait limité par le choix de ses parents, ce qui pose la question de l’hétérodétermination.

Si l’on considère que l’autonomie est le fondement de la responsabilité, alors comment ne pas conclure que l’eugénisme positif pose des limites lourdes et dommageables à la responsabilité individuelle. Mieux, la dignité de l’individu dont le matériel génétique aurait été « amélioré » bénéficierait d’une dignité « au rabais », liée à sa caractéristique d’être vivant et non en tant que membre universelle, en tant qu’être générique : il lui serait reconnu une dignité d’être vivant et non une dignité proprement humaine. Par conséquent, Habermas estime que la liberté eugénique des parents et la liberté éthique des enfants entrent en contradiction, et qu’il faut, au nom d’une éthique de l’espèce humaine, ne pas hypothéquer le droit des générations futures à disposer d’elles-mêmes, ne pas les assujettir aux décisions de celles d’aujourd’hui. Le refus de l’eugénisme libéral prend donc pied dans la volonté de « continuer à nous appréhender comme les auteurs sans partage de l’histoire de notre vie et nous reconnaître comme des personnes agissant de manière autonome ».

Jason Ralston, CC BY 2.0

Un autre problème éthique, selon Habermas, est posé par la possible libéralisation de l’eugénisme positif, de l’instrumentalisation de la vie humaine. En effet, la logique de manipulation, opposé à l’attitude clinicienne, fait de la vie humaine l’enjeu d’un marché régulé par la seule loi du marché, à savoir l’offre et la demande. Ce risque est d’autant plus patent si l’on envisage que la recherche scientifique sur le génome ne soit financée que par des fonds privés. L’absence de fonds publics permettrait de décharger la recherche scientifique et ses applications de tout contenu normatif, de toute autolimitation en raison des impératifs capitalistes.

Habermas conclut au nécessaire contrôle que doit exercer la sphère publique sur les progrès des biotechnologies. C’est à cette dernière qu’il convient, selon lui, de précéder et conditionner les décisions et les recherches sur le génome, et non la sphère scientifique. La raison en est que, dans le contexte post-métaphysique des sociétés libérales, la formation d’une opinion rationnelle au sein d’une sphère publique constitue l’unique moyen de trouver le point de vue moral, autrement dit un consensus acceptable par tous. Ceci nous conduit au troisième type d’argument utilisé par Habermas contre Sloterdijk, à savoir les exigences politiques de la modernité. De fait, lorsqu’une opinion publique est issue de la sphère publique, elle doit être traduite par le droit, traduction qui échoit à la sphère politique.

De plus, le refus de l’eugénisme positif s’appuie sur les fondements constitutionnels des sociétés libérales, reconnaissant à chacun les mêmes droits, que formalise le principe de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen : « Tous les hommes naissent et demeurent égaux ». Or, précisément, l’eugénisme positif, qui vise l’amélioration des caractères, introduit un biais, une différenciation dès la naissance et rompt en cela l’essence générique de l’homme, le fait qu’il soit un universel concret. L’égalité des chances, fondement des sociétés ouvertes se trouverait donc affaiblie par un eugénisme qui restreindrait les choix et les possibilités offertes aux individus. La dimension inégalitaire d’un post-humanisme eugéniste renvoie ainsi à une société rétive à la démocratie, réactive à la modernité politique.

Enfin, Habermas justifie son opposition à l’eugénisme positif, censé ouvrir la voie au post-humanisme, du point de vue de son propre système, celui de l’activité communicationnelle. Nous l’avons dit plus haut, l’eugénisme sous-tend une intention étrangère dans la biographie de l’individu manipulé. Or, selon Habermas, l’intrusion de la manipulation génétique ne peut pas reposer sur l’assentiment virtuel de l’enfant, nécessaire à la symétrie des rapports. L’unilatéralité et l’irréversibilité de la décision empêchent l’enfant concerné de pouvoir s’opposer, à la différence de la socialisation, aux choix que font pour lui ses parents. La programmation prénatale interdit entre le programmateur et le « programmé » tout échange des rôles, toute empathie, bref la reconnaissance mutuelle qui fonde l’activité communicationnelle : rompre la possibilité de l’accord signifie rompre la communication.

La manipulation génétique, dont le cœur est l’égocentrisme et le paternalisme, constitue « une réalité muette [...] qui ne souffre aucune réponse », qui, à long terme, conduirait à la dislocation du monde vécu. C’est, en dernier ressort, ce qui conduit Habermas à opter pour un eugénisme négatif, fondé sur la logique clinicienne. Ce dernier, contrairement à la logique de manipulation, ne viserait pas à améliorer le génome, mais à éliminer les pathologies héréditaires dans une démarche thérapeutique. Cette élimination maintient la possibilité de la symétrie des relations enfants/parents puisque les parents peuvent légitimement supputer l’assentiment de l’enfant. Par sa défense de l’eugénisme négatif, il est intéressant de noter que Habermas n’a pas d’opposition de principe contre la technologie génétique : il en distingue clairement deux types de finalité : l’une instrumentale, l’autre communicationnelle. Ceci éclaire sous un nouveau jour l’opposition de Habermas et de Sloterdijk.

