Le règne de Malak

Ce lundi 6 février 2012 était une date importante pour nos voisins Anglais. En effet, la reine Elisabeth fêtait ses 60 ans de règne. Mais, comme ce jour correspond également à l'anniversaire de la disparition du père de la reine, George VI, Elisabeth II, du haut de ses 85 printemps, a préféré la simplicité à des festivités ostentatoires qui n'auraient guère convenu à ses habitudes.

C’est le petit jeune – le primo romancier –, qui viendra porter une partie de la rentrée littéraire pour L’Iconoclaste. Peu de titres, traditionnellement, seuls quatre titres seront présentés au public par la maison. Mais il en est un qui retient l’attention, de ceux dont il est bon de se souvenir par avance, parce qu’ils feront parler. Et lire. Surtout lire.

Le cabinet de la ministre de la Culture Rima Abdul-Malak s'agrandit, avec l'accueil d'Isabelle Ménival, nommée conseillère en charge des discours et des projets spéciaux. Elle rejoint notamment Sophie Blandinières, elle aussi en charge des discours de la ministre de la Culture.

Emmanuel Marcovitch, directeur général délégué de la Réunion des Musées Nationaux — Grand Palais depuis avril 2018, est nommé directeur de cabinet de la ministre de la Culture Rima Abdul-Malak. À ses côtés, en chef de cabinet, Djilali Guerza reste en poste, entré en juillet 2020, alors que Roselyne Bachelot-Narquin était la résidente de la rue de Valois.

Tristan Frigo, conseiller en charge des relations avec le Parlement et les élus de Roselyne Bachelot-Narquin, puis de Rima Abdul-Malak, a été nommé chef de cabinet de la ministre, le 5 juin dernier.

Les textes de loi offrent un certain regard sur les fonctions exercées rue de Valois : avec la réélection d’Emmanuel Macron, un nouveau gouvernement a vu le jour, porté par la Première ministre, Élisabeth Borne. Au ministère de la Culture, une proche du président – précédemment conseillère culture auprès du président, en 2019. Mais d’un quinquennat à l’autre, la politique n’est pas un long fleuve tranquille. 

Toujours en constitution, le cabinet de la ministre de la Culture Rima Adbul-Malak accueille trois nouvelles arrivées, avec autant de nominations publiées au Journal officiel de ce 30 juin 2022. Parmi elles, l'autrice Sophie Blandinières, qui signera les discours de la ministre de la Culture.

Sur une Terre d’où l’Humanité a disparu, les animaux tentent de survivre. Un monde post-apocalyptique, où les castes et les clans se mesurent avec prudence – où les faibles doivent se soumettre aux forts. Mais tout un chacun se soumet à un pèlerinage, vers le Shrine. Pour échapper à une fin certaine.

Présentant ses vœux au monde de la culture et à la presse, la locataire de Valois visait à l'assentiment universel et la paix sociale : « Je ne voudrais plus entendre que les actions du ministère sont centrées à Paris. C'est faux ! », assure-t-elle, avant de présenter, littéralement, des vœux pour 2023. Mieux que des bonnes résolutions ? On le concluera en fin d’année. Car au-delà des projets et intentions, le contexte socio-économique demeure sensible. De quoi justifier une approche un brin tragique.

À compter de ce 26 juin, Sonia Bayada, conseillère en charge du budget, de la fiscalité et des investissements au sein du cabinet de la ministre de la Culture, devient directrice adjointe de cabinet, chargée des relations sociales, du budget, de la fiscalité et des investissements.

ROMAN FRANCOPHONE – Dans cette petite ferme qu’exploite la famille, il y a, en dehors des animaux domestiques et du chien, le Père, la génitrice et leur fille Éléonore. Une vie de paysans de la fin du XIXe siècle, dure, laborieuse, pénible, sans répit, acharnée, dont l’issue ne fait pas de doute et dont les souffrances sont offertes, la plupart du temps par les femmes, à Dieu ! Omniprésence divine jusqu’au plus profond des terres rurales !

Le socle de l’écoute qu’un psychologue peut offrir à son patient tient en peu de mots : « On ne conteste pas un ressenti. » A l’ami qui vous dit « j’ai froid », on ne répond pas : « Non, il ne fait pas froid, tu n’as pas froid. » Au patient qui vous dit : « Je sortais à peine de l’enfance quand j’ai été séduit par un homme adulte avec lequel j’ai eu des relations sexuelles consenties, et cette relation m’a traumatisé de mille façons » on ne répond pas « Vous n’avez pas été traumatisé puisque vous aviez consenti... ». Vanessa Springora évoque ce cheminement que les soignants des blessures de l’âme connaissent trop bien du « consentement » de l’enfant vers l’effroi de l’adulte.

