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Correspondance 1927-1942

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Marcel Proust

Marcel Proust (1871-1922), réputé pour son style tortueux, reste l'un des écrivains français les plus célèbres du XXe siècle, grâce à une œuvre monumentale, À la recherche du temps perdu, constitué de 7 tomes publiés entre 1913 et 1927. Œuvre mémorielle par excellence, construite à partir des souvenirs de Marcel Proust et de récits glanés çà et là, La Recherche traverse les époques et les lieux.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Anne Frank et son Journal

Morte en 1945 à Bergen-Belsen, Anne Frank a légué à l’humanité un journal devenu historique. Ce récit fait part des réflexions qui occupent la jeune adolescente, alors qu’elle est partie avec sa famille aux Pays-Bas, pour échapper aux nazis. Nous sommes en 1942, elle a 13 ans. 

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Livres, actualités : tout sur Virginia Woolf

Née Adeline Virginia Alexandra Stephen en 1882, Virginia Woolf grandit dans une famille aisée, où elle dispose d'un accès facilité à l'art et à la culture de son époque. Les disparitions de sa mère, en 1895, de sa demi-sœur puis de son père fragilisent toutefois son état émotionnel : elle devient sujette aux dépressions nerveuses. En 1915, elle publie son premier roman, The Voyage Out, après quelques années d'activité au sein du supplément littéraire du Times. 

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Dossier

Découvrir les livres de Salman Rushdie

Sir Ahmed Salman Rushdie, né le 19 juin 1947 à Bombay, est un écrivain britannique d'origine indienne. Son style narratif, mêlant mythe et fantaisie avec la vie réelle, a été qualifié de réalisme magique.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

Extraits

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Critique littéraire

Correspondance 1907-1924

Après la disparition brutale de Jacques Rivière au début de 1925, Isabelle Rivière avait obtenu l'accord de Paul Claudel pour donner aussitôt un témoignage de la rencontre spirituelle et littéraire poursuivie par lettres depuis 1907 entre le poète et le jeune critique. Elle avait publié, en 1926, 61 lettres retraçant un parcours spirituel commencé avec la première lettre, et que l'on pouvait considérer comme achevé à la Noël de 1913, quand Rivière fut revenu aux sacrements catholiques. La présente édition comporte 134 lettres, de 1907 à la fin de 1924, plus trois lettres envoyées par Claudel à Isabelle Rivière pendant que son mari était prisonnier de guerre. Cette correspondance éclaire de façon nouvelle ce qu'un jeune homme anxieux pouvait attendre de Claudel, au début du siècle. Comment le poète, avec la force que l'on connaît, essaie de communiquer sa foi au jeune philosophe qui s'adresse à lui. Dans sa partie inédite elle éclaire aussi l'histoire des débuts de la N. R. F. , les rapports complexes entre Claudel et ce groupe, l'évolution spirituelle et intellectuelle de Rivière après 1914. Auguste Anglès, qui a étudié si profondément l'histoire de la N. R. F. à cette époque, a pu écrire dans son introduction : "Si quelqu'un a "pris" Rivière à Claudel, ce ne fut pas Gide, mais Proust".

09/1984

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Critique littéraire

Correspondance. 1902-1924

"Les lettres de ce recueil (1902-1924) constituent le deuxième volume de la Correspondance complète de Kafka. Adressées principalement à des amis et à des proches, aux éditeurs aussi chez qui Kafka a publié ses rares oeuvres non posthumes, ces lettres embrassent une période plus étendue que le Journal et les Carnets, dont elles sont en un sens une version plus libre, plus passionnée, encore que non moins énigmatique, tandis que sur bien des points elles en complètent le contenu. On n'y trouvera pas de lettres d'amour, puisque celles-ci forment des recueils séparés, mais un témoignage continu du rôle extraordinaire, à la fois essentiel et douloureux, que jouaient dans cette vie si difficilement déchiffrable les liens de l'amitié. A lire ces missives tantôt hâtives, tantôt interminables (certaines n'ont réellement pas de fin et n'ont jamais été envoyées), on devine les questions que soulevaient la vie de Kafka, sa discipline impitoyable et apparemment immotivée, ses refus et ses décisions, pour ceux-là mêmes que la proximité et l'affection rendaient le plus aptes à le comprendre", Marthe Robert.