Tandis que le second prône un post-humanisme eugéniste fondé sur une raison instrumentale, l’autre entend défendre un humanisme conforme à la raison communicationnelle.

Il apparaît donc que le refus de l’eugénisme libéral ne signifie pas résistance aveugle à la modernité technologique. Bien au contraire, c’est ce refus qui permet de sauvegarder, en garantissant les conditions de possibilité de son émergence, le sujet moderne : l’autonomie, l’égalité, la dignité. Le dessin post-humaniste, anthropotechnique désigne, quant à lui, une humanité qui a perdu sa normativité, assujettie à la raison technique et aux impératifs du Système, bref une humanité auto-instrumentalisée.

Si les eugénistes libéraux et post-humanistes avaient à fonder une société dans les conditions du voile d’ignorance rawlsien, il est peu probable qu’ils accepteraient que leurs propres principes soient mis en œuvre. Certains souhaiteraient l’optimisation de la force physique, d’autre celle de l’intelligence, ou encore être dotés de talents artistiques, mais ils refuseraient vraisemblablement que l’on décide, à leur place, des caractères qu’ils n’auront pas choisis ni que leurs positions sociales soient scellées. C’est pourquoi seul l’eugénisme négatif, qui fait le pari de l’auto-invention de l’homme, semble à même de concilier modernité technologique et modernité politique, équilibre à partir duquel peut être pensé une bioéthique de l’écologie humaine. Celle-ci rend possible l’auto-invention de l’homme tout en interdisant son instrumentalisation.

Commenter cet article

 

Plus d'articles sur le même thème

ActuaLitté

Divines rivalités : l'amour en temps de guerre

Une querelle entre deux divinités a engendré une guerre sans précédent. Iris, jeune journaliste qui a vu son frère partir au front, noue une relation épistolaire avec un parfait inconnu, par le biais de machines à écrire ensorcelées... Évidemment, leurs destins vont se croiser dans ce roman choral sombre, emprunt d'une mystérieuse magie, qui rapproche les gens autant qu’elle les éloigne. Un roman signé Rebecca Ross, dans une traduction de Laurent Bury.

15/07/2024, 15:22

ActuaLitté

Suite(s) impériale(s), de Bret Easton Ellis : le complexe de Midas

Grâce à Hollywood, Bret Easton Ellis éclaire les arcanes du désir dans Suite(s) impériale(s), publié en 2010 aux éditions Robert Laffont et traduit par Pierre Guglielmina. 

12/07/2024, 15:28

ActuaLitté

Fille de la Mort, une parenté assez peu ordinaire

Et après la vie, que se passe-t-il ? La scénariste Stephanie Phillips et l’illustrateur Flaviano apportent leur pierre à l’édifice philosophico-religieux avec Grim — deux tomes déjà. Cette série nous plonge dans un monde où l’on ne compte pas une, mais des Faucheuses, qui naviguent à la recherche des âmes de défunts. Parfois même avec leurs problèmes personnels.

12/07/2024, 10:14

ActuaLitté

Matière, lumière, espace : Lucio Fontana dans le futur

Depuis le 22 juin et jusqu'au 3 novembre prochain, le musée Soulages de Rodez accueille l'exposition, Lucio Fontana, Un Futuro C'è Stato. Il y a bien eu un futur. Une célébration de l'œuvre visionnaire de l'Argentin, accompagnée de son catalogue, publié chez Gallimard.

10/07/2024, 18:37

ActuaLitté

Mi-humain, mi-vampire : Blade, entre canins et canines

Blade : Mère du Mal marque le retour tant attendu du chasseur de vampires mi-humain mi-vampire. Écrite par Bryan Edward Hill, cette aventure impliquera du découpage minutieux de morts-vivants, une séance de torture de longue haleine et le retour d’une créature malfaisante. Ou maléfique. Ou les deux, pourquoi choisir ?

10/07/2024, 08:43

ActuaLitté

Un monde post-apocalypse, raconté par Haruo Iwamune

L’humanité a été décimée par un étrange virus que l’on surnomme le mal cristallin... Dans un monde laissé à l’abandon, détruit par des créatures appelées « les condamnés », une seule survivante demeure. Elle s’appelle Saya, jeune femme aux traits lisses et aux grands yeux. Accompagnée de son étrange compagnon Kû, elle va sillonner ce Nouveau Monde à la recherche de survivants. Qui est-elle ? Pourquoi a-t-elle ainsi survécu ? Haruo Iwamune signe ici une première œuvre puissante et nostalgique.

