Jean Van Hamme, Philippe Aymond

BONNES FEUILLES – Jean-Philippe Toussaint nous livre un texte profond sur la création littéraire : à travers le récit de son parcours d’écrivain, il mêle exploration psychologique et réflexions à portée universelle et nous offre sa vision de l’écriture, entre recherche, persévérance et jaillissements. Un livre d’une beauté stupéfiante, jalonné de documents personnels inédits.

BONNES FEUILLES – « Ne regarde pas mes larmes, elles ne veulent pas dire grand-chose, écris, mon Jean, surtout n'arrête pas, j'aime que tu écrives... Je m'offrirai certaines de tes phrases, même si elles ne sont pas pour moi. Je suis jalouse de cette guerre qui te garde pour elle, qui te fait marcher seul je ne sais où... sans moi... sans ta femme... » Dans son prochain roman, Une certaine raison de vivre, à paraître à la rentrée littéraire, Philippe Torreton offre aux lecteurs des arbres, des tranchées, de la poésie, les tourments d’un homme et l’espoir du monde.

AVANT-PARUTION – Les éditions Martin de Halleux, qui s'attachent à mêler arts graphiques et littérature, présentent Félix Vallotton, Intimité(s)... et le regard de Jean-Philippe Toussaint, un ouvrage qui associe les textes du second aux œuvres du premier. Réalisé avec le concours de La Fondation Félix Vallotton, le livre sera disponible en librairies le 19 septembre 2019.

BONNES FEUILLES - Bavière, 1931. Accusé d’un crime qu’il n’a pas commis, le jeune professeur norvégien Thörun Gärensen est contraint de rejoindre ceux qui sont promis à devenir les maîtres de l’Allemagne. 

BONNES FEUILLES - Philippe Ridet raconte les désillusions adolescentes et les chimères de l'âge adulte : un roman d'apprentissage, chassé-croisé entre deux amis sur toute une vie. 

BONNES FEUILLES - Calcutta, 1936. Le prestige de l’Inde coloniale de Kipling se ternit. Les nationalistes hindous pactisent avec Berlin pour chasser les Britanniques de la péninsule. 

BONNES FEUILLES - Dans ce café d’un petit bourg où Jean-Luc et Jean-Claude ont la permission, tous les jeudis, de venir boire un verre (sans alcool), les choses prennent ce jeudi un tour inhabituel. 

BONNES FEUILLES - Contrairement à la légende qui s'est formée après sa mort prématurée, Raymond Radiguet n'était pas uniquement l'écrivain d'un des romans les plus célèbres du XXe siècle, Le Diable au corps. Il était également l'auteur d'un autre roman moins controversé, Le Bal du comte d’Orgel, et d'un recueil de poésie, Les Joues en feu. Radiguet était un écrivain polyvalent qui a touché à tous les genres littéraires, alliant insolence et talent dans chacun d'entre eux.

BONNES FEUILLES - Hannah, le personnage principal des Ravissements, est une petite fille de onze ans née dans une famille de fondamentalistes protestants – les chrétiens charismatiques évangélistes – à Ballylack, un village imaginaire d’Irlande du Nord, qui n’est pas sans rappeler Ballymena, où est née l’écrivaine, elle-même issue d’une famille presbytérienne très stricte.

BONNES FEUILLES - « Un homme sans moustache est un homme sans âme », écrivait Confucius. L’arrière-pays dalmate, son maquis, sa pierraille et son village, Smiljevo, avec ses deux mille habitants, son auberge, son église, son école primaire, son bureau de poste et ses deux épiceries. 

AVANT-PARUTION – Un an et demi après Les inéquitables, Philippe Djian amorce la rentrée littéraire de septembre 2020 avec une forme de projection. Rendez-vous en 2030, avec en trame de fond, un combat pour une conscience écologique plus forte. Et l’avantage, avec ActuaLitté, c’est de pouvoir découvrir les premières pages du roman…

BONNES FEUILLES - L’histoire du grand empire qui a triomphé d’Athènes. À la fin de sa brève existence, à 32 ans, Alexandre le Grand avait éclipsé la grande puissance perse, traversé l’Hindou Kouch et pénétré dans ce qui est aujourd’hui le Pakistan : son empire s’étendait de la mer Adriatique au sous-continent indien. Mais son succès n’était pas seulement le produit de son génie personnel. 

RentreeLitteraire23 - Tiraillée entre deux mondes que sépare le Tibre, Laura a bien du mal à s’affranchir des deux puissantes figures féminines qui ont marqué son enfance et son adolescence : rebelle de pacotille dans le bouillonnement politique et culturel des années 1970 et 1980, elle est insensiblement ramenée à sa double lignée, aristocratique et juive.

RentréeLittéraire23 - Par une fin d'après-midi étouffante de mi-juillet 2021, je me tiens une nouvelle fois à côté de son lit, sans réaliser que ce serait notre ultime moment. Durant ces trois dernières années, nos vies ont été étroitement liées : je m'efforçais d'alléger ses journées tandis qu'il luttait avec courage contre cette affliction souvent désignée par le surnom Le crabe. 

HIVER2024 — Dans les années 1980, durant un été exceptionnellement chaud, un événement tragique bouleverse la vie de six jeunes adultes, les confrontant brusquement à la réalité de l'âge adulte. Ce roman de Philippe Besson, inspiré d'événements réels, revisite le style autobiographique de son œuvre précédente, Arrête avec tes mensonges.

