La réglementation des cryptomonnaies

Le nom cryptomonnaie, intégrant le préfixe grec crypto, qui veut dire « caché », semble déjà nous indiquer qu’il s’agit d’un univers complexe, accessible simplement à quelques initiés. On approche ainsi, étymologiquement, d’une partie de la vérité. Il est en effet difficile de réussir dans le maniement des monnaies virtuelles quand on n’a bénéficié d’aucune formation, si ce n’est le visionnage de quelques vidéos sur les réseaux sociaux. 

Si l’on revient aux origines, le terme « cryptomonnaie » est fondé sur le préfixe « crypto », qui signifie « caché » en grec. Mais le mot lui-même fait débat, puisque plusieurs grandes institutions financières mondiales se sont positionnées contre son usage car il ne s’agit pas véritablement d’une monnaie, au sens classique du terme, plutôt d’un actif, comme peut l’être l’or. D’un point de vue juridique et fiscal, c’est l’expression actif numérique qui prévaut.

Les cryptomonnaies ont pris d'assaut le monde financier et suscitent un intérêt croissant auprès des investisseurs, des technologues et du grand public. 

Le monde des disquaires s'est effondré parce qu'ils n'ont pas bénéficié d'une loi sur le prix unique - et c'est ce qui permet à la librairie de persister aujourd'hui, grâce à la Loi Lang de 80. Et en Angleterre, cette législation qui existait auparavant a été abrogée. Au point que récemment, le patron de Hachette UK ait déclaré que finalement... son point de vue des années 90... il en était peut-être un peu revenu...

Après avoir lancé une commission parlementaire chargée d'établir l'opportunité de réglementer le prix des livres au Québec (voir notre actualitté), le ministre de la Culture Maka Kotto a affirmé vouloir une décision avant la fin de l'année, rapporte Le Devoir.

Les derniers rebondissements dans le cours de la cryptomonnaie reine, à savoir le Bitcoin, ont eu de quoi donner des sueurs froides même aux spéculateurs les plus avertis. Montée jusqu’à plus de 68 000 dollars en novembre 2021, la célèbre monnaie est depuis redescendue au-dessous des 20 000 dollars. Ne serait-il donc pas pertinent de lire quelques ouvrages avant de se lancer tête baissée dans l’achat et la vente de cryptomonnaies.

Depuis le début de 2021, les cryptomonnaies sont partout : on en parle dans la presse, à la télévision, à la machine à café... et tout le monde semble avoir son avis sur la question ! Derrière l’engouement évident qu’elles suscitent, les crypto sont encore méconnues du grand public et enveloppées d’une sorte d’aura mystique qui leur donnent parfois mauvaise réputation. Entre avis mal informés et jargon incompréhensible, il est parfois difficile de mettre un premier pied dans l’univers des cryptomonnaies.

Le genre de la science-fiction a une longue histoire de prédiction de l'avenir. Par exemple, Jules Verne a pu prédire l'avènement des sous-marins et des voyages spatiaux grâce à ses romans Vingt mille lieues sous les mers et De la terre à la lune. Dans le même ordre d'idées, la science-fiction a également prédit de nombreuses technologies qui sont aujourd'hui devenues réalité. Alors que la blockchain n'en est qu'à ses débuts, il existe plusieurs exemples de livres de science-fiction classiques qui ont prédit les cryptomonnaies et les blockchains telles que nous les connaissons aujourd'hui. 

L’idée ne manquait pas d’astuce : c’était sans compter sur les avocats et la protection du Sacro-Saint Copyright. Une cryptomonnaire baptisée JRR Token, fortement inspirée du Seigneur des anneaux, vient de se faire épingler : en cause, la trop grande proximité avec le nom de l’écrivain britannique JRR Tolkien. Il est des jeux de mots que les ayants droit ne tolèrent pas…

Lire est peut-être la première des initiatives à adopter si l’on souhaite se lancer sur le marché très complexe des cryptomonnaies. Dans un univers qui apparaît en phase de correction depuis plusieurs mois, touché par de nombreuses crises de confiance, il importe d’être le plus éclairé possible pour prendre les bonnes décisions.

Voilà près de dix ans que le sujet n’avait pas montré le bout de son marque-page : un prix unique du livre au Québec, en 2013, tout le monde en parlait, mais le gouvernement de Philippe Couillard en juin 2014 décidait de balayer la mesure. Pourtant, la ministre de la Culture de l’époque, Hélène David, avait promis une réflexion : ce furent des mesures ciblées à la place… au grand désespoir des professionnels. Un nouvel espoir est-il permis ?

Le tout se passe au Québec, mais ce n'est plus un océan qui pourrait séparer le marché du livre de son homologue français : rien n'est encore acté, mais l'Assemblée nationale du Québec annonce une commission parlementaire sur la réglementation du prix de vente des livres neufs. Celle-ci répond à une large inquiétude interprofessionnelle quant à la situation des librairies, critique au Québec comme ailleurs.

La réflexion se prolonge au Québec autour de la mise en place d'un règlement sur le prix de vente des livres neufs. C'est dans ce cadre que vient d'être mis en place une commission parlementaire. Cette dernière aura pour tâche de mieux appréhender les conséquences et les possibilités d'application d'une mesure qui fait toujours débat, rapporte La Presse Canadienne.

Faites-vous partie de la communauté grandissante d’amateurs de cryptomonnaie sur la toile ? Le Bitcoin (BTC) et les autres cryptomonnaies sont généralement utilisés pour des investissements, dans des jeux de casinos, des Jeux supportant le bitcoin ainsi que pour d’autres opérations.

