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Théologie politique et sciences sociales. Autour d'Erik Peterson

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Leïla Slimani

Leïla Slimani est une romancière et journaliste franco-marocaine née en 1981 à Rabat, au Maroc. Elle va faire ses études à Paris, où elle étudie la science politique et les relations internationales à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po) et le journalisme à l'ESJ Paris.

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Dossier

Ouvrir les bibliothèques de France : Erik Orsenna au rapport

Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.

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Dossier

Désavoué par l'éditeur Albin Michel : le cas Éric Zemmour

Coup de tonnerre fin mai, la maison de la rue Huygens divorçait de son auteur star, le polémiste bien connu de CNews, et potentiellement candidat aux présidentielles de 2022. Eric Zemmour et Albin Michel, rejouaient la petite mélodie d’Hervé Villard, Capri, c’est fini. Caprice de l’éditeur devant la poule aux œufs d’or, différend politique plus que touchant à la politique éditoriale et finalement grand cas d’école : l’affaire Zemmour va de rebondissements en rebondissements.

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Dossier

Du stylo à la caméra : 10 ouvrages autour du cinéma

Dans notre civilisation de l’image, le cinéma est roi, et « son encre est la lumière ». À première vue, on mettrait une barrière plus ou moins étanche entre cet art et la littérature. Où sont les grandes descriptions de Stendhal dans ses adaptations cinématographiques ? Où trouver les tableaux inoubliables d’Apocalypse Now chez Flaubert ? Ce serait omettre toutes les fois où les deux arts ont dialogué avec grâce, comme tous ces Hommes de l’écrit qui ont parlé avec force du 7e art.

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Dossier

Jeu vidéo, livre idéal : des lectures autour des univers vidéoludiques

Les jeux vidéo et la lecture ont beaucoup en commun, et notamment le fait d'immerger dans une expérience au long cours, dont on ne ressort pas tout à fait indemne, en général. La chronique Jeu vidéo, livre idéal vous propose de découvrir quelques livres qui permettent de prolonger un jeu vidéo ou une série de jeux vidéo...

Extraits

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Sciences politiques

Théologie politique et sciences sociales. Autour d'Erik Peterson

Erik Peterson (1890-1960) est surtout connu en France pour sa controverse avec Carl Schmitt sur la théologie politique. Ce livre élargit le champ de vision. Derrière la critique de la théologie politique, il présente une dogmatique, une ecclésiologie, une angélologie dont la dimension politique est constitutive. Car s'il n'y a pas de théologie politique, toute théologie, en revanche, est politique. Tout Peterson tient dans ce paradoxe, qui a mené le théologien à la recherche de modalités constitutives du pouvoir, inscrites dans les opérations du droit et de la liturgie. Première présentation d'ensemble de Peterson pour le public francophone, ce volume rend compte de l'intérêt que l'oeuvre du théologien ne cesse de susciter en dehors de la théologie. l'Eglise comme institution, l'institution comme vérité du religieux et métonymie du social : ces postulats, qui ont présidé à la naissance de la sociologie, ont été simultanément travaillés par la théologie. Aujourd'hui, avec Peterson, ce travail théologique agit en retour sur les sciences sociales, d'une façon qui fait de ces dernières de nouvelles actrices et de possibles transformatrices du débat sur la théologie politique.

05/2019

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Sociologie

Des sciences sociales à la science sociale. Fondements anti-utilitaristes

On attend des sciences sociales qu'elles nous aident à comprendre la marche du monde. Or elles en semblent toujours plus incapables. Non seulement elles apparaissent le plus souvent en retard sur l'événement mais, noyées dans l'hyper spécialisation, perdues dans la guerre entre disciplines, elles voient toujours mieux certains détails mais de moins en moins bien l'ensemble. A côté des spécialistes, il est urgent de former des généralistes qui sachent faire dialoguer les différents champs de la science sociale. Parler de la science sociale, évoquer son unité, au moins à titre d'idéal régulateur, peut sembler un combat perdu d'avance, tant elle est fragmentée. Mais il existe déjà une certaine forme de science sociale généraliste, qui n'est autre que la science économique généralisée, inspirée par la théorie des choix rationnels, sous toutes ses formes, et par l'utilitarisme et ses dérivés (cognitivistes, constructivistes, etc.) C'est cette science sociale générale qui modèle la conception du monde dominante, hégémonique même à l'échelle planétaire, et qui inspire et légitime les politiques menées dans tous les pays. Avec des résultats discutables, tant aux plans théorique, qu'éthique ou politique. Il nous faut donc retrouver l'idéal et la réalité d'une science sociale généraliste (qu'a pu en son temps incarner la sociologie classique) mais la faire reposer sur d'autres fondements que l'utilitarisme. Par ailleurs, la globalisation du monde modifie en permanence l'échelle et la définition même des sociétés. Symétriquement, la globalisation des sciences sociales et la contestation de l'hégémonie conceptuelle occidentale imposent elles aussi de repenser le passé de nos disciplines pour les projeter vers l'avenir. C'est dans cette perspective que se sont réunis à Cerisy-la-Salle, en 2015, une quarantaine de chercheurs de renommée internationale, anthropologues, économistes, géographes, historiens, philosophes et sociologues. L'accord qu'ils ont su trouver est prometteur.