BONNES FEUILLES – Du lourd. Rien de moins. À 93 ans, l’écrivain Philippe Curval, né à l’aube des années trente, raconte Rosépine l'histoire d'une Cévenole partie à la découverte du vaste monde. Une aventure éditoriale qui aura débuté au sortir d’un séjour à l’hôpital pour ce touche-à-tout des lettres françaises... On dit Monsieur Curval.

BONNES FEUILLES - Vingt-cinq ans après l’immense succès de La vie interdite, Didier van Cauwelaert « ressuscite » l’un de ses personnages emblématiques : Jacques, le quincailler d’Aix-les-Bains, mort à trente-quatre ans dont l’esprit continue de se promener dans la vie de ses proches.

AVANT-PARUTION – « Je ne suis pas de mon temps. Je suis de tout mon temps. » Ce livre est un aboutissement : celui d’une carrière, celui d’une vie d’homme. La vie en relief, c’est ce sentiment qu’on a parfois de vivre un instant qui convoque tous les âges de notre existence – l’enfant, l’adulte et la personne d’âge mûr que nous sommes, tous rassemblés en quelques minutes d’une intensité inégalée. Un recueil de textes courts – le genre à succès de Delerm – qui est certainement un de ses plus grands livres.

BONNES FEUILLES — À l’occasion de cette prochaine rentrée littéraire, les éditions Sabine Wespieser Editeur publient le prochain roman de Louis-Philippe Dalembert. Depuis qu’il a composé le 911, le gérant pakistanais de la supérette de Franklin Heights, un quartier au nord de Milwaukee, ne dort plus : ses cauchemars sont habités de visages noirs hurlant « Je ne peux plus respirer ». 

BONNES FEUILLES - Comment la rose est arrivée en France. Le grand roman de sa conquête. « Je m'appelle Morjiane el Sadawi, je suis née à Homs au nord de Damas. Je vis maintenant dans ce pays que l'on appelle la France et qui est froid, à Mortery, sur les terres du seigneur Gatien et du seigneur Thibaut. 

Pour la rentrée littéraire, les éditions Sabine Wespieser Editeur publient le deuxième roman de Jan Carsosn : Les lanceurs de feu, traduit de l’anglais par Dominique Goy-Blanquet. Cet ouvrage, imprégné de la brutalité des Troubles d’Irlande, englue ses personnages dans un contexte similaire, qui fait écho à la propre violence de leur histoire personnelle.

BONNES FEUILLES - « Papa vient de tuer maman. » Passée la sidération, deux enfants brisés vont devoir se débattre avec le chagrin, la colère, la culpabilité. Et réapprendre à vivre.

BONNES FEUILLES - Une jeune idéaliste plonge dans le chaos de la Grande Guerre pour sauver son frère. En quelques jours, l’Histoire bascule. Tiraillée entre affections et convictions, Jeanne doit faire des choix. Les événements vont la précipiter dans l’enfer des combats. 

BONNES FEUILLES - Une fresque picaresque au siècle du baroque sur les pas d'un tout petit homme au destin de légende. À Venise, Malte et Prague se murmure la légende d’un homme de toute petite taille glissé dans les ombres de la grande Histoire...

BONNES FEUILLES – « Ma mère, qui passait rarement inaperçue, est décédée d'un coup de bière aux obsèques de son cancérologue. Le porteur avant gauche avait marché sur son lacet, et le cercueil qui remontait l'allée de la cathédrale l'avait percutée de plein fouet. Avant de succomber à ses blessures, elle m'a demandé deux choses : garder son appartement en l'état et continuer de faire rouler sa voiture. » 

BONNES FEUILLES - Un roman historique révèle enfin la vérité sur le plus grand mystère du monde des échecs. Ou comment une incroyable machination du KGB a mis fin, en pleine guerre froide, à la carrière du meilleur joueur de tous les temps : Bobby Fischer.

BONNES FEUILLES - Alors que se multiplient à travers le globe les échouages de baleines, cinq hommes et femmes — des êtres blessés ou endeuillés, mais n'ayant pas renoncé à faire l'expérience de la beauté du monde et de la bonté — convergent vers une mystérieuse maison bleue surplombant une plage d'Islande où viennent mourir les cétacés. Ils ne se connaissent pas encore mais une nuit les attend, qui scellera à jamais leur destin. Les éditions Gaïa publient en cette rentrée littéraire La mélancolie des baleines, nouveau roman de Philippe Gerin. 

BONNES FEUILLES – « Rien ne peut se mesurer à la photographie pour enregistrer ce qui part, part sans cesse, mais n’est pas encore parti », a écrit Wright Morris dans ses Fragments de temps. C’est à ce départ sans fin remis et aux contenus qu’il libère que le présent livre est consacré. Ce qui veut dire qu’il porte sur la photographie et le temps, sur la façon dont l’image arrêtée, qui interrompt le film incessant du devenir, ne le fait qu’en retenant des quantités de temps toujours différentes. 

BONNES FEUILLES — Qui a servi Da Silva ? Qui est responsable ? Coresponsable ? Il a tué, mais qui a tué avec lui ? Qui sont les véritables acteurs de ce drame ? Qui a pu, sans savoir ou en sachant, sans se soucier de son état, s'est fait le complice de ce « meurtre » ? Est-ce seulement le « destin » ? Le roman le plus simenonnien de l'auteur, fidèle à son univers des bistrots, lieux romanesques par essence. 

BONNES FEUILLES — « Il était une fois, quelque part dans une vallée entourée de montagnes, un petit garçon comme tous les autres... »