La Filecoin Foundation se présente comme un « réseau décentralisé pour le stockage en ligne des informations les plus précieuses de la planète ». Lancée en août 2017, l'organisation indépendante dispose de sa propre cryptomonnaie, le Filecoin, qui permet de louer des espaces de stockage pour créer ce réseau décentralisé. La plateforme Internet Archive accepte un don de l'association, à hauteur de 50.000 Filecoins (FIL).

Si vous êtes un fin connaisseur des monnaies virtuelles, il pourrait vous prendre l’envie d’écrire un livre afin de diffuser votre savoir en la matière. A moins que vous soyez plus dans la perspective de ne pas partager vos secrets ! Mais, la question mérite d’être posée.

Le 22 juillet, Amazon publiait une offre d'emploi, dans l’optique de recruter un « responsable de produit de monnaie numérique ». Depuis, les spéculations allaient bon train et se multipliaient à propos de la stratégie de cryptomonnaie de ce géant de la vente en ligne… Des Bitcoins pour payer sur Amazon ? Pas si vite...

Après une baisse importante des cours des cryptomonnaies en 2022, les principales valeurs sont reparties à la hausse, faisant ainsi taire les critiques qui prédisaient la fin catastrophiques de ces placements. Qu’en sera-t-il à l’avenir ? Difficile de le prévoir. Mais, un regard porté sur quelques publications permet d’y voir plus clair.

Dans l’univers des cryptoactifs, il existe une myriade de possibilités, avec des créations qui ne cessent de prendre de l’importance. Il devient de plus en plus difficile de s’y retrouver. Entre les plateformes d’échange, les cryptomonnaies, et des jetons numériques, un univers des plus virtuels s’offre à nous, mais cela ressemble fortement à une nébuleuse indescriptible. 

Si l’on entend de plus en plus souvent prononcer le terme « blockchain », on est souvent dans l’incapacité de mettre une réalité derrière ce mot. Et pourtant, il fait de plus en plus partie du quotidien de nombreux professionnels, à commencer dans l’univers du numérique. 

Depuis leur apparition, il n’y a de cela que quelques années, les monnaies virtuelles continuent de faire débat, tout en suscitant un grand intérêt de la part des particuliers mais aussi chez les professionnels de la finance. Pour certains, elles pourraient résoudre les phénomènes d’instabilité des monnaies. Pour d’autres, c’est précisément tout le contraire, et l’on navigue dans un univers très nébuleux. 

La directive sur le droit d’auteur s’oppose à une réglementation nationale autorisant la reproduction numérique des livres indisponibles dans le commerce en méconnaissance des droits exclusifs des auteurs. C’est ce que la Cour de Justice de l’Union européenne a considéré dans l’arrêt de l’affaire C-301/15. Une telle réglementation doit garantir la protection assurée aux auteurs par la directive et veiller en particulier à ce qu’ils soient effectivement informés de l’exploitation numérique envisagée de leur œuvre tout en ayant la possibilité d’y mettre fin sans formalités.

Un petit pas pour l’Homme, un grand pas pour les cryptomonnaies, qui séduisent manifestement les éditeurs. La solution des NFT — ce modèle d’achats ou vente de produits numériques, disposant d’une traçabilité qui certifie leur origine — devient un enjeu pour la maison DC Comics. L’éditeur américain dévoile ainsi sa propre marketplace, avec les premiers projets commercialisés. 

ESSAI – «La bataclanisation des esprits », « l'ère de la transpercence », « l'hyper réglementation », etc. Le dictionnaire de ma vie d'Eric Dupond-Moretti est saupoudré de néologismes , pour décrire la société qui émerge et frapper les esprits. Dénoncer. Éveiller. Faire rire. Surtout faire penser. Une lecture ébouriffante.

Pour développer une solution automatisée dans la gestion du droit d’auteurs et de reproduction à destination des entreprises, Copibec signe un accord avec Scenarex. La société montréalaise fournira ainsi une solution basée sur les outils de blockchain. Une avancée majeure, qui répond aux besoins des clients de la société de gestion collective.

La Securities and Exchange Commission (SEC), l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers, vient de faire état des différents documents que lui ont transmis les grands groupes cotés aux Etats-Unis. Cela permet notamment de prendre connaissance des salaires des dirigeants d'Apple.

Le 18 avril dernier, les présidents de l’European and International Booksellers Federation, Jean-Luc Treutanaere, Fabian Paagman et le président de la Fédération européenne des éditeurs Henrique Mota signaient un courrier adressé au député Pascal Durand. Cette lettre conjointe évoquait la réglementation sur le blocage géographique. Un dossier vaste. 

Réglementer le prix de vente des livres au Québec, « ça urge », assure une campagne lancée ce jour au travers d'une soixantaine de librairies indépendantes de la Province. Si le ministre de la Culture, Maka Kotto, avait assuré que la réglementation ne prendrait pas cinq années pour arriver, les professionnels s'impatientent tout de même. 

La campagne de réduction de prix à 66 % pour les 100 meilleurs romans vendus sur l'ebookstore de WH Smith a dû connaître un certain succès. Bilan des courses, en l'absence de toute réglementation (coucou !) et d'intervention de la part des éditeurs, le libraire en rajoute une triple couche, avec option laque.

Depuis 2015, la plateforme BDfugue.com, extension en ligne du réseau de librairies, réfléchissait âprement aux modalités d’un programme de fidélité. Un exercice complexe, nécessitant de s’accorder avec la législation encadrant la vente de livres — le fameux prix unique — et la volatilité des internautes. Mais à l’époque des Bitcoin et autres cryptomonnaies, l’idée a jailli : des Bulles, garanties sans spéculation ni risque financier.