09/07/2024, 11:09

ActuaLitté

Tendre est le macho

Conceição Evaristo est une autrice brésilienne issue d’une famille modeste de Belo Horizonte, anciennement institutrice à Rio de Janeiro, seule enfant de sa famille à être allée à l’université — après avoir repris ses études à l’approche de la cinquantaine dans les années 90. Dans Chanson pour bercer de grands garçon, elle nous plonge avec tendresse au coeur d’un Brésil machiste et peuplé d’amours divers. (Traduit du portugais brésilien par Izabella Borges)

08/07/2024, 17:24

ActuaLitté

Les oiseaux, ils sont pas Prises de bec

Comment ça que les oiseaux ne sont pas marrants ? Qu’ils ont qu’une cervelle de moineaux ? Qu’ils ne pourraient pas philosopher, évoluer en société ou même savourer l’ivresse de fruits trop mûrs ?! Ce recueil désopilant de Joshua Berkman saura vous faire voir nos amis les volatiles d’un autre œil.

08/07/2024, 10:31

ActuaLitté

Moins que zéro, de Bret Easton Ellis : le lyrisme du vide

Tout le signifie, actions, visions, dialogues, le dispositif narratif : le néant est au cœur de Moins que zéro, le premier des romans de Bret Easton Ellis publié par Robert Laffont et traduit par Brice Matthieussent.

08/07/2024, 09:08

ActuaLitté

C'est l'histoire d'un Barbare affligé d'une mission : faire le bien

« Quand on fourre trop de merde dans la tête des gens, le pire arrive. » Qu’une hache assoiffée de sang se retrouve dans les mains d’un Barbare, condamné par trois sorcières à faire le bien, et voici un binôme qui a tout pour plaire. Ajoutez-y une nécromancienne, Soren, qui n’avait rien demandé, une bonne dose d’humour, et voici la nouvelle perle du scénariste Michael Moreci.

06/07/2024, 15:47

ActuaLitté

Magie et matous, félins pour l'autre !

C’est avec un léger sourire que l’on commence la lecture du premier tome du Manoir de Castlecatz, L’automne des aspirants, signé Alain T. Puysségur. Des chats qui vont à l’école et pratiquent la magie, ça ne peut que bien se passer, non ?

05/07/2024, 17:32

ActuaLitté

Estelle Tharreau, nouveau visage de la dystopie

Dans cette dystopie qui a tout de la fable philosophique, Estelle Tharreau porte un regard très dur sur notre actualité moderne et questionne l'écologie de manière pointue. C'est fort, puissant, violent même. Texte par Bruno Ménétrier.

05/07/2024, 16:29

ActuaLitté

32 destinations de rêve et autant de façons de mourir

Didier Quella-Guyot signe aux Éditions Le Carrelet un recueil de mini-polars passionnants et inquiétants. Trente-deux histoires allant d’une page à guère plus d’une dizaine, vous faisant entrer sans chichi dans le cœur de l’intrigue. Attention, bourlingues fatales !

05/07/2024, 11:31

ActuaLitté

Cabu, ou le dessin satirique au secours de la planète

« Cabu n’était pas un idéologue, mais un dessinateur, c’est-à-dire un artiste. Ce qui le guidait, c’était sa sensibilité, son intelligence. C’est pour cela qu’il a toujours été écolo », écrit Riss dans l’édito de ce hors-série Charlie Hebdo, Cabu, premier écolo de France ! Garanti sans greenwashing !

05/07/2024, 10:53

ActuaLitté

Révolution dans le Québec des années 1960

Québec, les années 60. Si la population québécoise est très majoritairement francophone, ses dirigeants sont presque exclusivement anglophones. Le commentaire d’un patron du CN (compagnie de chemins de fer) met le feu aux poudres et incite la création du FLQ, Front de Libération du Québec, sous l’impulsion de quelques marginaux à l’origine d’actions qui ont marqué l’histoire du Québec.

04/07/2024, 17:13

ActuaLitté

Jeremiah et Gabriel : destins croisés

Tomson Highway est un écrivain, dramaturge, musicien, auteur-compositeur célèbre outre-Atlantique. Il est Cri, les Cris sont des indiens originaires du nord du Manitoba au Canada. Le Baiser de la Reine blanche (trad. Robert Dickson), publié par les éditions Dépaysage, est son premier et unique roman et c’est à peine croyable.

04/07/2024, 16:31

ActuaLitté

L'entre-deux-guerres, dans un roman d'espionnage remanié

La mode est aux rééditions de romans capables de traverser les années, et les Éditions de l’Olivier ont eu la très bonne idée de nous ressortir Le masque de Dimitrios d’Eric Ambler, sous une traduction de Gabriel Veraldi. L’archétype du roman d’espionnage, et un auteur salué par tous ses pairs de Ian Fleming à John Le Carré. Texte par Bruno Ménétrier.

