Le 52e Prix Maison de la Presse est décerné cette année à Éric Fouassier pour son roman Le Bureau des affaires occultes publié aux éditions Albin Michel. Créé en 1970, le Prix Maison de la Presse récompense chaque année un ouvrage rédigé en langue française destiné à un large public.
Le 20/05/2021 à 16:42 par Dépêche
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Publié le :
20/05/2021 à 16:42
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Organisé par NAP, groupe de distribution de proximité à la tête du réseau des 1300 Maisons de la Presse, il reflète l’engagement de libraires indépendants qui ont à cœur de conseiller leurs clients dans leurs choix de lecture. Le Prix a notamment récompensé depuis sa création René Barjavel, Régine Deforges, Amin Maalouf, Daniel Pennac, Jean Teulé, Véronique Olmi, Michel Bussi, Agnès Ledig, Philippe Besson ou Valérie Perrin.
Parmi les 6 finalistes du Prix, le jury a retenu Le Bureau des affaires occultes, le premier opus d’une série policière et historique qui plonge le lecteur dans le Paris du XIXe siècle. Voici le résumé proposé par l'éditeur :
Automne 1830, dans un Paris fiévreux encore sous le choc des Journées révolutionnaires de juillet, le gouvernement de Louis-Philippe, nouveau roi des Français, tente de juguler une opposition divisée mais virulente.
Valentin Verne, jeune inspecteur du service des mœurs, est muté à la brigade de Sûreté fondée quelques années plus tôt par le fameux Vidocq. Il doit élucider une série de morts étranges susceptible de déstabiliser le régime.
Car la science qui progresse, mêlée à l’ésotérisme alors en vogue, inspire un nouveau type de criminalité.
Féru de chimie et de médecine, cultivant un goût pour le mystérieux et l’irrationnel, Valentin Verne sait en décrypter les codes. Nommé par le préfet à la tête du « bureau des affaires occultes », un service spécial chargé de traquer ces malfaiteurs modernes, il va donner la preuve de ses extraordinaires compétences.
Mais qui est vraiment ce policier solitaire, obsédé par la traque d’un criminel insaisissable connu sous le seul surnom du Vicaire ? Qui se cache derrière ce visage angélique où perce parfois une férocité déroutante ? Qui est le chasseur, qui est le gibier ?
Le jury, composé essentiellement de libraires sous enseigne Maison de la Presse, était présidé par Adélaïde de Clermont-Tonnerre, romancière et directrice de rédaction pour le magazine hebdomadaire Point de Vue, qui vient de publier son 3ème roman Les Jours heureux aux éditions Grasset, et elle-même lauréate du Prix Maison de la Presse en 2010 pour son premier roman Fourrure.
Après un doctorat en pharmacie puis un autre en droit, Éric Fouassier s’est spécialisé dans l’histoire de la médecine, qu’il enseigne à l’université de Paris Saclay. Passionné d’énigmes et de codes secrets, il est l’auteur de romans historiques.
L'année dernière le Prix Maison de la Presse était remis à Caroline Laurent pour son roman Rivage de la colère, publié par les éditions Les Escales.
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Crédit photo : Éric Fouassier à Reims en 2019 - G.Garitan - CC BY-SA 4.0
1 Commentaire
Annick Talbot
11/08/2021 à 16:33
J'ai beaucoup aimé. Est-ce qu'il y aura une suite car sous le titre il y a I comme si c'était le premier tome. Si c'était le cas je surveillerai sa sortie. Merci. Cordialement.
Annick Talbot