Dans mon panthéon tout subjectif de la science-fiction, au croisement de l’adolescence finissante et de l’université débutante, il y a Frank Herbert. Parce que Dune – je veux dire, TOUT Dune – m’a littéralement retourné le cerveau.
Mais il en est un qui, lui, m’a ouvert d’autres mondes, tant il aimait à jouer les explorateurs fugaces d’univers parallèles, plausibles, déplaisants. C’est Philip K. Dick. J’avais consacré un long (très ? trop ?) papier à cette nouvelle traduction de Ubik, parce qu’Hélène Collon le vaut bien, parce que Dick le mérite, parce que je fais aussi ce que je veux.
Mais d’avoir enfin le livre dans les mains, de parcourir les pages et de piocher, juste par brèves vaporisations, ça transforme la semaine.
J’y ajoute Les Clans de la Lune alphane, véritable pépite où les maladies mentales croisent les gens normaux, qui sont probablement moins aptes à la normalité que les premiers. Là encore, des glissements invraisemblables.
Publiée le
19/01/2023 à 09:24
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