03/07/2024, 12:53

ActuaLitté

20 ans après #MeToo

Harvey Weinstein, Gérard Depardieu, Roman Polanski, Benoit Jacquot… Depuis quelques années, nombre d’acteurs, de producteurs ou de réalisateurs se trouvent accusés d’abus sexuels. Ancienne critique littéraire, notamment au Figaro Madame, publiée notamment chez JC Lattès, Valérie Gans a choisi d’évoquer ce sujet sensible à travers un percutant roman, diffusé par ses soins car refusé par de nombreuses maisons. Texte par Étienne Ruhaud

03/07/2024, 11:36

ActuaLitté

Éloge des moches, ou le triomphe des imperfections

Un éloge des « moches », rien que ça, c'est ce que le membre de la rédaction du mensuel Historia, Pierre-Louis Lensel, a décidé d'entreprendre, non sans provocation, à travers des portraits des plus célèbres représentants de la caste des gueules.

02/07/2024, 18:11

ActuaLitté

Ne pas oublier ces Résistants venus d'ailleurs

En avril 2015, paraissait la BD Résistants oubliés, un ouvrage collectif de Kamel Mouellef et Olivier Jouvray au scénario, et Baptiste Payen au dessin et à la couleur ! Une parution alors adoubée par Jack Lang, auteur d’une courte préface.

01/07/2024, 10:27

ActuaLitté

Jean-Pierre Otte, le refuge certain

Jean-Pierre Otte publie aujourd’hui un nouveau livre de poèmes : L’immunité merveilleuse (un titre très ottien!) aux éditions Sans -Escale dirigées. Par Jean Doutrepont

30/06/2024, 11:18

ActuaLitté

She wasn’t a guy : la romance phénomène qui bouscule les genres

Aya a flashé sur le disquaire de la boutique près de la gare. Il est tellement beau et mystérieux, et en plus il a les mêmes goûts qu’elle en rock… Mais Aya est loin de se douter que le fameux disquaire n’est autre que Mitsuki, l’intravertie à lunettes assise à côté d’elle en classe. La comédie romantique lesbienne qui a pris le Japon d’assaut débarque enfin en France !

30/06/2024, 11:15

ActuaLitté

Invisible, de Paul Auster : déréalisation estivale

Invisible, de Paul Auster (trad. Christine Le Boeuf), fut publié en 2009 aux États-Unis. Parmi les fragments fictionnels qui composent le kaléidoscope de ce livre doté d’une force d’attraction étonnante, on trouve celui qui s’intitule « ÉTÉ », lequel succède au meurtre de Cedric Williams par Rudolf Born dans l’ordre de l’histoire, au début du second chapitre.

27/06/2024, 10:23

ActuaLitté

L'Oiseau rouge et sa révolte  

L’histoire des États-Unis, mais de l’autre côté du miroir. Là où la conquête de l’Ouest est un désastre, autant humain que naturel. Une expérience cruelle, de vol et d'incompréhension. De rejet de la différence, d'éradication de croyances, de suppression d’une culture riche, proche de la nature, ancrée dans un quotidien de partage. L’histoire des États-Unis, racontée par une jeune femme autochtone. 

26/06/2024, 09:01

ActuaLitté

Bobby Fischer contre Spassky, les Achille et Ulysse de l'échiquier

« Disons-le comme ça : de 1937 à 2007 — à l’exception de Bobby Fischer — tous les champions du monde d’échecs sont soviétiques puis russes » ! En 1972, le Championnat du monde d’échec est organisé en Islande. C’est Boris Spassky, le champion soviétique depuis 1969 qui remet en jeu son titre ! Son adversaire ? Un Américain qui n’a pas encore 30 ans : Bobby Fischer, que précède déjà sa réputation.

25/06/2024, 15:38

ActuaLitté

Tisser un lien intergénérationel... par les webnovels de romance

Jun-woo est professeur à l'université. Depuis peu, il égaie son quotidien routinier par une lecture effrénée de webnovels de romance. Sa rencontre avec l'autrice de l'un d'eux va être le début d'une quête intergénérationnelle autour des sentiments. Un beau récit poétique où les voix se croisent. 

25/06/2024, 09:33

ActuaLitté

L'homme en noir : un monstre rôde dans la famille

On le sait, on le dit, mais on a du mal à agir en conséquence : la pédophilie et les violences sur mineurs sont presque toujours commises par des proches à l'intérieur du cercle familial. Et les autres proches ferment les yeux, n'ont rien vu, rien entendu ou, à la façon des trois petits signes, se gardent en tout cas de parler. Et qui subit les conséquences de ce silence ? Les enfants bien entendu, comme le petit Mattéo, héros de cette BD publiée aux éditions Delcourt.