10/1965

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Critique littéraire

Correspondance 1945-1972

Violette Leduc aimait les correspondances. Tout ce qui relevait de l'intime l'enchantait. Les Lettres de la religieuse portugaise, celles de Van Gogh à Théo étaient ses livres de chevet. Ils furent ses compagnons et ses modèles. Elle se reconnaissait en eux. "Je le lis et je me mets à le porter tout vivant dans ma chair, écrit-elle de Van Gogh, je ne connais pas de plus forte résurrection que la sienne par l'écriture." Violette Leduc fut elle-même une épistolière infatigable, voire obsessionnelle. Comment ne pas céder au vertige de l'épanchement, du monologue? Cette encre-là lui était vitale : "Je ne résiste pas au besoin de me confier." D'ailleurs, dans son oeuvre, elle évoque sa correspondance, l'analyse, y fait allusion à plusieurs reprises. Qu'elles soient d'amitié, d'admiration, d'amour ou de haine, de quinze pages ou d'une ligne, adressées à une figure illustre ou anonyme, les lettres de Violette Leduc portent toutes sa griffe. Au ton, on reconnaît d'emblée l'écrivain. Elles sont à l'origine même de sa vocation littéraire. Maurice Sachs, qui fut son Pygmalion, lui avait dit un jour : "Vous m'avez écrit. Vous devriez écrire." Bien qu'elle s'en défende, le geste épistolaire est, pour Violette Leduc, un moyen d'accéder à la fiction, à une forme particulière de résurrection. L'écriture privée et libre de la lettre ne s'embarrasse pas des mêmes contraintes que le texte publié. Il n'y a pas de censure, pas d'interdits, pas de bienséance. Comme un journal qu'on destine à soi, la lettre de Violette Leduc peut tout dire. Ou presque. Sans ménagement, sans limite, sans gêne. C'est au destinataire de suivre, à son corps défendant. Car dans ses lettres, elle confie ce qu'elle n'ose pas avouer ou imposer de vive voix, " parce qu'une lettre que l'on reçoit est lue en quelques minutes et n'importune pas comme une présence". Même lorsque la sincérité de l'appel, l'authenticité émouvante du ton sont crédibles, c'est encore le "mensonge" littéraire qui hante l'épistolière.

04/2007

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Littérature étrangère

Derniers cahiers (1922-1924)

Ces Derniers cahiers rassemblent les textes rédigés par Kafka à la fin de sa vie (entre janvier 1922 et avril 1924), période d'une intense créativité, pendant laquelle surgissent des écrits à la fois essentiels et testamentaires. Ce volume donne à lire pour la première fois en français ces textes dans leur chronologie, dans la continuité de l'acte d'écriture, au plus près de leur matérialité et de leur dimension de work in progress. Il tresse ainsi des amorces énigmatiques, des fragments saisissants et les dernières nouvelles, les plus fascinantes ("Recherches d'un chien", "L'artiste de la faim", "Le terrier", "Josefine la cantatrice"). Cela dans une traduction qui se tient au plus près de la langue de Kafka : sèche, précise, rythmée. L'écriture se refuse à moi. D'où le projet d'investigations autobiographiques. Pas une biographie, mais investigation et mise au jour des plus petits éléments possibles. Ensuite je veux me construire à partir de là comme quelqu'un dont la maison ne serait pas solide, qui voudrait s'en construire une autre à côté, solide elle, si possible avec les matériaux de l'ancienne. Mais c'est grave quand en plein milieu de la construction ses forces le quittent et qu'il a maintenant à la place d'une maison peu solide mais pourtant complète une maison à moitié détruite et une autre à moitié achevée, donc rien. Ce qui s'ensuit c'est la folie, donc à peu près une danse de cosaques entre les deux maisons, au cours de laquelle le cosaque à coups de talons de bottes fouille et excave si longtemps la terre que sous lui se creuse sa tombe.

10/2017

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Littérature française

Ma vie (1922-1947)

Marcel Conche était élève-maître en première au lycée de Tulle lorsqu’il eut comme professeur une jeune agrégée des lettres classiques venue de Strasbourg, réfugiée à Tulle. Il lui demanda d’être sa « correspondante » en ville (condition pour avoir droit à la sortie du dimanche). Ainsi pouvait-il la rencontrer régulièrement. On les vit bientôt se promener la main dans la main dans les pentes de Tulle. Les vacances étaient l’occasion d’échanger de longues lettres. Presque toutes celles de Marie-Thérèse sont ici reproduites. Elles disent son amour inconditionnel, son souhait d’être épouse et mère, son immense bonheurlorsque ces choses-là sont arrivées. Presque aucune lettre de Marcel n’est ici reproduite. Elles disent une ardeur d’un autre ordre que l’amour humain, car, s’il s’agit d’amour, c’est d’un amour inconditionnel pour la philosophie. On a voulu qu’une figure de femme fasse l’unité de ce livre : on y voit sa vraie vie, qui commence par l’amour (1942), qui se continue par l’engagement auprès de l’époux, qui s’accomplit par le don de la vie (1947) – cela sans qu’il y ait de relâche dans le bonheur d’aimer, mais non sans tribulations (y aurait-il quelque risque à aimer un philosophe?).

07/2012

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Littérature étrangère

Oeuvres complètes. Coffret en 2 volumes : Oeuvres poétiques ; Oeuvres en prose

Ce coffret réunit en deux volumes les oeuvres complètes d'Ossip Mandelstam traduites du russe par Jean-Claude Schneider. I. Oeuvres poétiques, en édition bilingue, texte russe en bas de page. La Pierre (1913/1915/1923), Tristia (1922), Le Livre de 1928, Poèmes non rassemblés en recueil ou non publiés (1908-1934), Cahier de Voronej (1935-1937), Poèmes non inclus dans les Cahiers (1935-1937) et, en appendice : Poèmes de jeunesse (1909-1911) et poèmes pour enfants (1925-1926). II. Oeuvres en proses. Le Bruit du temps (1925), Féodossia (1925), Proses éparses, esquisses (1922-1927), Essais, articles (1913-1932), De la poésie (1928), Le Timbre égyptien (1928), La Quatrième Prose (1929-1930), Le Voyage en Arménie (1933), Entretien sur Dante (1933) et, en appendice : écrits de commande ou alimentaires.

03/2018

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