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Critique de la raison socialiste et perspectives

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La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Les critiques de la rentrée littéraire 2017

Rentrée littéraire, le dossier complet : avec 581 romans français et étrangers en librairie, voilà des lectures à foison. La rédaction propose ses choix et ses conseils, sur les livres qu’on aime, et les autres.

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Dossier

Stan Lee, la géniale incarnation de la maison Marvel

Né en 1922, Stanley Martin Lieber, alias Stan Lee, avait en tête, dès son plus jeune âge, l'écriture d'un « grand roman américain » : sa carrière en tant qu'auteur et éditeur lui aura permis de participer à la construction d'un véritable empire du divertissement, Marvel Comics.

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Prix Maison de la Presse 2023 : au service des lecteurs

Mi-janvier, le prix Maison de la Presse a lancé son édition 2023, en dévoilant sa présidente : Tatiana de Rosnay. Organisée désormais par le groupe NAP, il s’agit de la 54e édition de la récompense.

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

DC Comics, la place forte de Batman, Superman et la Ligue des Justiciers

Batman, Superman, Wonder Woman, Green Lantern, Aquaman, et les vilains Harley Quinn, Lex Luthor, Ra's al Ghul ou encore le Joker... La galerie des personnages de DC Comics donne le vertige tant les identités sont fortes et les profils variés : la maison d'édition américaine, créée en 1934 par Malcolm Wheeler-Nicholson, un ancien militaire, n'était pourtant pas spécialisée dans les super-héros à ses débuts.

Extraits

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Sciences politiques

Critique de la raison socialiste et perspectives

Le socialisme a-t-il échoué, devant l'Histoire, à remplacer le capitalisme ? Et si tel est le cas, pourquoi et comment a-t-il failli ? A partir de ce questionnement, l'auteur souligne l'urgence de porter un regard neuf sur l'idéologie socialiste en procédant à la critique de ses fondements théoriques. Pour ce faire, il entreprend une histoire du socialisme, à travers l'analyse et la critique des matérialismes dialectique et historique, et de la conception marxiste de l'économie. Contre un capitalisme sauvage qui étend son emprise et aboutit à d'incessantes délocalisations dans le but d'optimiser toujours un peu plus le profit, quelle espérance reste-t-il à l'homme de bonne volonté ? La démocratie, rempart solide contre les fanatismes et l'inhumanité, est un bon point de départ, et une laïcité raisonnée, respectueuse des croyances et des cultes, permet de réconcilier une humanité qui doit se rassembler autour de valeurs de tolérance et d'entraide. Reste alors à accomplir le plus difficile, le partage équitable des richesses entre Etats et plus généralement entre êtres humains. Cet idéal, cette utopie à laquelle tous doivent contribuer, ne pourra voir le jour qu'au terme d'une lutte politique qui verra un jour triompher "l'humanisme révolutionnaire" dont l'auteur se réclame. Cette "Critique de la raison socialiste" s'adresse à tout lecteur curieux d'histoire, de philosophie et d'économie. De Lucrèce à Marx, de l'origine de la matière aux théories de l'infrastructure et de la superstructure, l'auteur nous entraîne dans un exposé didactique et passionnant, en nous faisant réfléchir sur des thèmes aussi essentiels que la démocratie, la religion et l'avenir de l'humanité.

06/2013

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Sciences politiques

Socialisme théorique et sociale-démocratie pratique. Réponse à mes critiques socialistes

Unanimement condamné depuis sa parution en 1899 par les communistes de toutes tendances, ce livre "évolutionnaire" voulait identifier "les vestiges de la pensée utopique dans le socialisme". Avec des fortunes diverses, l'exécuteur testamentaire d'Engels critique l'espérance en l'effondrement économique du système ou en la disparition des classes moyennes ; la théorie de la valeur-travail, qu'il juge impraticable ; le matérialisme excessif ; et enfin le révolutionnarisme officiel du SPD, qui contredit ses pratiques réelles. A la place, Bernstein plaide pour la démocratie qu'il voit en expansion permanente et qui constitue donc le cadre indispensable pour arriver au socialisme. A la suite de cette traduction - revue et corrigée - de la première édition française (1899 aussi), nous reproduisons quelques-unes des critiques les plus pertinentes de Kautsky, Luxemburg et Plekhanov. Si elles visent juste parfois, notamment quant à la légitimité du but final (abattre le capitalisme), il faut bien reconnaître que, malheureusement, le mouvement réel du XXe siècle a donné globalement raison à Bernstein, même si c'est pour de mauvaises raisons : le système est toujours debout (mais à quel prix !) et le réformisme a été jusqu'ici la principale expression politique des classes ouvrières, qui avaient bien une patrie, comme la guerre de 1914-18 n'allait pas tarder à le démontrer.

