Le fond et la forme

Souvent, avec la rentrée, de belles résolutions voient le jour et la pratique sportive figure régulièrement en pole position. Marathoniens et sportifs confirmés, proposent, dans cet ouvrage illustré avec envie par , des solutions naturelles et appétissantes pour accompagner la reprise de vos futurs entraînements.

Aussi, ne craignez plus l'effort et la fatigue, les boissons isotoniques, les gels énergétiques et les repas hydratants présentés dans ce livre, adaptés aux besoins spécifiques de chaque moment sportif devraient vous donner l'énergie nécessaire pour reprendre confiance en vous et perdurer dans l'effort.

70 recettes dont une gamme de boissons 100% végétale et sans gluten à préparer soi-même, pour faire le plein de vitamines en fonction des saisons. Une approche simple et pratique qui commence dès le choix du blender et qui vous aidera certainement à reprendre le sport sans trop d'effort.

Divisées en trois parties, les recettes sont réparties avant, pendant et après l'effort et les auteurs conseillent de les tester avant le jour même d'une compétition afin de vérifier qu'elles vous conviennent et ne perturbent pas trop votre comportement et digestion puisque chaque personne, chaque situation restent uniques.

Ainsi du smoothie vert préparé en cinq minutes, au petit déjeuner sportif à base d'avoine, de lait de chanvre, de la collation à la pause repas détox, des purées énergétiques… c'est un ensemble de recettes assez simples à réaliser pour peu que l'on puisse facilement se procurer des fruits et légumes biologiques et autres laits végétaux.

Gels sportifs à avaler en pleine action, pâtes et beurres protéinés pour booster le physique autant que le moral, cocktails réconfortants, etc. Tout semble alléchant, assurément motivant pour appréhender avec impatience votre nouvelle activité sportive.

Les recettes testées sont savoureuses et réellement actives, énergisantes. Même sans sport, vous pouvez faire le plein d'énergie pour la rentrée. Et de bonne humeur !

N'hésitez plus. A vos marques ! Foncez et Dégustez !

Lors de la convention C2E2 organisée par Reed Exhibitions à Chicago le magazine spécialiste de la pop culture ICV2 a rendu les conclusions de son « White Paper » sur l'état de l'édition BD aux États-Unis et au Canada en 2009.

Et les choses ne sont guère brillantes selon ICV2. Les ventes de romans graphiques et de comics auraient chuté en 2009. Les ventes des comics publiés dans des périodiques auraient reculé de 3 %, celles des romans graphiques de 6 %. Le marché dans sa globalité aurait décliné de 5 % (soit 35 millions de dollars) passant de 715 millions de dollars en 2008 à 680 millions de dollars pour 2009. Le secteur de la BD enregistre même une baisse plus grande que celle du marché du livre (tous secteurs compris) qui était de 3 % selon Nielsen BookScan.

En ce qui concerne le marché direct, ce sont les comics périodiques qui dominent les ventes mais lorsque l'on inclut tous les canaux les ventes de romans graphiques représentent 54 % du total. D'autre part si les ventes de comics périodiques n'ont chuté que de 3 % c'est en partie grâce à une augmentation des prix. En effet, le prix moyen de ceux-ci est passé de 3,35 $ au dernier trimestre 2008 à 3,51 $ au dernier trimestre 2009.

Du côté des manga, la situation est pire encore avec des ventes en baisse de 20 %. Le secteur de la jeunesse, lui, s'en tire plutôt bien avec une augmentation de 50 %.

Signe de la fin du monde : on va tous mourir ?

Ce déclin du marché de la BD qui est pourtant un secteur habituellement en croissance est expliqué par les répercussions de la crise économique. En ce qui concerne les romans graphiques plus particulièrement, et sur la période du dernier trimestre précisément (comparativement à la même période en 2008) il convient de prendre en compte le phénomène Watchmen, édité à plus d'un million d'exemplaires.

Ou pas...

Se tournant vers 2010, ICV2 voit une évolution positive en se basant sur trois points. Le premier c'est un premier trimestre avec une augmentation de 6 % des ventes de comics périodiques. On notera notamment de gros tirages pour l'adaptation de Twilight en manga (400 000 exemplaires) et du premier roman graphique Captain Underpants qui doit sortir cet été avec un tirage à 1 million d'exemplaires.

Les adaptations de comics au cinéma devraient aussi jouer un beau rôle en 2010 avec plusieurs sorties prévues. On peut déjà voir The Kick-Ass et très prochainement The losers (adaptation de la série Vertigo) et Iron Man 2 (dont on peut déjà voir la bande-annonce). Enfin, nos confrères envisagent une croissance exponentielle des lectures digitales notamment grâce à l'iPad. Et ceci devrait avoir un effet direct sur le secteur de la BD.

Le tome huit des aventures de la petite ado rondouillette est sorti voilà quelques semaines, et il ne nous manquait plus que l'approbation des auteurs, encore perchés sur un nid de coucous, pour publier le témoignage hallucinant de la rencontre avec ces deux improbables gus que sont Zidrou et Darasse.

Les créateurs de Tamara.

La petite ado rondouillette.

Bosse en moins, il avait un mot de sa maman, il fallait qu'il sorte le chien... qui avait piscine.

Mais gare aux jalousies entre filles... c'est funeste...

