On leur a reproché d’avoir pris le nom, particulièrement connoté, depuis Stephen Hessel, d’Indignés. « Nous l’avons fait avec un peu de provocation, et de l’humour, surtout », répond Yves Poinot, ancien du Festival de la BD d’Angoulême, président jusqu’en 2005 du FIBD, et devenu porte-parole du mouvement. Les revendications de ce collectif citoyen, elles, n’ont rien de léger, vis-à-vis de l’Association.