04/2010

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Philosophie

Critique de la raison politique

La politique a de tout temps rendu les hommes fous, bêtes ou dangereux, bref déraisonnables. C'est le sens commun qui le dit. Or toute déraison a sa raison et rien n'arrive sans cause. C'est le bon sens qui le veut. D'où la question critique : pourquoi faut-il que les hommes déraisonnent dès lors qu'ils vivent en groupe ? La réponse prend ici la forme d'une remontée vers la condition de possibilité du délire collectif. Elle commence par l'examen des discours du délire (aujourd'hui " idéologiques ") et s'achève dans celui de la structure logique d'un groupe stable. Il en ressort que l'incomplétude de tout ensemble fermé détermine l'usage possible de l'aptitude des hommes à agir et à s'organiser collectivement. Rigoureuse contrainte que la tradition critique baptise discipline. " La politique m'a longtemps caché le politique ", écrit Régis Debray. Elle le cache, non pas au sens où un train en cache un autre, mais où n'importe quel train cache les rails sur lesquels il roule. Il y a beaucoup de trajets, et de vitesses, mais un seul, chemin de fer - ou de croix. Etablissant de façon strictement matérialiste la nature religieuse de l'existence collective, cette critique de la Raison politique découvre dans les pratiques d'organisation des invariants, dont l'ensemble constitue l'" inconscient politique " de l'humanité, ou, si l'on préfère, son éternel présent. En somme, pourrait redire l'auteur : " Je ne cours pas le danger d'être contredit, mais bien celui de n'être pas compris. "

09/1981

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Policiers

Critique de la raison criminelle

A l'aube des Lumières, alors que la justice criminelle se mue peu à peu en science, une série de meurtres plonge la ville prussienne de Königsberg dans la terreur. Hanno Stiffeniis, jeune magistrat chargé de l'affaire, fait appel au grand philosophe Emmanuel Kant pour l'aider à enquêter. Car du haut de sa tour, Kant s'attache aussi à percer les secrets des hommes et de leurs passions. Déjà quatre victimes, et rien ne permet de supposer que l'épidémie de crimes touche à son terme. La menace imminente d'une invasion des troupes napoléoniennes massées aux frontières de la Prusse accroît encore la tension dans la ville. Lorsque l'assassin s'en prend à lui, Stiffeniis se voit contraint d'affronter les démons de son propre passé: il découvrira alors le mobile des meurtres et la raison de sa présence à Königsberg. Critique de la raison criminelle inaugure une série d'enquêtes aussi intelligentes que divertissantes où l'on retrouvera Hanno Stiffeniis.

04/2008

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Philosophie

Critique de la raison pure

" La raison humaine a cette destinée particulière, dans un genre de ses connaissances, d'être accablée de questions qu'elle ne peut écarter ; car elles lui sont proposées par la nature de la raison elle-même, mais elle ne peut non plus y répondre, car elles dépassent tout pouvoir de la raison humaine. Ce n'est pas de sa faute si elle tombe dans cet embarras. Elle part de principes dont l'usage est inévitable dans le cours de l'expérience, et en même temps suffisamment garanti par elle. Avec leur aide, elle s'élève toujours plus haut (comme le comporte aussi bien sa nature) vers des conditions plus éloignées. Mais, s'apercevant que, de cette manière, son œuvre doit toujours rester inachevée, puisque les questions ne cessent jamais, elle se voit contrainte de se réfugier dans des principes qui dépassent tout usage possible d'expérience, et qui pourtant paraissent si peu suspects que la raison humaine commune elle-même se trouve en accord avec eux. Mais, par-là, elle se précipite dans l'obscurité et des contradictions, d'où elle peut certes conclure que cela doit tenir à des erreurs cachées quelque part, mais sans pouvoir les découvrir, parce que les principes dont elle se sert, comme ils vont au-delà de limites de toute expérience, ne connaissent plus désormais de pierre de touche prise à l'expérience. Le champ de bataille de ces combats sans fin, voilà ce qu'on nomme Métaphysique. "

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Sciences historiques

Critique de la raison nègre

Revisiter l'histoire de la modernité occidentale et de la postmodernité mondialisée au regard de celle de la "raison nègre" : tel est le propos d'Achille Mbembe dans cet essai iconoclaste. Par ce terme, il désigne d'abord la somme de sottises concernant l'ensemble des gens d'"origine africaine". Présente dès l'Antiquité, cette représentation s'est surtout consolidée du XVIe au XIXe siècle, quand le Nègre et la race n'ont fait qu'un dans l'imaginaire des sociétés européennes, constituant un nouveau sens commun qui justifiait la supériorité "naturelle" de l'homme blanc sur le reste de l'humanité. Mais l'histoire de la "raison nègre" est aussi celle des luttes abolitionnistes des esclaves africains et de leurs descendants aux Caraïbes et aux Etats-Unis, puis celles pour l'indépendance des colonies européennes en Afrique. Une histoire qui a fait naître un vaste réseau mondial où s'est constitué un imaginaire nègre moderne, participant activement à la mondialisation intellectuelle. Dans l'ordre de la modernité, le Nègre est le seul de tous les humains dont la chair fut faite marchandise. Mais dans un retournement spectaculaire, ce nom honni est devenu le symbole du désir de vie, une force pleinement engagée dans l'acte de création. En analysant cette étonnante contradiction de l'"expérience nègre", Achille Mbembe répond ici à quelques questions dérangeantes : la relégation de l'Europe au rang d'une simple province du monde signera-t-elle l'extinction du racisme, avec la dissolution de l'un de ses signifiants majeurs, le Nègre ? Ou au contraire, une fois dissoute cette figure historique, deviendrons-nous tous les Nègres du nouveau racisme qui pointe, avec la poussée antimigratoire en Europe et l'assignation raciale de catégories entières de la population ? Une réflexion critique indispensable pour répondre à la principale question sur le monde de notre temps : comment penser la différence et la vie, le semblable et le dissemblable ?

10/2015

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