Après Fun Home et C’est toi ma maman ? (traduction Lili Sztajn et Corinne Julve), respectivement sur son père et sa mère, deux ouvrages dont je vous conseille grandement la lecture par ailleurs, l’autrice revient ici sur... eh bien, elle-même.

240 pages d’introspection, de psychanalyse, d’humour et de questionnements. J’aime le travail de Bechdel, je trouve toutes ses œuvres incroyables, elles me touchent énormément.

Je suis toujours admirative de la façon dont elle parle d’elle avec humilité et recul, tout en réalisant un travail aussi intime. (traduction Lili Sztajn)

« » : ce nom vous dit-il quelque chose ? Peut-être que oui... Mais vous ignorez certainement qui est LE de cet album ! Et vous ne savez certainement pas à quel point il aime la vitesse ! Il l'aime plus que tout ! Avec ses lunettes et son tatouage, il est prêt à braver toutes les autorités, pour pouvoir rouler, rouler, rouler, toujours plus vite, toujours plus loin ! (Il prendra quand même le temps d'aller aux toilettes et de récupérer deux autostoppeuses au passage.)

Vite, vite, vite, lisez cet album pour savoir ce qui arrivera à Steve Mac Kouïn ! Dans cet album, l'action est intense. Les événements s'enchaînent et se multiplient, ce qui provoque de plus en plus de désordre... et de plaisir ! Les couleurs choisies pour les illustrations donnent aux images un caractère vieilli très approprié et les tons jaunes orangés évoquent avec pertinence les paysages américains. En plus, le grand format contribue à donner une impression de grandeur vertigineuse.

Après avoir lu À fond la caisse, préparez-vous à avoir envie de faire vibrer un moteur !

Le groupe de médias allemand Bertelsmann (RTL, Random House ) vient de réussir un très bon premier semestre, surtout si on le compare à celui de l'année 2009.

Sur les six premiers mois, la société affiche un résultat net semestriel de 246 millions d'euros, contre une perte de 333 millions d'euros sur les six premiers mois de 2009. De même, le bénéfice avant impôts et charges financières est de 755 milliards d'euros, poyr 497 un an plus tôt.

Une telle santé s'appuie sur trois points : le rebond du marché publicitaire, des mesures de réduction de coûts mises en place l'an dernier, et la bonne forme de Random House. Harmut Ostrowski, le président : « [Random House] a clairement augmenté ses ventes du premier semestre 2010, grâce à une hausse des revenues venant des profits de sa division américaine et des ventes du numérique qui augmentent rapidement ».

Il faut dire que les ventes d'ebook ont augmenté de 300 % pour Random House. On comprend mieux pourquoi ils ne sont pas laissés marcher dessus par Wylie. Quoi qu'il en soit, Berstelmann se prend maintenant à rêver tout haut d'un résultat net pour 2010 au-dessus des 500 millions d'euros !

Le MOOC se présente comme la dernière grande innovation en matière d’enseignement de ces dernières années. Et le principe du Massive Open Online Course (cours virtuels via internet avec un nombre quasi illimité de participants) a d’ores et déjà séduit des millions de personnes dans le monde et promet d’occuper une place encore plus importante à l’avenir. 

En effet, en 2012, les MOOC ne représentaient que 2 % du marché de l’éducation. Si l’on se fie aux chiffres compilés par Educadis, ce marché atteindra 30 % de ce même marché en 2022. De quoi effrayer les universités et écoles supérieures traditionnelles ? 

Pas tout à fait. Car celles-ci ont déjà pris place sur le marché. Pour une fois, on peut dire que les choses n’ont pas tardé, et plusieurs institutions reconnues ont fait preuve de réactivité (Sciences Po, Panthéon-Sorbonne, ENS Lyon, etc.) et proposent désormais des cours massifs en ligne. Qui plus est, la qualité ne semble pas avoir été sacrifiée. Ainsi, Bruno Latour proposait un entre février et mai 2014, un cours de Scientific Humanities. 

Ce cours, ainsi que 35 autres, était présenté via la plateforme « France Université numérique », sous la houlette du Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Le nombre d’inscrits s’élevait à 300 000 en mai 2014, toujours selon Educadis.

Résultat de cet engouement : au premier semestre 2014, on comptait pas moins de 80 MOOC en France. Si l’on prend en compte l’ensemble du monde francophone, l’offre monte à 141. 

Ce succès peut s’expliquer en partie par le fait que la France et les Français sont familiers avec la notion d’enseignement à distance. L’ancêtre du CNED, le CNEPC, date de 1939, autant dire que l’idée de travailler loin des salles de classe a eu le temps de faire son chemin. 

À terme, la plateforme « FUN » (sic) devrait être gérée par les universités elles-mêmes. Tel est le souhait du ministère qui a lancé récemment un Appel à la manifestation d’Intérêt (AMI). Les différents établissements pouvaient déposer une candidature pour la gestion de la plateforme jusqu’au 24 juillet, avant de déposer un dossier détaillé d’ici le 24 septembre. Courant novembre, une décision sera prise, qui prendra effet en 2015. 

Le ministère espère que les universités sauront s’entendre pour faire fructifier la plateforme et l’inscrire dans le long terme. 

Crédit photo : 

Mathieu Plourde

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