Ce fut à coup sûr l’un des grands romans de la rentrée littéraire 2016 ! Jean-Baptiste Del Amo, qui nous avait tant remués avec un de ses précédents romans, le sel (encore une histoire de famille), retrace dans Le règne animal l’histoire de cinq générations d’une famille de paysans gersois devenus éleveurs porcins.

Le Syndicat national de l’édition avait promis de diffuser gratuitement le manifeste de Richard Malka, La gratuité, c’est le vol, c'est chose faite. Il s'agit d'un exercice de haute voltige, pour lequel l’avocat s’est répandu sur une trentaine de pages contre l’Union européenne, et la réforme du droit d’auteur qu’elle prépare.

Plusieurs membres du gouvernement avaient opposé leur démission à l’adoption de la loi immigration. Une fronde qui comptait notamment Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, d’après une source ministérielle citée par l’AFP ce 19 décembre. Mais voilà : ce n’était qu’une rumeur, affirme la locataire de Valois, qui entend bien garder son poste. Tant qu’on le lui prête.

Deuxième chronique du règne de Nicolas Ier : Rambaud 2, le retour

Annoncé depuis quelques années, le remake de Papillon, le film tiré du livre d'Henri Charrière publié en 1969 par Robert Laffont, se dévoile avec une première bande-annonce. Charlie Hunnam remplace Steve McQueen et Rami Malek Dustin Hoffman...

Le Petit Malik de Mabrouck Rachedi, un Petit Nicolas modernisé

C'est une tradition à laquelle le chroniqueur du règne de Nicolas 1er ne pouvait pas échapper. Patrick Rambaud, aura décortiqué les aventures, les faits du prince et toutes les petites choses commises durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy.

Ce 1er septembre de rentrée des classes, la ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, a donné un entretien aux Matins de France Culture. L’occasion de revenir sur les politiques gouvernementales autour du livre, comme le label, La lecture Grande cause nationale, ou l’apport du Pass Culture. Elle évoque également les inquiétudes du monde de l’édition confrontée à des résultats en baisse, le cas Bolloré-Vivendi-Lagardère et les futurs axes de la politique de son ministère, tournée vers l’éducation.

A l’occasion de la prochaine rentrée littéraire, les éditions Julliard publieront le nouvel opus de Yasmina Khadra, La dernière Nuit du raïs, le 24 août prochain. Si, en France, l’information n’est pas encore trop relayée, elle est déjà savamment distillée à l’étranger, rapporte Le Figaro.

Un an et demi après son arrivée rue de Valois, survenue en même temps que celle d'Élisabeth Borne à Matignon, Rima Abdul Malak quitte le ministère de la Culture, dans un gouvernement démissionnaire. Elle salue la Première ministre, alors qu'un fossé semblait s'être creusé avec le président de la République, en public du moins.

Le mystère de la donation René Char

Universités françaises : la pagaille règne

Je sais, je l’attends, je le redoute, je vous entends déjà vous exclamer mais « quelle fainéante cette licorne, quel manque d’assiduité, de régularité, de volonté ». Indépendamment du fait que j’espère vous avoir un peu manqué – ça flatterait mon rainbow-égo - j’avoue, j’ai fait preuve de nonchalance. Serait-ce dû à ces températures qui ont inopinément refroidi mon nuage de lecture ? Ou à l’absence de coup de cœur littéraire, vous savez que je n’écris pas sur ce que je n’apprécie pas ?

RNL22 — Sans l'avoir indiqué dans son agenda, la ministre de la Culture Rima Abdul-Malak a fait le déplacement aux Rencontres nationales de la librairie, à Angers. La première intervention de la résidente de la rue de Valois auprès des acteurs du livre, sur un terrain largement favorable, n'aura pas abouti à des annonces substantielles.

Organisé conjointement par la Ville de Limoges et les enfants de l’auteure et coprésidents du jury, Camille Deforges-Pauvert, Léa Wiazemsky et Franck Spengler, le Prix Régine Deforges récompense chaque année un premier roman écrit par un auteur francophone.

Un roman français comme on en lit rarement, détaché de l'autofiction, décentré des préoccupations, complaintes et interrogations personnelles qui agitent l'être humain moderne des grandes villes, si centré sur lui-même, aujourd'hui encore.

On finira l’année comme elle débuta : avec des histoires de parents consciencieux, et soucieux de ne pas laisser leurs enfants lire n’importe quoi. Pour preuve, une fois de plus, ce père qui, en Floride, estimait Fahrenheit 451 violent et blasphématoire. Manquant de vivacité d'esprit, il a oublié de proposer qu'on brûle l'exemplaire. Ou encore, cet autre pour qui le mot « penis », est intolérable dans un livre...

L'institut d'études journalistiques de