24/06/2024, 15:47

ActuaLitté

The Terrifics : Odyssée cosmique à travers le Multiver noir

L'épopée spatiale The Terrifics, fruit de l'imagination débordante de Jeff Lemire, propulse le lecteur dans une aventure peu banale. Cet album de l'univers DC Comics, découle du projet "New Age of Heroes", amorcé en 2018 : on y revisite le concept de la famille de super-héros avec une dose d'excentricité bienvenue.

23/06/2024, 22:01

ActuaLitté

La septième lune : investigations en Italie

L’hôtel des parents d'Alice a certainement connu des heures plus fastueuses que celles des dernières années où il a, à l'évidence, dû bénéficier de miracles pour n'avoir pas disparu dans les déboires économiques subis par le petit village où il est installé dans la province de Pavie en Lombardie. Avec sa sœur Theresa, qui poursuit des études de médecine à Milan, Alice aide leurs parents à tenir malgré tout l'enseigne d’Il Cedro où les clients ne se bousculent pas !

21/06/2024, 13:12

ActuaLitté

De Buick et de broc : Roadmaster, de Stephen King

Paru en 2002 aux États-Unis, Roadmaster (traduit par François Lasquin aux éditions Le Livre de poche) de Stephen King, peut être lu comme un livre conceptuel. Sous ses dehors de roman d’horreur à tiroirs (ceux qu’y ouvrent l’alternance balisée entre passé et présent de l’histoire et les voix narratives qui s’y suivent à un rythme dramatique), il sonde au fond la substance romanesque, ni plus ni moins.

21/06/2024, 12:41

ActuaLitté

J’aime un peu, beaucoup, passionnément… à la folie

« Elle mesure un mètre soixante-sept, porte du 36, ne met jamais de soutien-gorge ni de talons de moins de cinq centimètres, a des taches de rousseur mais les cheveux blonds. » Elle, c’est Lou Trenet – sans aucun lien de parenté avec le chanteur, à son grand dam. Une jeune femme tout à fait charmante, suivie par 730 000 personnes sur Instagram. Dont Diane.

20/06/2024, 10:25

ActuaLitté

Gigantisme animal, Moby Dick de retour

Il est le plus grand des mammifères carnassiers du monde : jusqu’à plus de 20 mètres de long pour les plus grands mâles ! Il est celui qui a la capacité de descendre en apnée jusqu’à des profondeurs où seule une poignée d’engins de conception humaine parviennent alors que c’est là que se trouve son garde-manger quotidien : au-delà de 2000 mètres pour des apnées de presque une heure et demie !

18/06/2024, 11:39

ActuaLitté

Erri de Luca et Les règles du Mikado, ça compte aussi pour la vie

« J’ai froid, laisse-moi rester dans ta tente. » Et avec cette phrase, c’est une histoire aussi étrange qu’attachante qui commence. Là haut, dans les montagnes, à la frontière entre l’Italie et la Slovénie, un vieil homme campa en solitaire, comme il a pour habitude de le faire – soit disant pour s’éloigner du monde, retrouver un semblant d’entièreté. Mais cette nuit-là, quelqu’une s’invite dans sa tente.

17/06/2024, 15:14

ActuaLitté

Craque pour moi, Medaka : séduire le petit nouveau de la classe en 5 étapes  

Personne ne peut résister au charisme foudroyant de la fille la plus populaire du lycée ! Personne à part... le nouvel élève qui vient d'arriver et qui garde ses distances, quoi que Mona fasse pour le faire fondre. Piquée au vif, elle va redoubler d'effort pour le séduire... quitte à s'y brûler les ailes. 

17/06/2024, 10:30

ActuaLitté

Sur les traces de “Didi”, chauffeur routier du Brésil

Dans Ce qui m’appartient (traduction de Keylla Barbosa et Pierre Marlière, Grasset, 2024), premier roman autobiographique de l'auteur, José Henrique Bortoluci nous raconte son père, camionneur sur les routes sans fin du Brésil. Par Bruno Ménétrier.

13/06/2024, 12:51

ActuaLitté

Les somptueuses planches d’Aurélie Wilmet

Aurélie Wilmet est une autrice de bande dessinée qui, dès son premier album, s’est imposée comme une des artistes contemporaines à suivre. Elle revient avec un second album tout aussi marquant, toujours chez Super Loto Éditions, l’occasion pour nous de vous les présenter.

