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Giorgio Pressburger

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Littérature étrangère

Nouvelles triestines

Peu de villes sont aussi littéraires que Trieste, qui a hébergé des auteurs illustres comme Italo Svevo, Umberto Saba ou James Joyce. Pour saisir l'âme fragmentaire de cette ville-frontière, Giorgio Pressburger a délaissé les monuments célèbres, leur préférant des quartiers moins connus et des personnages à la fois obscurs et emblématiques : Frau Musika, une vieille dame professeur de piano, en butte à un voisinage trop bruyant, l'ingénieur Taussig, commerçant amateur de peinture, qui léguera tous ses biens à sa femme de ménage, ou d'autres figures représentatives de Trieste, où l'imaginaire et le réel se mêlent indissolublement. Les sept nouvelles de ce recueil constituent donc une invitation à découvrir, selon les termes de l'auteur, "l'un des aspects les plus fascinants de cette ville : elle est elle-même un monument à la discrète, paresseuse, turbulente, malheureuse et joyeuse humanité."

06/2019

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Littérature étrangère

Histoire humaine et inhumaine

Inspiré d'œuvres fondatrices de la littérature mondiale, mêlant les genres littéraires et toutes sortes de langues, Histoire humaine et inhumaine prolonge le voyage initiatique à travers le temps et l'espace entamé avec Dans l'obscur royaume. Sur les traces de Dante, Giorgio Pressburger poursuit  sa fresque visionnaire et puissante, quête étourdissante où les grandes figures des "perdants victorieux" du XXe siècle côtoient des proches du narrateur, Ulysse moderne en quête de sens.

04/2015

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Lecture 6-9 ans

L'oncle Giorgio

Giorgio a une étrange maladie : il est allergique aux enfants. Alors quand sa soeur lui envoie ses deux enfants pour un mois, c'est la catastrophe ! Il s'organise aussitôt pour les voir le moins possible. Ce qui n'empêche pas ses neveux de s'amuser comme de petits fous !

01/2018

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Monographies

Catalogue don Giorgio Griffa

Depuis la fin des années 1960, l'artiste italien Giorgio Griffa (né en 1936) réalise des oeuvres abstraites reconnaissables à leurs toiles vierges, non apprêtées et non tendues, travaillées à même le sol. Associé au mouvement de la Pittura analitica (Peinture analytique) au tournant des années 1970, il conserve tout au long de sa carrière une grande indépendance et originalité. Sa peinture, à la fois austère et joyeuse, se décline en cycles et oscille avec un équilibre subtil entre l'apollinien et le dionysiaque. L'exposition et le catalogue qui l'accompagne présentent un don exceptionnel de l'artiste d'un ensemble de dix-huit oeuvres au Centre Pompidou, Musée national d'art moderne. Retraçant les recherches picturales de Giorgio Griffa de 1969 à 2021, ce parcours permet de redécouvrir un acteur majeur de la peinture italienne et européenne de la seconde moitié du XXe siècle.

02/2022

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Cinéma

Photogénie du désir. Michael Powell et Emeric Pressburger 1945-1950

Souvent méconnue en France, mais influente sur plusieurs générations de cinéastes, la filmographie profuse du britannique Michael Powell articule la fantaisie et l'élégance, l'humour et la gravité, la fureur et l'ellipse. Ses films réalisés après-guerre en collaboration avec le scénariste d'origine hongroise Emeric Pressburger sous la bannière des Archers, leur propre compagnie de production, représentent la période la plus féconde de son oeuvre. Je sais où je vais !, Une question de vie ou de mort, Le Narcisse noir, Les Chaussons rouges, The Small Black Room et La Renarde frappent, tous, par leur inventivité formelle, leur liberté de ton, leur exigence artistique, leur densité. Chacun sollicite aussi bien la pensée que le corps du spectateur. Comment la narration et la représentation y sont-elles, à l'occasion, suspendues ou défaites ? Pourquoi leur vision est-elle si poignante ? Comment qualifier la singularité de la poétique powellienne ? Parce qu'ils inquiètent la perception, ces films interrogent le supposé réalisme de l'image cinématographique : ils perpétuent et enrichissent la réflexion sur le concept de photogénie défini par les premiers théoriciens du cinéma. Ils substituent au réel, qui reste leur référent, l'invention d'un monde dont est privilégiée la part invisible et qu'imprègne le sentiment du fantastique. L'analyse des films met au jour une esthétique du débordement que révèlent la dialectique du trompe-l'oeil, entre masquage et désignation, l'expressionnisme en Technicolor et la virulence d'énoncés au pouvoir inattendu. La mise en scène de la puissance du désir, dont les personnages féminins sont la cible mais aussi et surtout la source, fait émerger fantômes et fantasmes. Dans sa circulation entre l'écran et nous, le désir est la substance de la photogénie powellienne. Celle-ci n'est nullement une complaisance faite au regard, mais ouvre sur sa jouissance, vertigineuse.

01/2010

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Beaux arts

Giorgio de Chirico, la peinture métaphysique

L'exposition Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique au musée de l'Orangerie, du 16 septembre au 14 décembre 2020, retrace le parcours et les influences artistiques et philosophiques qui ont nourri l'artiste Giorgio de Chirico de Munich à Turin, puis à Paris où il découvre les avant-gardes picturales de son temps et enfin à Ferrare. De manière inédite, seront mis en lumière les liens du peintre, découvert par Apollinaire puis soutenu par le marchand Paul Guillaume, avec les cercles culturels et littéraires parisiens. Né en Grèce et formé dans le creuset de la culture classique et du romantisme allemand tardif, De Chirico développe les fondements d'une nouvelle conception artistique aux côtés de son frère cadet Alberto Savinio. Elève à l'Académie des Beaux-Arts de Munich à partir de 1908, il découvre la pensée de Nietzsche et Schopenhauer ainsi que les oeuvres de Böcklin et de Klinger. Après un passage à Milan puis Florence, c'est cependant depuis la France, à Paris dès l'automne 1911, qu'il met en place un vocabulaire plastique singulier au contact des révolutions picturales modernistes. Il est très vite remarqué par certaines personnalités artistiques de son temps. Guillaume Apollinaire, Maurice Raynal et André Salmon, mais aussi André Breton, Paul Eluard, Jean Paulhan, sont parmi les premiers à s'intéresser à son oeuvre et à la promouvoir. L'exposition trouve ainsi toute sa place au musée de l'Orangerie autour de la figure de Paul Guillaume qui fut le tout premier marchand de Giorgio de Chirico. De retour en Italie en 1915, il est envoyé avec son frère Savinio à Ferrare pour des raisons militaires et y poursuit ses recherches picturales. La période ferraraise (juin 1915-décembre 1918) est l'occasion pour les peintres Carlo Carrà et Giorgio Morandi de fréquenter les deux frères permettant ainsi la formation de ce que l'on qualifiera plus tard d'"école métaphysique" et sur laquelle se clôt l'exposition.

09/2020

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