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Françoise Rosay. Actrice de Jacques Feyder (1926-1946). Portrait d'une femme de tête

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

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Dossier

“Offrir aux femmes une terre d’accueil pour exister en tant que femmes”

En cinquante années de publications, les éditions Des femmes - Antoinette Fouque ont cherché à rendre les femmes plus visibles. A l'occasion de leur anniversaire, ce dossier propose de retrouver les oeuvres majeures de leur catalogue.

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Portrait de Roselyne Bachelot en ministre de la Culture

Portrait de Roselyne Bachelot en ministre de la Culture

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Dossier

Le Grand Prix de l'Académie française

Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.

Extraits

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Acteurs

Françoise Rosay. Actrice de Jacques Feyder (1926-1946). Portrait d'une femme de tête

Personnalité artistique de premier plan, Françoise Rosay (1891-1974) a marqué durablement le cinéma français par ses qualités de comédienne et son volontarisme. L'objectif de cet ouvrage est d'étudier son travail d'actrice dans six films Gribiche (1926), Le Grand Jeu (1934), Pension Mimosas (1935), La Kermesse héroïque (1936), Les Gens du voyage (1938), Macadam (1946) tournés sous la direction de son époux, Jacques Feyder. En s'appuyant sur l'analyse des uvres et sur l'examen des archives disponibles, on se propose ici d'essayer de comprendre de quelle manière cette artiste a pu évoluer dans le cadre des contraintes qui pesaient sur les femmes à son époque et comment s'est construite son image dans les médias au fil des ans.

02/2023

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Poésie

L'Omelette rouge

Écrit en bordure de Méditerranée, L'Omelette rouge est un objet vocal à lire aussi avec les yeux. Dans une lumière inférieure s'agitent des voix. Les voix sont séquestrées dans des corps véritables dont la liste dressée par ordre d'apparition s'ouvre sur une comédienne travestie que ses ennemis surnommaient l'omelette rouge. Sarah Bernhardt (1844-1923), Gherasim Luca (1913-1994), Alexandre Blok (1880-1921), Charlotte-Élisabeth de Bavière (1652-1722), John Maynard Keynes (1883-1946), Richard Wagner (1813-1883), Louise Bourgeois (1911-2010), Christine Lavant (1915-1973), Jeanne d'Arc (1412-1431), Ingeborg Bachmann (1926-1973), Arnold Schoenberg (1874-1951), Jean-Marie Straub (8 janvier 1933-), Danièle Huillet (1936-2006), Karl Marx (1818-1883), Friedrich Engels (1820-1895), Lénine (1870-1924), Vélimir Khlebnikov (1885-1922), Alexeï Kroutchonykh (1886-1968), Daniil Harms (1904-1942), Eva Hesse (1936-1970) Cy Twombly (25 avril 1928-) Grace Hartigan (1922-2008), Frank O'Hara (1926-1966), Hannah Hoch (1889-1978), Hans Arp (1886-1966), Til Brugman (1888-1958), Hélène Bessette (1918-2000), Jackson Pollock (1912-1956), Razine (1630-1671), Emily Dickinson (1830-1886), Josée Lapeyrère (1944-2007), Erich von Stroheim (1885-1957), Alexandre Pouchkine (1799-1837), Saint Paul de Tarse (15-67). L'astre Poésie est vécu ici comme un soleil flingué sous lequel scintillent des natures mourantes et de petites personnes perdues. Si " la seule poésie est la poésie à faire " (Pasolini), L'Omelette rouge pose en séries de raccords et dans une préoccupation de distance la question vitale : " que faire? ".

05/2011

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Critique littéraire

Lettres à Jacques Doucet. 1920-1926

Grand couturier, collectionneur inlassable, sachant s'ouvrir aux plus audacieux jaillissements du contemporain, Jacques Doucet (1853-1929) a eu l'intuition pionnière qu'il importait de recueillir "toutes les traces de l'aventure créatrice des écrivains modernes, pourvu qu'ils répondent à des critères de qualité", selon l'expression de François Chapon dans son ouvrage de référence. En juin 1915, conseillé par André Suarès, il commence à constituer une bibliothèque de livres et de manuscrits modernes - la future Bibliothèque littéraire Jacques Doucet. En 1920, son flair lui fait engager un presque inconnu, André Breton, en tant que secrétaire-bibliothécaire, Dans l'esprit du pacte d'échange inauguré par Doucet avec d'autres écrivains, les lettres - dont des passages glisseront dans "La Confession dédaigneuse" - sont des témoignages sans équivalent sur un cheminement intérieur. Les relations instaurées dans la confiance heureuse vont se lézarder et la " érie de malentendus acceptables", selon une expression prémonitoire de Breton, s'achèvera au bout de cinq ans. On ne compte pas les pages capitales sur la maturation du surréalisme. Voyez le projet d'enrichissement de la bibliothèque, à la rédaction duquel Aragon a été associé et où apparaissent les auteurs et les rouvres constellant le firmament du mouvement. Les plus vibrantes concernent les acquisitions de tableaux. Lisez la lettre du 12 décembre 1924 par laquelle Breton presse Jacques Doucet d'acheter le grand tableau de Picasso qui le hante : "Il s'agit pour moi d'une image sacrée." C'est Les Demoiselles d'Avignon.

