Recherche

Week-end de folie à Bégard

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Festival Un week-end à l'Est : 2022, Odessa de l'espace

Un week-end à l’Est a été initié par Vera Michalski et Brigitte Bouchard en 2016 avec deux objectifs : raviver la vie culturelle dans le Quartier Latin et créer des passerelles entre les cultures. Cette année, il place la ville d’Odessa au cœur des rencontres, qui se dérouleront à Paris, du 23 au 28 novembre — littérature, cinéma, arts visuels, débats et concerts sont au programme.

ActuaLitté

Dossier

Pour 2023, Un Week-end à l'est invite Tbilissi, capitale de la Géorgie

Après avoir exploré des villes telles que Varsovie, Kyiv, Budapest, Belgrade, Sofia et récemment Odessa en soutien à l'Ukraine, "Un week-end à l'Est" pose ses valises pour sa septième édition à Tbilissi, le cœur de la Géorgie. Cette année, la réalisatrice et auteure Nana Ekvtimishvili en est la marraine, avec Nino Haratischwili comme invitée principale, et un focus spécial sur l'auteur d'origine géorgienne, Emmanuel Carrère.

ActuaLitté

Dossier

Saint-Elme, la folie d'un Twin Peaks, quelque part en Europe

« Ici, c’est spécial. » Depuis trois ans, Serge Lehman et Frederiks Peeters nous ont plongés dans une série dont les couleurs folles peinent à rester dans tranquillement dans leurs pages. Un polar percutant, aux personnages franchement décalés : avec la sortie du cinquième tome, Les Thermopyles, les comparses mettent le point final à leur saga au milieu des montagnes…

 

ActuaLitté

Dossier

Images, dessins, peintures : quand le regard raconte

Le regard humain est un outil puissant. Il capte, analyse et interprète le monde qui nous entoure. Mais que se passe-t-il lorsque ce regard se pose sur une image, un croquis, une toile ou un texte ? Une véritable alchimie s'opère, tissant des liens profonds entre l'observateur et l'œuvre.

ActuaLitté

Dossier

Rentrée littéraire 2017, la fashion week des libraires

Rentrée littéraire, le dossier complet : auteurs, français et étrangers, premiers romans, tous ceux qui feront l’actualité du livre. Au menu : chroniques, entretiens, prix littéraires et billets d’humeur. 

ActuaLitté

Dossier

Rentrée littéraire 2018 : les fashion weeks du libraire

Des auteurs paniqués, des éditeurs mondains, des libraires déjà épuisés, des distributeurs satisfaits – les seuls actuellement... –, des représentants (peut-être) en vacances, des transporteurs en retard, un ministère avec le Culture entre deux chaises, des lecteurs perdus, des blogueurs survoltés, des Instragrameurs pour lesquels nous n’avons pas trouvé de rime, des journalistes éreintés... 

Extraits

ActuaLitté

Policiers

Week-end de folie à Bégard

Imaginez Laure Saint-Donge, Hugues et six autres "invités" dans un endroit clos, isolé, dont ils ne peuvent s'échapper. Personne ne sait où ils se trouvent. Figurez-vous ces huit personnes soumises à de mauvais traitements continus et insupportables, destinés à les faire craquer. Une voix inquiétante a prévenu : "Vous ne sortirez d'ici que quand le coupable se sera dénoncé..." Et si aucun d'eux n'était coupable ? LSD va passer un week-end de folie, qu'elle n'est pas près d'oublier. Vous non plus.

01/2021

ActuaLitté

Ecrits sur l'art

La folie du regard

Dans la première partie de cet essai, Laurent Jenny, à travers les images de l'art, s'intéresse aux turbulences du regard. La diversité de ces images révèle en effet que le regard est loin d'être une donnée naturelle, simple et commune. Chaque époque, chaque artiste et chaque medium redessinent une extension différente du visible, et remodèlent des usages dans le champ très vaste qui est celui du visible. Il y a loin des figures paléolithiques superposées émergeant pour quelques rares initiés d'une matrice minérale enveloppante et secrète - aux tableaux luxueux, surchargés de symboles savants et d'allusions aux pratiques sociales que constituent les peintures du Quattrocento. Tout comme les peintures éloquentes de l'âge classique s'opposent, par leur discours implicite, au type de contemplation muette appelé par les tableaux "silencieux" de l'âge moderne, de Manet à Morandi. Ce n'est d'ailleurs pas seulement la connivence du regard avec l'intelligible qui se transforme, mais aussi son appel aux autres sens, notamment le tactile, ainsi qu'en témoigne encore aujourd'hui une oeuvre comme celle de Giuseppe Penone, qui cherche passionnément à étendre la sensibilité optique à la surface entière de la peau. Les technologies de l'image ont aussi leur part dans cette constante redéfinition du voir. La photographie a ainsi délibérément réduit le point de vue au monoculaire et astreint le regard à un battement, non sans effets temporels. A l'inverse, les spectacles immersifs de l' "atelier des lumières" , veulent produire l'illusion que le champ du regard est à la fois mouvant, sans bords et infini jusque sous nos pieds. Cependant le pari que fait Laurent Jenny, qui est aussi celui de l'art, c'est que toutes ces images si diverses nous parlent et nous atteignent au-delà des significations qui ont été celles de leur temps et des intentions de leurs auteurs, au-delà même des circonscriptions de regard qui les régissaient. C'est précisément leur dimension énigmatique qui aiguise notre attention à elles et découvre dans notre propre regard des régions ignorées. Cela ne va pas sans déchirure de nos habitudes perceptives, ni retentissement émotionnel et éthique. Et ce sont ces chocs dont Laurent Jenny s'efforce de rendre compte dans la patience de l'écriture. La seconde partie de cet essai propose donc une déambulation libre et subjective à partir d'images énigmatiques et un approfondissement de leur étrangeté. Laurent Jenny s'y interroge ainsi sur le trouble que produit la facture porcelainée et cruelle des Judith de Cranach ou sur la dimension secrètement apocalyptique d'un tableau supposément aussi galant que "La fête à Rambouillet" de Fragonard. Il questionne l'anachronisme optique des oeuvres "qui ne sont pas de leurs temps" , comme les huiles italiennes de Valenciennes ou de Thomas Jones. Il se penche sur les horizons obstinément bouchés de Courbet, qui font refluer le regard vers la matérialité épaisse des surfaces. Il cherche à comprendre la puissance du monde graphique de Seurat dont les figures "absorbantes rayonnantes" semblent dotées d'une pesanteur nocturne et solitaire intimement liée au monde chromatique restreint du noir et blanc. Il relève les stratégies de Matisse pour domestiquer au-dedans l'espace effrayant du dehors. Dans Louons maintenant les grands hommes, il confronte la sécheresse des photographies de Walker Evans, illustrant la vie nue des petits blancs pauvres d'Alabama et la prose incandescente d'Agee comme deux traductions de la même expérience visible. Et enfin il retrace les tourments de Giacometti vivant une forme de "folie du regard" en essayant vainement de saisir le visage de son modèle japonais Yanaihara. En définitive, à travers ces réflexions et ce parcours dans les images de l'art, il s'agit pour Laurent Jenny de rouvrir le champ du regard à son extension variable, à ses connivences passagères et à son essentielle indétermination.