12/06/2024, 13:29

Autres articles de la rubrique Livres

ActuaLitté

Yann Queffélec raconte une après guerre d'Algérie

Rentreelitteraire2024 — « Le cœur lui battait, en descendant la passerelle, sa cantine à l’épaule. Il reconnut l’accent chantonnant des dockers, aperçut au loin les remparts du Vieux-Port, Notre-Dame de la Garde. Il était d’ici, presque d’ici, plus ému qu’il n’aurait imaginé. Grâce à Dieu, il était vivant. » 

15/07/2024, 18:06

ActuaLitté

Suspense et danger dans l'Outback Australien

Rentreelitteraire2024 — D'après certains spécialistes, les pays disposant de vastes espaces inhabités sont plus susceptibles de devenir des refuges pour les criminels, car ces derniers peuvent échapper plus facilement à la vigilance des forces de l'ordre... Un roman à l'ambiance à la croisée d'Into the wild et d'un slasher pour adolescents, tout en abordant des thèmes résolument anti-coloniaux et anti-racistes.

15/07/2024, 18:00

ActuaLitté

Fantasy médievale et énigmes : découvrez Le Sang d’Encre

Rentreelitteraire2024 — Dans le royaume des Terres-Mêlées, un mal énigmatique ravage la cité de Kaalun : crevasses, gerçures, fissures et écailles marquent les corps. Un nouveau roman de fantasy médiévale signé Nena Labussière, à découvrir dès 13 ans, le 28 août en librairie.

15/07/2024, 17:31

ActuaLitté

Basile, élève en CM1 : comment vaincre ses harceleurs ?

Rentreelitteraire2024 — Basile, en classe de CM1, est harcelé par Lucas, le nouveau garçon populaire dont tout le monde parle à l'école. À la piscine, ce dernier a remarqué la cicatrice qui marque Basile sur le torse,s’ensuit une année très difficile… Quelque chose sur le coeur décrypte les mécanismes du harcèlement, et démontre que l'intervention des adultes est souvent contre-productive. À retrouver en librairie dès le 22 août prochain.

15/07/2024, 07:30

ActuaLitté

Nocturnals, l'intégrale T1

14/07/2024, 15:39

ActuaLitté

Les Ensablés - Rafales, de Roger Vercel (1894-1957)

Encore connu des cinéphiles pour les adaptations au cinéma de ses romans  Remorques (adapté par Jean Grémillon) et Capitaine Conan (prix Goncourt 1934, adapté par Bertrand Tavernier), Roger Vercel est un remarquable écrivain de récits maritimes, inspirés de témoignages  de marins, recueillis à Dinan, ville où il vécut et exerça le métier de professeur de lettres. Par Isabelle Luciat

14/07/2024, 09:00

ActuaLitté

Carlos Díaz Dufoo, penseur solitaire et figure insaisissable

Rentreelitteraire2024 — « J’ai vendu mon âme pour savoir si j’avais une âme. » Carlos Díaz Dufoo, né en 1888 à Mexico, est un écrivain mexicain reconnu pour son œuvre unique et concise. Issu d'une famille intellectuelle, son père portait également le nom de Carlos Díaz Dufoo et était un écrivain, dramaturge, journaliste et économiste éminent. 

14/07/2024, 08:30

ActuaLitté

50 ans d'histoire tunisienne à travers deux familles

Rentreelitteraire2024 — Le désastre de la maison des notables, traduit de l'arabe (Tunisie) par Souad Labbize, est un roman choral et une fresque familiale qui traverse plus de cinquante ans d'histoire tunisienne, tissant les destins de deux familles bourgeoises contrastées : les Naifer, conservateurs, et les Rassaa, libéraux et progressistes. 

14/07/2024, 08:00

ActuaLitté

À la sortie d'Elle et lui de Leo McCarey

Rentreelitteraire2024 — Dans son roman La Face nord, Jean-Pierre Montal tisse une histoire d'amour démarrant par une rencontre fortuite à la sortie d'une projection du film Elle et lui de Leo McCarey. 

14/07/2024, 07:00

ActuaLitté

Spectres du futur : liberté contre immortalité

Rentreelitteraire2024 — Jennifer Richard explore les dilemmes contemporains liés à la révolution technologique. Adrien et Céline, un couple de quadragénaires prospères, incarnent la réussite parfaite : richesse, amour, santé, et carrières passionnantes. 

14/07/2024, 06:30

ActuaLitté

"De plus en plus de couples stériles"

Rentreelitteraire2024 — « Crise de la fécondité. De plus en plus de couples stériles. De moins en moins de garçons. Délétion du gène Y. Infertilité masculine. Et pour les couples qui y arrivaient, huit enfants sur dix étaient des filles, et trois sur cinq naissaient avec le syndrome de l’X fragile ». Un premier roman de science-fiction, entre anticipation politique et thriller psychologique signé Nicolas Martin, à découvrir le 22 août prochain. 

