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La revue internationale et stratégique N° 122, été 2021 : Une Europe géopolitique ?

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Dossier

2020, édition particulière pour le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, organise chaque année un Salon international du Livre rare et de l'autographe au Grand Palais, à Paris : l'édition 2020 a été chamboulée à cause de l'épidémie de coronavirus, et reportée du 18 au 20 septembre 2020. Elle accueillera toujours, en tant qu'invitée d'honneur, la Cinémathèque française.

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Dossier

En 2023, la 50e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême célèbre sa 50e édition en 2023. Un événement pour la manifestation annuelle, qui en profite pour mettre les bouchées doubles et célébrer la bande dessinée de tous les horizons, du 26 au 29 janvier 2023.

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Dossier

Saint-Elme, la folie d'un Twin Peaks, quelque part en Europe

« Ici, c’est spécial. » Depuis trois ans, Serge Lehman et Frederiks Peeters nous ont plongés dans une série dont les couleurs folles peinent à rester dans tranquillement dans leurs pages. Un polar percutant, aux personnages franchement décalés : avec la sortie du cinquième tome, Les Thermopyles, les comparses mettent le point final à leur saga au milieu des montagnes…

 

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Dossier

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe est organisé chaque année par le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, sous la verrière du Grand Palais, à Paris. L'événement attire environ 160 exposants, libraires, galeries d’estampes et de dessins de 12 pays différents, dont une soixantaine de libraires venus de l'étranger.

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Dossier

Législatives 2022 : le livre et la culture dans les programmes

Quelques semaines après l'élection présidentielle qui a reconduit Emmanuel Macron à l'Élysée pour un nouveau mandat de cinq ans, les élections législatives recomposeront l'Assemblée nationale. Les députés, à la fois législateurs et contrôleurs de l'action de l'État, s'intéressent assez logiquement à la culture et au livre.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Laetitia Colombani

Cinéaste, scénariste, comédienne et romancière, Laetitia Colombani s’apprête à réaliser au cinéma le film tiré de son premier roman La Tresse (Grasset, 2017), co-production internationale dont la sortie est prévue en 2022. Elle est également l’auteure des Victorieuses, best-seller en cours d’adaptation en série. L’album jeunesse Les Victorieuses, ou le palais de Blanche est également publié chez Grasset en juin 2021.

Extraits

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 122, été 2021 : Une Europe géopolitique ?

L'Union européenne (UE) a d'abord constitué une intégration économique parce qu'il fallait parvenir à instaurer une paix durable et oublier les guerres du passé, réconcilier et reconstruire les pays, puis en intégrer et soutenir d'autres libérés des dictatures. Diverses crises, notamment au cours des dix dernières années, sont venues rappeler à ce projet à visée d'abord interne qu'il ne pouvait toutefois faire l'impasse sur le monde extérieur. Aussi cette intégration, qui s'est avant tout pensée comme la fin de puissance, ne peut-elle faire l'économie des rapports des forces. En outre, malgré les divisions et les limites qu'elle connaît, et au fil des crises et des aléas, l'Union européenne s'est montrée particulièrement résiliente. Au point que d'aucuns avancent que la construction européenne n'avance précisément qu'en temps de crise. Vu de l'extérieur, par certains aspects, l'UE peut aussi être perçue comme un tout et un acteur-clé des relations internationales : un marché important donc attractif, une puissance économique et financière, un modèle social et une zone où la liberté de l'individu et le respect de sa vie privé sont parmi les plus aboutis au monde. Elle dispose de réels atouts pour se positionner, voire s'affirmer dans une perspective géopolitique. La récente crise du Covid l'a une fois de plus montré, même si elle a également souligné les divisions habituelles entre Etats membres. Lors de son discours au Forum de Paris sur la Paix en novembre 2019, la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, expliquait qu'elle souhaitait construire une "Commission géopolitique" . Elle faisait ainsi suite au changement de cap déjà amorcé par les Européens depuis 2016, et la combinaison du Brexit et de l'élection de Donald Trump aux Etats- Unis, conduisant à questionner des thématiques jusque-là quasiment taboues comme l'autonomie stratégique, la souveraineté et /ou la défense européennes. Si la première année d'exercice de cette Commission aura donc été traversée par la pandémie, elle a aussi été marquée par une posture et des initiatives européennes novatrices, à commencer par la communication de la Commission publiée le 13 mars et invitant les Etats membres à renforcer leurs propres mécanismes de filtrage des investissements étrangers dans le domaine de la santé, de la recherche médicale et des biotechnologies. Le plan de relance et la possibilité offerte à la Commission de contracter ellemême des dettes et le fait même que les Européens soient restés relativement unis face aux représentants britanniques dans le cadre des négociations sur la relation future avec le Royaume- Uni sont autant d'éléments allant dans ce sens. Sur le plan extérieur, l'élection de Joe Biden comme président des Etats-Unis conduit déjà certains en Europe à penser que la parenthèse pourrait se refermer très vite - comme en témoigne l'entretien accordé par Annegret Kramp-Karrenbauer à Politico début novembre 2020. Mais les difficultés n'ont pas disparu pour autant. Les pays européens restent encore divisés sur de nombreux sujets : quelle position européenne face aux Etats-Unis ou à la Chine et dans leur compétition de puissance ? Quelles menaces pour quelle défense européenne ? Comment définir une souveraineté européenne ? Quelle politique migratoire ?