03/2023

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Week-end à Zuydcoote

- ... Enfin, ce qu'on peut dire pour les Anglais, c'est qu'eux au moins, ils embarquent leurs hommes, tandis que du côté français !... En principe, ça se passe à Dunkerque et à Malo, mais jusqu'ici au compte-gouttes et seulement par unités constituées. Il a jouta au bout d'un moment : - Ce qui nous exclut, bien entendu. Il ne se passa rien de notable dans la minute qui suivit. Alexandre avait ses deux grosses mains croisées sur les genoux. Il était penché en avant et il attendait que Maillat eût fini de boire pour prendre son quart et se servir à son tour. Dhéry décroisa ses jambes et les recroisa et cela prit un certain temps, parce que ses cuisses étaient très grosses et qu'elles glissaient difficilement l'une sur l'autre. On ne voyait pas ses yeux derrière ses lunettes. Pierson avait posé son quart à côté de lui à terre.

ActuaLitté

Policiers

Week-end à Carthagène

"II se pencha, essaya en vain de faire jouer l'articulation d'un des genoux - le cadavre était glacé, rigide, et la mort devait remonter à dix heures au moins. Alors l'agent se redressa et, machinalement, jeta un regard autour de Iui... Avec stupéfaction il constata que la bibliothèque était maintenant vide. Et ça voulait dire qu'on avait assassiné le bonhomme pour faucher ses bouquins. Des bouquins consacrés uniquement à la disparition de la civilisation Maya vers le XII ? siècle de notre ère...

03/1971

ActuaLitté

Littérature française

Week-end à Zuydcoote

Rendu célèbre par le film de Henri Verneuil, Week-end à Zuydcoote est le premier roman de Robert Merle, qui rencontrera plus tard un succès constant avec des livres aussi différents que Malevil ou Fortune de France. Ce récit est fortement inspiré de son expérience de la guerre. Juin 1940 : un groupe de soldats français se retrouve dans la région de Dunkerque où la débâcle est vécue, vue et commentée à travers eux. On est frappé par la vitalité et la verve de ces soldats, qui tranchent avec le tragique de la situation. On s'esclaffe, on crie de douleur, rien n'est joué puisqu'on est en vie. "De quoi donc ce Week-end est-il fait ? s'interroge André Rousseaux dans Le Figaro littéraire. Moitié Croix de bois, moitié Colonel Bramble. Vous voyez à quel succès cela peut conduire son auteur". Quelques semaines plus tard, il recevait le prix Goncourt

05/2023

ActuaLitté

Littérature étrangère

Week-end à New York

Paul Essinger est un joueur de tennis professionnel, classement ATP moyen. Sa compagne, Dana, photographe en formation et ex - mannequin, est la mère de leur fils de deux ans, Cal. A eux trois, ils donnent une image comblée de la famille new - yorkaise issue des classes moyennes supérieures. Mais les orages d'été soufflent sur Manhattan et les parents de Paul sont venus le voir, juste avant que ne démarre l'US Open. Au cours de ce long week - end, plusieurs générations de tension familiale parviennent à leur point d'ébullition. Qu'est - ce que cela signifie, être une famille ? Etre un individu au sein de cette famille ? Et comment gérons - nous les responsabilités que ces rôles nous imposent ? Week - end à New York entremêle gestion familiale et gestion politique pour forger un portrait national lumineux à une échelle brillamment individuelle. Le thème de la famille est ancien, mais l'auteur traite avec brio et profondeur ce sujet, instillant de manière assez naturelle une forme particulière de drame complexe, de suspense, au fil de ces pages denses. A l'instar de célèbres romanciers américains, Benjamin Markovits nous entraîne à l'assaut des sommets que peut atteindre le réalisme social.

09/2019

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté