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Oeuvres complètes, Critiques d'art. Tome V, Salons 1857-1859

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Dossier

Les critiques de la rentrée littéraire 2017

Rentrée littéraire, le dossier complet : avec 581 romans français et étrangers en librairie, voilà des lectures à foison. La rédaction propose ses choix et ses conseils, sur les livres qu’on aime, et les autres.

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Dossier

Samurai Origines : l'enfance de l'art

Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.

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Dossier

Le Salon du livre de Turin 2021, le grand Salto

Le Salon du livre de Turin se tient du 14 au 18 octobre 2021, au Lingotto. Il sera précédé par une initiative inédite : au printemps, en ligne et en présentiel, les festivals Portici di Carta (Turin), Libri Come (Rome) et Lungomare di libri (Bari) seront réunis pour une grande fête !

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Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

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Dossier

Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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Dossier

Le centenaire du chef-d’oeuvre de James Joyce, Ulysse

Précédé par une histoire éditoriale tumultueuse et légendaire, Ulysse, le chef-d’œuvre de James Joyce, fête en 2022 le centenaire de sa publication. C'est en France, à Paris, que le récit trouve en effet sa forme définitive, confié aux bons soins de Sylvia Plath.

Extraits

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Ecrits sur l'art

Oeuvres complètes, Critiques d'art. Tome V, Salons 1857-1859

Ce volume réunit les Salons de 1857 et 1859, qui jettent un pont entre le cosmopolitisme de l'Exposition universelle de 1855 et l'émergence de Manet, puis des Impressionnistes au fil des années 1860. Gautier, alors au faîte de sa carrière de critique, est devenu en décembre 1856, rédacteur en chef de la prestigieuse revue L'Artiste, qu'il s'efforce d'engager dans la quête de la modernité. Si sa critique reste fidèle au motto de l'art pour l'art, il se range à une appréciation plus sereine du réalisme – faisant sa paix avec Courbet – et se montre accueillant aux jeunes talents qui émergent, en promouvant des artistes aussi divers que François Millet, Ernest Meissonier ou Puvis de Chavannes. Confronté tout à la fois au goût du Second Empire, à la seconde génération des paysagistes de plein air, aux peintres voyageurs et aux artistes ethnographes, il prend acte de la diversité des talents, et nous offre une image particulièrement riche du monde artistique, dans une capitale devenue "le centre vivant de l'art européen".

11/2022

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Critique littéraire

Oeuvres complètes. Critique théâtrale Tome 11, 1853 - avril 1854

L'édition du feuilleton théâtral de Gautier entre avec ce tome XI (1853-avril 1854) dans la zone chronologique où il n'existait aucune édition antérieure du texte en librairie. Cela accroît l'intérêt propre du commentaire, par Gautier, de l'actualité totale du spectacle vivant, qui pour lui va du Théâtre-Français à la corrida et au cirque. Ici encore il parle beaucoup musique, mais propose aussi plusieurs comptes rendus développés (Lady Tartuffe de Delphine de Girardin, L'Etoile du Nord de Meyerbeer, Le Gendre de M. Poirier d'Augier et Sandeau). Comme pour les dix tomes publiés depuis 2007, le texte a été établi avec soin et annoté en vue de montrer la richesse de ce regard exceptionnel sur l'histoire du théâtre au XIXe siècle.

01/2019

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Critique littéraire

Oeuvres complètes. Critique théâtrale Tome 13, Septembre 1855 - Mars 1857

Responsable depuis avril 1855 du feuilleton théâtral du "Moniteur universel", Gautier est privé, jusqu'en 1864, de son activité jusque-là intense de recenseur des opéras et des concerts, le Moniteur ayant un chroniqueur musical attitré. Désormais tenu par le cahier des charges de sa "Revue dramatique" , il consacre plus de temps qu'auparavant à l'activité patrimoniale de la Comédie-Française et à ses reprises des tragédies et des comédies des XVIIe et XVIIIe siècles, du "Cid" à "Zaïre" et d'"Amphitryon" au "Jeu de l'amour et du hasard". Lorsque la matière lui manque, il se rabat sur les Folies-Nouvelles, où l'attire le mime Paul Legrand, ou propose des réflexions sur le théâtre idéal auquel il rêve. Comme pour les douze tomes publiés depuis 2007, le texte a été établi avec soin et annoté en vue de souligner la richesse de ce regard exceptionnel sur l'histoire du théâtre vivant au XIXe siècle.

