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Charles d'Orléans

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Charles Bukowski

Né en 1920 en Allemagne, à Andernach, le jeune Heinrich Karl Bukowski n’a que 3 ans lorsque ses parents décident de partir pour les États-Unis. Celui qui sera plus tard connu sous le nom de Charles Bukowski parcourt bientôt les États-Unis et s’acoquine plus spécialement avec Los Angeles, cité qui influencera toute son œuvre. Son parcours chaotique n’a d’égal que la vénération intense dont ses écrits font l’objet...

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Jean d'Ormesson

Venu au monde dans le 7e arrondissement de Paris, le 16 juin 1925, au sein d’une famille noble, Jean d'Ormesson s'engagea tardivement, de son propre aveu, dans l'écriture, trop occupé qu'il était à lire. Il publie son premier ouvrage, L’amour est un plaisir, en 1956, aux éditions Julliard, mais son livre La gloire de l’Empire, en 1971, lui vaut une reconnaissance littéraire avec le Grand Prix du roman de l’Académie française.

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Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2020

La 47e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, ou FIBD pour faire plus court, se déroulera du 30 janvier au 2 février 2020 : à cette occasion, la ville tout entière vivra au rythme du 9e art, avec des événements un peu partout. Expositions, dédicaces, conférences, cosplays et autres masterclasses attendent les visiteurs, venus du monde entier. 

Extraits

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Critique littéraire

Charles d'Orléans

Charles d'Orléans (1391-1465) fut un des premiers "captifs amoureux" qui aient hanté la littérature française, et l'aient émue de leurs plaintes. Né duc, neveu de roi, il eut à venger l'assassinat de son père, perpétré par Jean sans Peur. Ce délicat adolescent, poète-né, enterra la première partie de sa vie dans les combats de cette noire époque. En 1415, lors de la défaite d'Azincourt, il est fait prisonnier. Il passe vingt-cinq ans de sa vie dans les geôles anglaises ; là, il sombre dans la poésie comme d'autres dans l'alcool, confiant au parchemin ses amours mortes, sa liberté perdue, son pays déchiré. De retour à Blois, devenu sage, il s'abandonne à la contemplation du monde, dans une des poésies les plus exquises qui aient jamais été écrites. Cette courte étude en dit autant sur l'homme Charles que sur cette civilisation finissante, qui, comme une chenille, allait se métamorphoser en un papillon insouciant : la Renaissance.

12/1992

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Critique littéraire

Lectures de Charles d'Orléans. Les Ballades

D'une certaine façon, Charles d'Orléans écrit " pour rien ", à titre gratuit comme à titre gracieux ; il n'a nul besoin de montrer sa rhétorique, il ne compose ni pour avancer sa carrière de courtisan, ni pour se faire reconnaître comme poète à gage ; son discours n'est ni engagé, ni idéologique ; il oscille entre le " je-ne-sais-quoi" et le " presque rien ", et c'est essentiellement cette gratuité qui fascine ; si quelqu'un écrit gratuitement, et avec cette persévérance, c'est que cette gratuité est d'une grande valeur. Il montre, dans sa solitude de prisonnier, combien la parole lui est nécessaire, combien l'échange verbal nourrit sa création ; dans son exil, c'est le dialogue avec Coeur, avec Espoir qui lui permet de se construire un univers de liberté. Ce qui comptera, à son retour en France, c'est bien cette rencontre avec des poètes choisis, autour d'une forêt de longue attente, ou d'une fontaine où il est impossible de se désaltérer. Les échanges avec les poètes, les concours ne sont plus des dialogues fictifs, mais des retrouvailles, d'un imaginaire l'autre, autour d'une thématique commune, d'un mot qui fait rêver et met en marche à la fois une sensibilité individuelle et une opération poétique. Etonnons-nous de ce prince poète dont les conquêtes sont intérieures, qui parvient à inventer un univers de liberté et de souffrances parallèle à celui de son exil, à organiser dans un récit de vie savamment fragmenté quelque chose que ne renieraient ni le Dante de la Vita nuova ni le Pétrarque du Canzoniere ; mais qui, à la différence de leur démarche, parvient à étendre au-delà de lui-même son univers poétique, et à y intégrer, autonomes mais parentes, les créations d'autrui.