04/2018

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Théologie

Théologie et politique : la controverse. Le monothéisme comme problème politique suivi de Catholicisme romain et forme politique

Les chrétiens peuvent-ils rallier Hitler ? A cette question historique, voici les réponses fondatrices de deux grands philosophes allemands du XXe siècle, Peterson et Schmitt, qui se sont affrontés sur la nature et le rôle de la théologie dans le politique. Le christianisme a-t-il une signification politique ? La controverse qui opposa le théologien Erik Peterson au juriste et politiste Carl Schmitt est bien connue. Pour la première fois, leurs pensées se confrontent dans un seul ouvrage pour une mise en lumière inédite. Ainsi placés en confrontation par un spécialiste de la question théologico-politique, Le monothéisme comme problème politique de Peterson (1935) et Catholicisme romain et forme politique de Schmitt (1923-1925) apportent des éléments de réponse à un enjeu plus qu'actuel. Pour le théologien, démonstration savante est faite que le christianisme n'a pas vocation à justifier par sa théologie quelque ordre politique que ce soit, et à plus forte raison le nazisme. Pour le juriste et politiste, il s'agit de démontrer que le catholicisme est la meilleure voie pour proposer une conception ferme de la souveraineté politique. Le christianisme peut-il se passer d'une institution forte qui recourt aux moyens du monde politique afin d'être libre par rapport aux puissances de ce monde ? Une controverse théologico-politique passionnante, loin d'être révolue.

09/2021

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Sociologie

Ecrire les sciences sociales, écrire en sciences sociales

Thèses, articles, livres... tous les chercheurs en sciences humaines et sociales consacrent une partie de leur temps à écrire. Ce dénominateur commun masque à l'évidence une grande diversité quant aux pratiques d'écriture : écrire un manuel juridique n'est pas écrire un article dans une revue d'économie ; rédiger un rapport de recherche pour un organisme public n'est pas rédiger un essai pour un éditeur soucieux de toucher un lectorat aussi large que possible... La variable "discipline" joue à l'évidence sur ce terrain, elle nourrit les stratégies de publication : écriture à plusieurs ou écriture solitaire ? En français ou en anglais ? Format article ou format livre ? En fonction de son histoire, de son épistémologie, chaque discipline s'impose des normes valorisant tel support ou tel format. Ainsi le "livre" , objet totem pour une partie des sciences humaines et sociales encore imprégnées du modèle "littéraire" , est-il démonétisé dans d'autres disciplines davantage nourries des imaginaires associés aux sciences dures... Malgré cette diversité, l'acte d'écriture demeure une pratique partagée. L'objectif de ce livre, qui entend croiser témoignages et analyses, est certes de donner à voir la diversité des pratiques d'écriture mais aussi et surtout de faire dialoguer les chercheurs autour des manières de mettre leur idéal scientifique à l'épreuve de l'écriture. Car écrire en sciences humaines et sociales, ce n'est jamais simplement rédiger, ce n'est jamais simplement consigner un résultat de recherche. L'écriture n'est ni simple, ni transparente, ni innocente. En invitant les chercheurs à dire leur rapport à l'écriture, et même à raconter leurs expériences (heureuses ou douloureuses), ce second volet de la collection "Métier de chercheur·e" entend interroger frontalement une pratique trop peu souvent mise en discussion dans l'espace académique.

12/2021

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Sociologie

Politiques des sciences sociales. Jacques Ardoino et l'institution

La réflexion philosophique, épistémologique, pédagogique et éthique de Jacques Ardoino a profondément contribué à transformer les sciences sociales en France. Ses travaux abordent en effet des thématiques essentielles : l'altération, l'intersubjectivité, l'interaction, l'implication (contre-transfert), le projet, la temporalité (historicité), les contradictions dialectiques qui traversent tous les processus sociopolitiques, toutes les organisations, toutes les associations et, bien entendu, toutes les pratiques. Contre toutes les formes scientistes de réductionnisme Jacques Ardoino attire l'attention sur ce que l'idéologie positiviste scotomise : la liberté des sujets en devenir et leurs intentionnalités désirantes, la complexité de leurs interactions au sein des organisations, la temporalité qui traverse leurs incorporations institutionnelles, leur négatricité qui altère les rôles sociaux qu'ils endossent. Les textes réunis dans cette anthologie témoignent des perspectives critiques de sa démarche intellectuelle multiréférentielle.

03/2023

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Sociologie

Droit et sciences sociales

On pourrait s'attendre à ce que la judiciarisation croissante de nos sociétés ait poussé les sciences sociales à s'interroger de la manière la plus directe sur le droit et sa pratique. Ce n'est pas exactement le cas, et cela fait problème. Le regard des sciences sociales sur le droit a pris différentes directions : la tradition culturaliste tient le droit pour un reflet de la société, porteur de ses structures profondes et valeurs essentielles ; la tendance critique voit en lui l'instrument de l'organisation/reproduction des rapports de domination ; la tendance institutionnaliste s'interroge sur le droit en tant que système de régulation des rapports sociaux. Mais replier ainsi le droit sur ce dont il est censé être la traduction et l'envisager en tant que tel condamne la recherche sociologique à n'avoir sur lui qu'un regard extérieur, à le réduire à une ressource explicative à l'appui de vastes théories du social, plutôt qu'à l'envisager comme un objet de recherche légitime en lui-même. Un courant se démarque toutefois, qui s'attache à l'étude de l'activité juridique dans son langage, ses interactions et son organisation. C'est à lui que se rattache le présent ouvrage. D'une part, il vise à rendre compte des diverses traditions de recherche mentionnées. D'autre part, de manière constructive, il en propose une critique raisonnée qui ouvre sur une véritable phénoménologie et étude du droit en action. Cette remise en perspective sera d'un apport fécond pour tous ceux que leurs études, travaux ou pratiques amènent à réfléchir sur la place du droit dans nos sociétés.

11/2006

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