13/07/2024, 08:30

ActuaLitté

Les 5 terres Cycle III – XX Tome 13 : Rester vivants

Les5Terres – Voici le premier tome du nouveau cycle de Jérôme Lereculey, Lewelyn : Les 5 Terres entame son troisième cycle, avec un treizième tome, Rester vivants…

13/07/2024, 08:00

ActuaLitté

Adorés : le tome 9 de la saga Assoiffés arrive en librairie

Rentreelitteraire2024 — Une nouvelle menace gronde au moment même où le Cercle s'effondre. Dans un 9e tome, avant-dernier de la saga, Tracy Wolff embarque le lecteur dans les tréfonds du Royaume des Ombres. À retrouver dès le 14 août en librairie, dans une traduction de Julie Lafon.

13/07/2024, 08:00

ActuaLitté

Harry Roselmack propose un guide pratique de l'existence

Rentreelitteraire2024 — Pour conduire, il n'est pas nécessaire d'être mécanicien, mais une formation s'impose. Pour bien vivre, c'est la même chose. Pour la rentrée, le journaliste Harry Roselmack publie Dieu, la source et l'Univers philosophal aux éditions Jouvence. Un faisceau de réflexion sur la nature humaine, et bien plus encore.

13/07/2024, 07:30

ActuaLitté

Katanga ! La guerre oubliée de la Françafrique contre l'ONU

12/07/2024, 18:22

ActuaLitté

Le futur ne sera pas

12/07/2024, 17:39

ActuaLitté

(Re) découvrir Paris en remontant le temps

12/07/2024, 16:45

ActuaLitté

Vacances studieuses pour lecteurs en herbe...

Qui a dit que les vacances allaient être de tout repos ? Surtout pas les parents de nos très chers lecteurs en herbe... En cette semaine 27 (du 1er au 7 juillet), les cahiers de vacances caracolent en tête des ventes, éclipsant toute littérature, aussi estivale soit-elle. Seule Adèle, avec le tome 21 de Mortelle Adèle : RécréAction Générale !, se fraie un chemin dans le classement des meilleures ventes, s’installant en 9e position avec 15.523 ventes cette semaine. 

12/07/2024, 11:41

ActuaLitté

Les meilleurs livres de poker : guide complet pour progresser au poker

Le poker est un jeu de stratégie complexe qui nécessite une compréhension approfondie des probabilités, de la psychologie et des techniques de jeu. Pour ceux qui souhaitent progresser et améliorer leur performance, les livres de poker sont des ressources précieuses. 

 

12/07/2024, 11:25

ActuaLitté

Un hymne à la librairie, et son importance dans la communauté

#RentreeIndes – Elle franchit le seuil de sa librairie avec une sensation de bien-être enveloppante ; son cœur s'illuminait et son corps se détendait, savourant pleinement le plaisir de revenir dans ce lieu qui lui était si cher. Sa journée de travail commençait sous les meilleurs auspices. Tandis que certains imaginent le paradis sous les traits d'une bibliothèque, d'autres, sans la moindre hésitation, opteraient pour une librairie.

12/07/2024, 08:30

ActuaLitté

Portrait d'une Allemagne détruite

#RentreeIndes – Au cœur des tourments du XXe siècle, Timothée Demeillers dépeint une vaste fresque historique centrée sur les Sudètes, une région éprouvée par les vicissitudes de l'histoire.

12/07/2024, 07:30

ActuaLitté

Une ode vibrante à la vie et un voyage mémorable

#RentreeIndes – Traduction réalisée par Élisabeth Landes depuis l'allemand (Suisse), L'Homme qui apporte le bonheur sera disponible à partir du 22 août 2024. Ce livre traverse l'océan Atlantique, du East River au Danube, offrant deux narrations qui reflètent les drames des émigrés, tout en peignant le portrait d'une époque.

12/07/2024, 06:30

ActuaLitté

L'amour gay en Palestine

#RentreeIndes – Dans une Palestine ardue, baroque et fabuleuse se déploie l’amour fou de Gabriel et d’Isaac. Un étrange vent de sable ensevelit le pays tandis que les deux hommes se rencontrent chez la tante Fátima. Dans Jérusalem, cette ville labyrinthe, ils se séduisent chaque nuit en imaginant des récits de jinns, de lions et de chevaliers.

11/07/2024, 08:00

ActuaLitté

Liberté et émancipation par la littérature, au coeur de l'Empire romain

#RentreeIndes – À l’aube du premier siècle, dans l’Empire romain, la jeune Junil travaille dans la librairie de son père tyrannique. Elle fabrique des papyrus aux côtés d’esclaves qui lui apprennent à lire. Les textes interdits d’Ovide, surtout, lui apparaissent comme une révélation. (traduit du catalan par Juliette Lemerle)

11/07/2024, 07:30

ActuaLitté

Entre vérité et fake news, le double jeu d'un reporter

#RentreeIndes – Le personnage d'Arnaud Daguerre, grand reporter au journal hebdomadaire d'investigation Le Miroir, est acclamé tant par les lecteurs que par ses pairs, qui lui ont attribué le prestigieux prix Albert Londres. Cependant, malgré les apparences, ses méthodes de travail sont loin d'être orthodoxes...