06/2021

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 127, été 2022

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs États de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces "  printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. À la "  révolution " puis à la "  contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

09/2022

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 123, automne 2021 : 1991-2021 : ruptures stratégiques

Dans le cadre de la trentième année d'existence de l'IRIS, La Revue internationale et stratégique s'arrête sur les grandes ruptures stratégiques survenues au cours des trente dernières années. Dans une perspective résolument évolutive, et sur un ensemble non exhaustif de sujets, l'objectif sera de partir des perceptions de l'époque pour interroger les processus qui leur ont succédé, afin de comprendre in fine la manière dont ces questions trouvent à façonner l'état actuel des relations internationales.

09/2021

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 110, été 2018 : Géopolitique et technologie

De l'intelligence artificielle aux fake news, des GAFA aux ordinateurs quantiques, quelles sont les conséquences de la troisième révolution industrielle sur les enjeux de puissance qui font et défont l'ordre international ? Quelle redistribution de la puissance ces bouleversements provoquent-ils à l'échelle nationale, régionale et mondiale ? Les logiques politiques peuvent-elles et doivent-elles reprendre la main, si tant est que la rapidité et la technicité de ces évolutions permettent encore de faire de la technologie un objet politique ? Ou les ramifications de cette révolution sont-elles vouées à se soustraire au contrôle démocratique ? Les mutations violentes qu'elle occasionne font entrer les Etats dans une ère de transition qui les oblige à repenser les notions de puissance, de pouvoir, de gouvernance et de démocratie. Ces évolutions sont cependant perçues aujourd'hui encore selon une grille de lecture binaire, qui semble opposer optimistes technophiles et technophobes catastrophistes. Une analyse plus nuancée, critique et différenciée des effets politiques et stratégiques de la troisième révolution industrielle paraît tant souhaitable que possible. Ce dossier se propose d'apporter des éléments de réponse à cet éventail d'interrogations et de déconstruire la manière dont est traditionnellement posé le problème.

07/2018

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 124, hiver 2021 : Géopolitique de la nature

Quel est le statut de la nature en géopolitique ? Ce dossier se propose de poser la double question de la nature comme objet (géo)politique et du vivant comme potentiel acteur (géo)politique. Du point de vue politique, l'écologie a migré de la périphérie vers le centre du débat d'idées. Elle ne se définit plus uniquement au regard du projet politique des différents partis. Elle définit désormais à l'inverse leur projet politique. En Europe comme ailleurs, elle interroge en effet la possibilité même du modèle politique moderne et de l'invention d'une société post-industrielle. L'écologie sera notamment un enjeu crucial des élections fédérales de 2021 en Allemagne et de la présidentielle de 2022 en France. Elle est au centre des négociations du Green Deal sur le plan européen et des COP sur le climat ou la biodiversité au niveau mondial. Si la politique de l'objet "nature" concerne classiquement la manière dont la nature s'intègre dans les processus politiques nationaux, la géopolitique de la nature interroge la manière dont la nature s'intègre dans les processus politiques nationaux et internationaux. Que veut dire l'écologie pour les relations internationales ? A l'inverse, il est désormais devenu concevable d'interroger la nature comme non plus seulement comme objet mais comme acteur du politique. Dans cette acception, la politique de la nature mobilise de nouvelles approches qui tentent de penser la manière dont la nature fait effraction de plein droit dans les processus politiques. Dans des arrêts judiciaires comme celui qui concerne la rivière Vilcabamba, en Equateur, des entités naturelles ont déjà acquis un statut juridique. Mais les lacs, les forêts, les animaux peuvent-ils avoir un statut politique ? Si non, le devraient-ils ? Est-il possible enfin de penser leur statut géopolitique ? Une géopolitique de la nature se doit de penser tant la manière dont la nature s'intègre comme un objet dans les processus politiques nationaux et internationaux, que la manière dont elle y fait effraction comme un acteur. Ces deux (géo)politiques de la nature sont-elles malaisément compatibles, ou sont-elles au contraire mutuellement nécessaires ?

12/2021

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 126, été 2022 : De la démocratie en Afrique

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

06/2022

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