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Correspondance (1886-1938)

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Andrzej Sapkowski

Né le 21 juin 1948 en Pologne, Andrzej Sapkowski imagine le personnage du sorceleur dans une nouvelle, publié en 1986 dans la revue Fantastyka. Geralt de Riv, sorceleur mutant, utilise potion et signes pour venir à bout des monstres, créatures difformes comme humains, qu'il croise sur sa route ou qu'il est payé pour chasser. Après plusieurs recueils de nouvelles et romans, la série du Sorceleur est devenue une référence du genre fantasy.

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Les livres de Roland Topor : humour noir jusqu'au bout du cigare

Roland Topor (1938-1997) restera cet artiste français aux multiples talents : dessinateur, peintre, écrivain, dramaturge, acteur et cinéaste. Une singularité créative qui l'a distingué comme l'une des figures emblématiques de l'art et de la littérature du XXe siècle en France.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Laure Manel

Laure Manel est une autrice française née en 1978, connue pour ses romans contemporains à caractère romantique.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Joyce Carol Oates

Née le 16 juin 1938 aux États-Unis, dans l'État de New York, Joyce Carol Oates a publié plus de 70 ouvrages en quelque 50 ans de carrière : ses romans croisent plusieurs univers et influence, et s'inspirent parfois de faits réels comme Blonde, publié en 2000, qui s'appuie sur la vie de Marilyn Monroe.

Extraits

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Critique littéraire

Correspondance (1886-1938)

Homme de théâtre russe, universellement connu pour sa méthode de formation de l'acteur "le Système", co-fondateur et directeur du Théâtre d'Art de Moscou, acteur, metteur en scène, pédagogue, Konstantin Stanislavski (1868-1938) a laissé une importante correspondance qui témoigne de son trajet théorique et sa longue pratique théâtrale. Les lettres présentées dans cet ouvrage révèlent d'abord son infatigable curiosité qui le pousse à rencontrer les artistes les plus divers pour apprendre auprès d'eux, discuter de son approche du théâtre et du jeu. Grâce aux tournées internationales du Théâtre d'Art en 1906 et 1922-1924, sa renommée s'étend et les échanges se multiplient avec Craig, Duncan, Gémier, Hébertot, Maeterlinck, Reinhardt. La correspondance permet de découvrir aussi les sacrifices personnels consentis au nom de la grande oeuvre : la création, l'administration, et la transmission du Théâtre d'Art de Moscou. A cet égard, les échanges avec l'autre directeur du Théâtre, Nemirovitch-Dantchenko, en disent long sur les difficultés de la cohabitation : pendant quarante ans, les deux directeurs ont tant bien que mal maintenu le cap dans les tempêtes des révolutions et des guerres, et ils ont réussi à sauver leur théâtre, au départ privé, puis nationalisé en 1919. Les lettres de Stanislvski permettent de suivre pas à pas la soviétisation de la compagnie qui faillit disparaître au début des années vingt comme bastion de l'art bourgeois mais qui fut choisie par Staline pour servir de modèle à toute l'URSS. Enfin, les lettres de Stanislavski racontent les angoisses de l'écriture du Système, les pressions idéologiques, les difficultés terminologiques, surmontées par la certitude que l'expérience d'une vie dans l'art servira et enrichira les futurs comédiens.