01/2020

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Critique littéraire

Oeuvres complètes. Critique théâtrale Tome 12, Mai 1854 - Août 1855

Le tome XII de cette première édition de l'intégralité du feuilleton théâtral de Gautier est marqué par le passage du critique de La Presse au Moniteur universel, en avril 1855. Si ce nouveau poste le rapproche des cercles du pouvoir, il le prive en revanche de son activité jusque-là intense de recenseur des opéras et des concerts, le Moniteur ayant un chroniqueur musical attitré, Fiorentino. Gautier, désormais tenu à une critique purement théâtrale, analyse les pièces à succès de Dumas fils, Augier ou Paul Meurice, et propose des réflexions d'ordre général sur les acteurs et sur les genres. Ce volume est donc panaché : à La Presse, beaucoup de musique (long éloge de La Nonne sanglante de Gounod) ; au Moniteur, un ton plus homogène. On note aussi l'attention accordée au théâtre étranger, durant l'été 1854 lorsque Gautier se trouve invité à Munich, et l'année suivante lors de la tournée triomphale de l'actrice Adelaïda Ristori. Comme pour les onze volumes publiés depuis 2007, le texte a été établi avec soin et annoté en vue de souligner la richesse de ce regard exceptionnel sur l'histoire du théâtre vivant au XIXe siècle.

05/2019

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Correspondance

Correspondance générale. Tome 5 (1855-1857) ; Suivie de lettres retrouvées (1829-1854)

Les années 1855-1857 sont celles durant lesquelles Eugène Sue eut le plus à souffrir de l'acharnement du régime impérial, que ce soit par ses interventions auprès des autorités du royaume de Piémont-Sardaigne, ou par le biais de la censure. L'angoisse de voir la publication de son oeuvre maîtresse, Les Mystères du peuple, interrompue avant son achèvement, affecte gravement sa santé. Le 3 août 1857, il décède quelques semaines à peine avant la tenue d'un procès à charge qui condamne l'ouvrage. Les lettres adressées à Lachâtre et à Flocon permettent de suivre les détails de la publication de cette Histoire de France révolutionnaire. La correspondance avec Marie de Solms se fait plus abondante, témoignant de la permanence d'une amitié amoureuse parfois source de tracasseries.

04/2023

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Musique, danse

Critique musicale. Volume 9 (1856-1859)

En ces années 1856-1859, Paris retentit de concerts en tous genres. « C’est un temps de musique acharnée », s’exclame Berlioz qui, bien qu’au faîte de sa carrière de musicien avec son élection à l’Institut, le grand succès de L’Enfance du Christ et la composition des Troyens, continue d’honorer ses obligations au Journal des débats. L’orgue-Alexandre est l’instrument du jour et l’on s’arrache les billets pour entendre l’étonnant corniste Vivier, très apprécié à la cour. D’autres instrumentistes exceptionnels comme Bülow, Litolff ou le jeune Wienawski se distinguent parmi les centaines d’artistes qui se produisent. Berlioz ne fréquente plus la Société des concerts du Conservatoire, trop « endormie », mais salue le dynamisme de la Société des jeunes artistes dirigée par Jules Pasdeloup et la création de nouvelles formations de musique de chambre. Si l’Opéra se contente de créer des ouvrages de compositeurs « installés », avec La Magicienne d’Halévy et Herculanum de David, ou de reprendre des valeurs sûres comme Le Prophète, La Reine de Chypre et Guillaume Tell, l’Opéra-Comique affiche Le Pardon de Ploërmel de Meyerbeer, à la réussite éclatante. Quant au Théâtre-Lyrique, il vit ses plus belles heures, avec la création du Faust de Gounod, la mise à l’honneur d’opéras de Mozart et Weber, et la reprise de l’Orphée de Gluck dans une version de Berlioz, avec l’inoubliable Pauline Viardot. Malgré une gastralgie qui le mine, Berlioz garde, comme toujours, son humour incisif qu’il distille à travers ses articles et dont il tire un recueil d’anecdotes, Les Grotesques de la musique.

01/2019

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