L’inauguration des 24es Rendez-vous de la Bande Dessinée d’Amiens, aura lieu ce vendredi 31 mai à partir de 18 h à la Halle Freyssinet. Pour la première fois cette année, est proposée une visite de l’ensemble des expositions visibles à la Halle !
Premier roman d’Elena Ferrante, auteure mystérieuse, écrivant sous pseudonyme, L’amie prodigueuse donna son nom à l’ensemble de cette série en quatre tomes. Traduite par Elsa Damien et publiée aux éditions Gallimard, la Saga Geniale, comme l’ont baptisée les Italiens, raconte la vie de deux jeunes filles, dans la ville de Naples.
Depuis 1985 que ce roman a été publié, l’explosion qu’il a connue avec l’adaptation pour la chaîne Hulu — première diffusion en avril 2017 — c’est devenu l’œuvre incontournable. Et finalement, Margaret Atwood, aux anges, reçoit enfin les lauriers pour cette œuvre majeure.
Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.
C’est la rentrée ! Qui dit rentrée dit rentrée littéraire, avec sa myriade de nouveautés et de découvertes. Qui dit rentrée littéraire dit l’excitation de retrouver des auteurs et autrices attendus, comme le plaisir d’en découvrir des nouveaux. Mais comment s’y retrouver parmi les parutions de cette rentrée ?
Depuis la Seine-Maritime jusqu'auc confins de la région de Normandie, le festival Terres de Paroles s'étend et investit une multitude de lieux : qu'il s'agissent de grandes villes, de petits villages, de sites patrimoniaux ou même d'endroits comme des écoles ou des bibliothèques. L'édition de 2023 ne faillit pas à la règle.
Parce que le bouche-à-oreille reste l’une des recommandations favorites des lecteurs, ActuaLitté a initié avec le réseau social Babelio une nouvelle chronique. Un rendez-vous hebdomadaire qui recense les quinze ouvrages qui intriguent, attirent, fascinent... Votre Pile À Lire n’est pas prête de prendre fin !
Une dizaine de poètes grecs seront présents pendant les cinq jours du Marché, offrant ainsi l'opportunité de mettre en lumière l'Olympie. En parallèle, nous continuerons le projet initié en 2017 avec les États généraux permanents de la poésie, axés cette année sur le thème de la traduction poétique.
En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.
Fin août 2024, Tom Connan sortira son nouveau livre, Capital Rose, publié aux éditions Albin Michel. L’auteur et comédien a souhaité raconter dans ActuaLitté la construction de ce prochain ouvrage tout en nous présentant sa série L’Ecrivain, diffusée sur Connan TV. Entre journal et compte à rebours, voici l’histoire d’un projet singulier.
La Fédération des Éditeurs Européens (FEE, Federation of European Publishers ou FEP en anglais) est une association indépendante et à but non lucratif qui réunit plusieurs maisons d'édition de l'Union européenne et de l'Espace économique européen, par l'intermédiaire de 29 associations ou syndicats nationaux d'éditeurs. Créée en 1967, la fédération a pour principal objectif de conseiller et d'influencer les pouvoirs publics quant aux législations en vigueur dans le domaine du livre.
Le Prix littéraire de la Porte Dorée récompense un roman ou un récit écrit en français traitant du thème de l’exil. Depuis 2022, il s'accompagne d'un Prix BD. Les deux récompenses bénéficient d'une dotation de 4000 €.
Du 2 au 4 juin prochain, la manifestation littéraire dédiée aux territoires et à leurs réalités en mouvement revient. Ouverte à toutes et tous des plus petits aux plus grands, elle offrira lectures, rencontres, débats, projections, ateliers, spectacle jeune public, repas festif, balades patrimoniales...
Si la langue française est devenue, au fil du temps, « langue de Molière », c'est bien parce que le dramaturge est l'une des figures littéraires les plus populaires en France et dans le monde. Le 400e anniversaire de son baptême, fêté en janvier 2022, est l'occasion de redécouvrir l'œuvre et l'héritage du comédien favori de Louis XIV, ainsi que de suivre les évènements de cette année de commémoration.
Que vous soyez fans de GTO, Bleach ou Erased, Tokyo Revengers saura combler vos attentes. Ken Wakui, maître incontesté des manga de furyo au Japon, signe ici l'œuvre la plus ambitieuse de sa carrière. Tout en soignant la description de l'univers des racailles japonaises dans laquelle il excelle déjà, il mène d'une main de maître un scénario complexe mêlant voyage dans le temps, thriller et baston. S'y ajoutent des personnages tous plus charismatiques les uns que les autres pour faire de Tokyo Revengers l'une des plus belles surprises shônen de ces dernières années !