10/2018

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Poésie

L'Omelette rouge

Écrit en bordure de Méditerranée, L'Omelette rouge est un objet vocal à lire aussi avec les yeux. Dans une lumière inférieure s'agitent des voix. Les voix sont séquestrées dans des corps véritables dont la liste dressée par ordre d'apparition s'ouvre sur une comédienne travestie que ses ennemis surnommaient l'omelette rouge. Sarah Bernhardt (1844-1923), Gherasim Luca (1913-1994), Alexandre Blok (1880-1921), Charlotte-Élisabeth de Bavière (1652-1722), John Maynard Keynes (1883-1946), Richard Wagner (1813-1883), Louise Bourgeois (1911-2010), Christine Lavant (1915-1973), Jeanne d'Arc (1412-1431), Ingeborg Bachmann (1926-1973), Arnold Schoenberg (1874-1951), Jean-Marie Straub (8 janvier 1933-), Danièle Huillet (1936-2006), Karl Marx (1818-1883), Friedrich Engels (1820-1895), Lénine (1870-1924), Vélimir Khlebnikov (1885-1922), Alexeï Kroutchonykh (1886-1968), Daniil Harms (1904-1942), Eva Hesse (1936-1970) Cy Twombly (25 avril 1928-) Grace Hartigan (1922-2008), Frank O'Hara (1926-1966), Hannah Hoch (1889-1978), Hans Arp (1886-1966), Til Brugman (1888-1958), Hélène Bessette (1918-2000), Jackson Pollock (1912-1956), Razine (1630-1671), Emily Dickinson (1830-1886), Josée Lapeyrère (1944-2007), Erich von Stroheim (1885-1957), Alexandre Pouchkine (1799-1837), Saint Paul de Tarse (15-67). L'astre Poésie est vécu ici comme un soleil flingué sous lequel scintillent des natures mourantes et de petites personnes perdues. Si " la seule poésie est la poésie à faire " (Pasolini), L'Omelette rouge pose en séries de raccords et dans une préoccupation de distance la question vitale : " que faire? ".

05/2011

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Psychologie, psychanalyse

Correspondance 1882-1938

Freud eut-il une aventure amoureuse avec sa belle-soeur ? La bataille fait rage entre historiens. Et cette correspondance exceptionnelle, qui s'étendit sur plus d'un demi-siècle, en recèle bien sûr le secret. Minna, plus intellectuelle que sa soeur Martha, la future épouse de Sigmuud, plus curieuse aussi des affaires du inonde, se prend très vite d'affection pour celui qui devait devenir son beau-frère. Et celui-ci, en retour, se livre à elle avec une spontanéité peu commune chez lui, qu'il soit question de sa vie personnelle et professionnelle, de ses aspirations d'homme ou de savant. Mais an fil des lettres, on découvre aussi un épistolier plus inattendu, «capable de susciter le désir» de cette «soeur chérie», pour reprendre les mots d'Elisabeth Roudinesco clans sa préface, puis de lui résister... avant de la relancer ensuite. Et de fait, ils ne cessèrent de se provoquer mutuellement, elle sur le mode mutin, lui le plus souvent coupable. Jusqu'où allèrent-ils ? La réponse gît là, au coeur de cette amitié amoureuse, à l'occasion peut-être d'un certain voyage entrepris en 1898, quelque part entre le sud de l'Autriche et le nord de l'Italie. Mais au-delà de l'anecdote, le charme et l'éloquence attachés au «monde d'hier» prennent, tout au long de cette correspondance, une signification historique et documentaire tellement singulière que l'homme Freud s'y laisse observer sous un jour inédit.

03/2015

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Critique littéraire

Correspondance 1938-1958

Quelle place la tauromachie a-t-elle réellement occupée dans la vie de Michel Leiris ? Fut-elle uniquement, pour l'autobiographe, une métaphore de l'écriture ? L'arène devint-elle le lieu où se conjuguèrent ses intérêts pour l'ethnographie, la poésie, le mythe, l'éthique et le langage ? A ces questions, les 186 lettres de sa correspondance croisée avec celui qui fut son mentor dans la "planète des taureaux", André Castel — oenologue nîmois que ses contemporains appelaient "Don Misterio" — apportent une réponse circonstanciée et inédite... Les deux hommes font connaissance en 1938 alors que Leiris, encore jeune ethnographe, s'apprête à publier une série de poèmes tauromachiques, Abanico para los toron. Depuis 1926, année de son mariage, Leiris assiste en effet à des corridas (il en verra près d'une quarantaine jusqu'en 1965), mais ce n'est qu'en 1935 qu'il éprouve une véritable "révélation", lors d'une faena de Rafaellilo Ponce : "[...] je n'ai jamais trouvé, dans aucune oeuvre artistique et littéraire, l'équivalent de ce que j'ai ressenti à Valence en voyant toréer Rafaelillo, très peu de temps avant qu'il reçoive l'alternative", écrit-il à Castel. Révélation confirmée par la première corrida à laquelle ils se rendent ensemble, à l'automne 1938 : encore sous le coup de l'émotion, Leiris en rédige le compte rendu pour La NRF : "Rafaelillo le 9 octobre à Nîmes"... Après la guerre, André Castel veille à introduire Michel Leiris lequel court les arènes pour voir toréer Fermin Rivera ou Luis Miguel Dominguin — dans le "mundillo" : il lui fait découvrir les " terres à taureaux" de Camargue, l'emmène chez des manadiers, l'invite à des "tientas", lui fait rencontrer des toreros et des aficionados. Et par lettres, ils rivalisent d'érudition tauromachique en évoquant les écrits de Garcia Lorca, Bergamin, Hemingway, Montherlant, Stendhal, Melville ou Alarcon... En Castel, Leiris trouva non seulement un spécialiste avec lequel partager une précieuse conversation sur "l'art tauromachique", mais également un "ordonnateur de plaisirs" qui sut accueillir généreusement ses invités : dès le lendemain de la guerre, se sont ainsi retrouvés, dans la cour de son "labo" au coeur de Nîmes, des toreros célèbres et des chanteurs de flamenco, ainsi que Pablo Picasso (compagnon d'aficit6n avec lequel Leiris vit sa première et sa dernière corrida), Georges Bataille, Blaise Cendrars, Elie Lascaux, André Masson, Jean Paulhan, Jean Hugo, Jean Dubuffet... Mais en 1955, le départ brutal d'André Castel pour l'Espagne annonce la fin de ce commerce amical, tout entier tendu vers l'"image même de notre émotion", que Michel Leiris avait reconnue dans Miroir de la tauromachie.