11/2016

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Critique littéraire

Critique 1946-1996. Une encyclopédie de l'esprit moderne

Fondée en 1946 par Georges Bataille, la revue " Critique " affirme un projet intellectuel à la fois exigeant et original servi par une formule éditoriale rigoureuse : il s'agit, sur les traces de Diderot, de " rassembler les connaissances éparses sur la terre, en exposer le système général et le transmettre aux hommes qui viendront après nous ". Cette visée ambitieuse est portée par des personnalités qui signent la renommée de sérieux de la revue : pas d'équipe, pas de communauté, mais un " esprit Critique ", celui de Maurice Blanchot, Eric Weil, Roland Barthes, Jacques Derrida, Michel Serres, Michel Foucault, Michel Deguy... Ils furent les protagonistes d'une entreprise essentielle pour l'histoire de la critique, de la théorie littéraire et de la philosophie contemporaine. Sur un demi-siècle, jusqu'à la disparition en 1996 de Jean Piel, collaborateur et successeur de Georges Bataille, Sylvie Patron retrace l'histoire de Critique, analyse les grandes écoles de critique littéraire traversées par la revue et développe les enjeux philosophiques qu'elle fut amenée à défendre. La somme des documents publiés, extraits notamment des archives de Jean Piel déposées à l'IMEC, apporte un éclairage inédit sur le contexte dans lequel la revue parut et sur la singularité de son projet.

01/2000

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Critique littéraire

Correspondance 1926-1962

"Avant même d'être surréaliste", Michel Leiris disait avoir été "fasciné par l'espèce de linguistique amusante - comme il y a une "physique amusante"- que le futur et imprévisible académicien Jean Paulhan, alors auteur des plus discrets, esquissait dans son bref mais substantiel ouvrage, très mine de rien, Jacob Cow le pirate ou Si les mots sont des signes ". Autant dire que Leiris et Paulhan n'étaient pas sans "lieux communs": l'un et l'autre, comme écrivains, s'attachèrent tout particulièrement à la question du langage ; l'un et l'autre furent critiques littéraires, critiques d'art et, à des degrés divers, linguistes et ethnologues ; l'un et l'autre s'intéressèrent à l'oeuvre de Raymond Roussel, Antonin Artaud, Laure, Jean-Paul Sartre... Si l'on découvre, dans cette correspondance quelques autres sujets de complicité, apparemment plus futiles - les boules, la nage, la tauromachie, les voyages, la peinture contemporaine -, il est ici essentiellement question de l'oeuvre de Leiris, de ses relations réservées de jeune auteur, puis d'écrivain confirmé, avec l'attentif éditeur et directeur de revues qu'était Paulhan. Ainsi, à l'occasion de la publication de Miroir de la tauromachie, le dialogue entre les deux hommes trouve-t-il son point d'équilibre en même temps que d'affrontement : "Je trouve très forte et très juste, reconnaît Jean Paulhan le 25 août 1939, votre tentative d'explication par la bande de la beauté littéraire. Ne pensez- vous pas, s'il est si rare de nos jours d'attaquer franchement le problème littéraire (je veux dire : d'expression), que la cause en pourrait bien être - malgré tant d'apparences contraires -- qu'il est aussi le plus dangereux ? " A cette réflexion de l'auteur des Fleurs de Tarbes, Michel Leiris fait un sort : "Le problème littéraire représente-t-il un vrai danger, c'est ce que je me demande... L'une des grosses questions qui m'embarrassent depuis longtemps est la suivante : où trouver, dans l'écriture, quelque chose qui soit l'équivalent de ce que sont les cornes pour le travail du torero ? est-on bien réellement fondé admettre comme un équivalent de ces cornes tout ce qui est, pour celui qui s'exprime, possibilité de "déchirement"? "

01/2000

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Histoire de la photographie

1976 / 1986. Une décennie de photographie couleur

Initiée en 1984, la collection de photographies contemporaines du musée d'Art et d'Archéologie d'Aurillac se compose de quelques 750 tirages, datés de la fin des années 1960 à nos jours, et notamment d'un ensemble exceptionnel des années 1970-1980, constitué autour de la question de la couleur en photographie, axe principal d'acquisition du musée. Prenant appui sur cette collection, l'ouvrage propose de retracer l'histoire de la photographie couleur, des prémices de la reconnaissance culturelle et institutionnelle à partir de la fin des années 1970, jusqu'à son assimilation et généralisation dans les années 1980. Les textes qui le constituent explorent cette période brève et mal connue, quand la photographie artistique en couleurs accède aux murs des musées et galeries, auparavant réservés au noir et blanc. Alors que l'on fait habituellement débuter cette apparition en 1976 avec les expositions de William Eggleston et de Stephen Shore au MoMa de New York, cet ouvrage met en évidence le fait que cette histoire de la couleur est à la fois plus ancienne et loin d'être exclusivement américaine. Exactement dans les mêmes années, des photographes français, italiens, britanniques et japonais commencent à explorer la couleur et exposent en Europe comme aux Etats-Unis. Les échanges des deux côtés de l'Atlantique sont nombreux et les parcours de diffusion s'avèrent plus complexes qu'il ne semblerait de prime abord. Un livre indispensable pour mieux saisir les étapes de légitimation de cette production en couleurs, qui reste encore largement à redécouvrir.

06/2021

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