Le coup de feu est lancé : plusieurs centaines de romans sortiront en librairie ces prochaines semaines et jusqu’à la fin du mois d’octobre. En soi, rien d’étonnant. Mais la rentrée littéraire marque une période bien spécifique — au sein d’une année qui aura été mondialement chamboulée.
Marvel : un nom qui incarne à lui seul le concept de super héros. Créée en 1939, la maison d’édition a connu plusieurs identités avant de devenir le groupe multimédia que l’on connaît aujourd’hui. D’abord Timely Comics, puis Atlas Comics, Marvel prend ce nom au début des années 1960, une décennie décisive dans l’histoire de la bande dessinée américaine…
L'édition française fait le bilan de l'année 2018, en demie-teinte : la baisse du chiffre d'affaires s'élève à 4,38 %, pour un total de 2 670,1 millions €. Si l'alarme n'est pas encore donnée, l'édition reste toutefois vigilante vis-à-vis d'une importance moindre accordée à la lecture face aux autres loisirs.
Paris est non seulement une grande capitale culturelle (plus de 1000 événements ont lieu chaque jour), mais c’est aussi la capitale qui rassemble le plus grand nombre de centres et d’instituts culturels étrangers. C’est ainsi qu’en 2002, 31 centres culturels ont répondu à l’appel de Robert Desbiens, directeur du Centre culturel canadien, afin de créer ensemble et sur une base pérenne, le Forum des Instituts Culturels Étrangers à Paris (FICEP), le seul et unique réseau d’instituts culturels étrangers au monde.
Le 64e congrès de l'ABF se déroulera à La Rochelle à l'espace Encan, du 7 au 9 juin 2018, sur le thème : À quoi servent les bibliothèques ?
Lauréat du prix Hugo, Liu Cixin est considéré comme l'un des plus grands écrivains de science-fiction contemporaine. Son œuvre, vendue à des millions d’exemplaires dans le monde entier et déjà adaptée à l’écran, est notée en moyenne 4,11/5 sur Babelio par plus de 2000 lecteurs et lectrices.
Le Prix de l'Instant, du nom de la librairie qui le porte, conçu par Sandrine Babu et Guillaume Perilhou, vise à récompenser, au printemps, un roman francophone paru au cours de l'année et ayant injustement échappé aux regards.
« S’il y a un domaine pour lequel la bande dessinée est un formidable outil, c’est bien les sciences », estime l’éditrice de la collection, Alix de Sanderval. Octopus est un projet éditorial apportant des clés pour comprendre, réfléchir, explorer, découvrir. Astronomie, médecine, biologie, philosophie, rien n’échappe aux tentacules de cette collection.
La tentative de meurtre de Salman Rushdie, le 12 août 2022, a horrifié le monde entier : alors qu'il allait s'exprimer en public, sur scène, l'écrivain a été violemment agressé, poignardé à plusieurs reprises, notamment au cou, aux mains et à l'abdomen. L'auteur rescapé fait l'objet d'une fatwa, depuis 1989, pour son roman Les Versets sataniques.
La famille : soit on ne l’a pas choisi, soit on s’en fabrique une. Elle peut être le dernier endroit de la gratuité dans les relations ou le royaume des pires sévices. C’est également la famille politique, une famille en esprit, ou une « parenté d’oreille ». Objet multiforme et romanesque par excellence, la littérature s’en est servie pour certaines de ses plus belles créations.
Comment l’industrie qui vend des romans, des albums, des récits fantastiques, terrifiants, pourrait échapper à faire elle-même l’objet d’histoires ? Pas la Grande Histoire Littéraire, que l’on invoque avec des majuscules, non. Celle des rumeurs, du qu’en-dira-t-on, entre bruits de couloirs et légendes urbaines.
Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »
Les éditions J’ai Lu ont souhaité se doter d’un prix véritablement incarné par ses votants, c’est-à-dire prix avec des vrais lecteurs dedans. Cette année, la maison lance donc son Prix Club des Lecteurs, une opération au long cours qui prolonge un dispositif d’animations pensé pour tous.
Un week-end à l’Est a été initié par Vera Michalski et Brigitte Bouchard en 2016 avec deux objectifs : raviver la vie culturelle dans le Quartier Latin et créer des passerelles entre les cultures. Cette année, il place la ville d’Odessa au cœur des rencontres, qui se dérouleront à Paris, du 23 au 28 novembre — littérature, cinéma, arts visuels, débats et concerts sont au programme.
Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».