12/2010

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Critique littéraire

La poésie lyrique de Charles d'Orléans

Un essai, précédé d'une biographie, sur l'oeuvre poétique (spécialement les ballades et rondels) de Charles Ier, duc d'Orléans et de Valois (1394-1465).

01/1972

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Critique littéraire

Etre poête au temps de Charles d'Orléans (XVe siècle)

Le présent ouvrage réunit des contributions de chercheurs parmi les meilleurs spécialistes de la poésie française de la fin du Moyen Age. A partir de la production exemplaire de Charles d'Orléans, foyer des études proposées, il tente de répondre à cette question où se nouent la poétique et l'ontologie : qu'est-ce qu'être un poète au XVe siècle ? Au moment même où la littérature s'invente une nouvelle autonomie, cherche à se donner un champ propre, qu'en est-il de l'implication du sujet dans sa langue, de l'influence de cette dernière sur la construction d'une identité, et enfin qu'est le lieu où s'inscrit cette identité poétique : la page, le livre, la communauté littéraire, ou plus simple et nue, la vie ?

12/2012

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Littérature française

Orléans

Qui a lu l'oeuvre publiée de Yann Moix sait déjà qu'il est prisonnier d'un passé qu'il vénère alors qu'il y fut lacéré, humilité, fracassé. Mais ce cauchemar intime de l'enfance ne faisait l'objet que d'allusions fugaces ou était traité sur un mode burlesque alors qu'il constitue ici le coeur du roman et qu'il est restitué dans toute sa nudité. Pour la première fois, l'auteur raconte l'obscurité ininterrompue de l'enfance, en deux grandes parties (dedans/dehors) où les mêmes années sont revisitées en autant de brefs chapitres (scandés par les changements de classe, de la maternelle à la classe de mathématiques spéciales). Dedans : entre les murs de la maison familiale. Dehors : l'école, les amis, les amours. Roman de l'enfance qui raconte le cosmos inhabitable où l'auteur a habité, où il habite encore, et qui l'habitera jusqu'à sa mort, car d'Orléans, capitale de ses plaies, il ne pourra jamais s'échapper. Un texte habité, d'une poésie et d'une beauté rares, où chaque paysage, chaque odeur, chaque mot, semble avoir été fixé par des capteurs de sensibilité saturés de malheur, dans ce présentéisme des enfants martyrs. Aucun pathos ici, aucune plainte, mais une profonde et puissante mélancolie qui est le chant des grands traumatisés.

08/2019

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Histoire de France

LIBERATION D'ORLEANS

Au moment où ils mettent le siège devant Orléans, les Anglais se croient tout près de réaliser leur vieux dessein : annexer la France à la couronne d'Angleterre. Le sort de la ville, berceau de la dynastie capétienne et lieu stratégique essentiel, va ainsi décider de la survie, ou de la disparition, de la monarchie française ; c'est là que la guerre de Cent Ans va être perdue ou gagnée. Dans ce théâtre d'affrontement politique, militaire, symbolique, voici qu'apparaît, signe de la volonté divine, une jeune paysanne, la Pucelle, qui va galvaniser les énergies latentes des Orléanais pour mettre en déroute l'envahisseur et le refouler hors du royaume. De ce moment charnière, Régine Pernoud donne une reconstitution magistrale. Quarante ans après sa parution, ce livre n'a rien perdu de son éclat. Dans une postface inédite, Jacques Le Goff explore la portée historique de l'événement en faisant écho notamment au Mystère du siège d'Orléans, cette oeuvre théâtrale qui offre le commentaire le plus profond sur le siège et son dénouement : ce n'est pas la force des armes qui sauve Orléans, et la royauté, mais le décret de la Providence. En mettant fin à la "France anglaise", Dieu signifie sa résolution de modeler les sociétés humaines en autant de nations distinctes. Ainsi s'esquisse, à l'épreuve de cet épisode mémorable, une "idée nationale" avant la lettre : la libération d'Orléans s'inscrit dans le lent processus qui devait aboutir à la formation des nations européennes.

03/1969

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