05/2002

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Correspondance

Correspondance 1896-1934

La correspondance entre André Gide et l'orientaliste pétersbourgeois d'origine estonienne Fédor Rosenberg (1867-1934) est l'une des très rares correspondances gidiennes majeures encore inédites. Riche de 338 lettres, elle s'échelonne de 1896 (Gide et Rosenberg se rencontrent à Florence pendant le voyage de noces du premier) à 1934 (date du décès de Rosenberg). Ces lettres permettent d'apporter une lumière nouvelle sur plusieurs aspects fondamentaux de la pensée, de l'oeuvre et de la vie de Gide : son rapport à l'homosexualité ; sa passion pour Dostoïevski ; ses jugements sur les écrivains russes ; son goût pour les littératures dites "orientales" ; sa vision de la traduction ; l'image qu'il se fait du communisme et de l'URSS ; ou encore son amour pour la musique.

05/2021

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Critique littéraire

Correspondance. 1934-1968

" Il va sans dire que lorsque la question se posera : les quelques centaines de lettres qu'il m'a écrites [sic] sont à la disposition de celui, celle ou ceux qui assumeront la responsabilité de son "héritage" littéraire " (lettre 695). Ce post-scriptum de la lettre d'Armand Petitjean écrite le 10 octobre 1968, au lendemain de la mort de Jean Paulhan, et reçue par Dominique Aury, dernière compagne du directeur de La Nouvelle Revue française, reflète bien la préscience historique et la sensibilité de l'auteur. Ce corpus de presque sept cents lettres s'échelonne sur plus de trente ans, de 1934 à 1968. Le lecteur assiste de près à une véritable et passionnante aventure intellectuelle à travers la période la plus turbulente du XXe siècle : les journées de février 1934, le Front populaire, l'Anschluss, la crise de Munich, la " Drôle de Guerre ", la défaite, l'Occupation, la Libération, les débuts de la Guerre froide, la résurrection de La NRF en 1953, la crise algérienne, l'établissement de la Ve République... Indissociable de cette aventure intellectuelle, et actrice aussi capitale que les deux hommes, s'illustre La NRF elle-même, déjà bien établie en tant qu'institution politico-culturelle. Qu'apprend-on à la lecture de ces lettres, en sus de leur inestimable valeur historique ? Pardessus tout, il s'agit de l'amitié. Dès le début, les deux hommes ont conscience d'être sur la même longueur d'ondes. Comme dans toute amitié qui dure, il y a pourtant des querelles et même des menaces de rupture. Des différences vont les opposer, notamment sous l'Occupation. Tour à tour, les lettres révèlent l'humour partagé, la franchise, la fidélité, l'intelligence de cette amitié, en dépit des colères, des vicissitudes, des réconciliations qui la soumettent à l'épreuve. Aléas du destin, aléas de l'histoire, complicités et discussions, exigences à l'égard de soi, à l'égard de l'ami, affection indéfectible : la correspondance de ces deux hommes nous livre enfin ses richesses, sa complexité humaine et historique.

01/2011

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