11/07/2024, 06:30

ActuaLitté

Glace et sorbet, toutes les sucreries de l'été !

10/07/2024, 16:45

ActuaLitté

Le 1er août 1944, la ville de Varsovie se soulève contre l'occupation nazie

Rentreelitteraire2024 — L'insurrection de Varsovie, qui s'est déroulée entre août et octobre 1944, est narrée par l'un de ses protagonistes, quatre-vingts ans plus tard. Le 1er août 1944, la ville de Varsovie se soulève contre l'occupation nazie.

10/07/2024, 08:30

ActuaLitté

Tuer ou mourir : le monde se divise en deux catégories...

#RentreeIndes – Qu'est-ce qui peut bien pousser le héros de ce court roman à regagner la Lavaharie, ce petit royaume singulier qui le passionna naguère ? C’est ce qu'il se demande en déambulant dans cette contrée où les habitants ont la particularité de surdévelopper le langage et de subir une religion expiatoire centrée sur le principe de punition.

10/07/2024, 08:04

ActuaLitté

L'auteur de Sherlock Holmes entre à l'école pour enfant extraordinaire

Rentreelitteraire2024 — Découvrez la véritable histoire du mystérieux Arthur Conan Doyle, cet enfant si spécial remarqué pour ses prodigieux talents d'enquêteur... Scolarisé dans l'école pour enfants extraordinaires, le jeune homme découvre Baskerville Hall, établissement dans lequel il va susciter jalousie et admiration. Sous une traduction d'Isabelle Troin, Les mystères de Baskerville est à découvrir en librairie le 29 août prochain.

10/07/2024, 07:30

ActuaLitté

Véronique Olmi est certaine : qui sauve une vie, sauve le monde entier

Rentreelitteraire2024 — Ben, un jeune activiste altermondialiste, traverse la France pour retrouver Jimmy, son demi-frère beaucoup plus jeune, qu'il n'a pas vu depuis le décès de leur mère. Jimmy, récemment retiré de la garde de son père Fred, un musicien alcoolique, a été placé en foyer. 

09/07/2024, 08:30

ActuaLitté

Aider Mourad : trois femmes, une maison, un même espoir

Rentreelitteraire2024 — « Malika aimerait tant lui montrer une autre Algérie, celle de la joie de vivre, celle qu’elle a oubliée mais qui existe encore. Elle grillera le peu d’argent qui reste sur son compte postal pour découvrir avec son amie Suzanne l’insouciance volée à ses seize ans. Rire comme deux gamines dans les rues d’Alger, assommées par ce même soleil qui inonde autant la Corse que son pays. »

09/07/2024, 07:30

ActuaLitté

Marie Hélène Poitras confère aux femmes le pouvoir

Rentreelitteraire2024 — Dans le village fictif de Noirax, dominé par les hommes et leurs lois depuis des générations, le père Berthoumieux aspire à devenir maire et prévoit de passer la main à son fils Jeanty, récemment revenu au village après un mariage échoué. 

09/07/2024, 06:30

ActuaLitté

Trois mille ans d'écologie indienne. Penser autrement la nature

08/07/2024, 18:36

ActuaLitté

Une enfance palestinienne, aux quatre coins du Moyen-Orient

Rentreelitteraire2024 — Symbole de l'identité palestinienne, l'olivier est un appel au temps et à la mémoire. Relation profonde à la terre, l'olivier est la métaphore d'un ancrage centenaire. Ce roman raconte une enfance palestinienne, il est un rappel de la part de rêve et de magie que l'on oublie trop souvent.

08/07/2024, 18:22

ActuaLitté

Là où les absents continuent à être présents

Rentreelitteraire2024 — Marie et l’enfant forment un monde à eux tout seul, ils n'ont besoin de rien d'autres. Quelques mois plus tôt, la jeune femme a brusquement quitté Paul, ignorant qu’elle était enceinte, et s’est éloignée de la plupart de ses amies. Seule la présence d’Élisabeth, sa mère, est tolérée par nécessité.

08/07/2024, 17:33

ActuaLitté

Alice et Finn face aux mystères de la Grande Guerre

Rentreelitteraire2024 — La Première Guerre Mondiale, vue par deux ados, est un ouvrage écrit par Julien Hervieux et illustré sous les traits d'Anaïs Alvarez. Les auteurs y présentent une autre facette de la Grande Guerre, spécialement adaptée aux jeunes lecteurs. Richement documenté et doté d’explications claires, ce livre offre une plongée fascinante dans cette période historique, à travers l'histoire d'Alice et Finn.

08/07/2024, 16:49