Le Drame de la vie

POESIE - La biographie d’un auteur est souvent l’expression d’une hantise ou d’une révélation sur laquelle une œuvre se bâtit et dont les schèmes conducteurs puisent parfois dans la mémoire enfouie de ce qui reste ou restera de toute une vie. Traces indélébiles, conscientes ou inconscientes de l’esprit vacant. Repères s’il en est de l’existence en train de se faire ou se défaire aussi, marqués par les circonstances et les vicissitudes du temps qui passe. Comme c’est un peu le cas de la poétesse Lydie Dattas, née en 1949, considérée à juste titre comme l’une des plus grandes voix poétiques féminines de sa génération.

Un comics sur la vie de la première dame des USA, Michelle Obama

De temps à autre, il nous faut prendre un peu de distance afin de pouvoir revenir, afin de pouvoir être à l’écoute, afin de pouvoir aimer à nouveau. J’ai déserté depuis quelques semaines, voire quelques mois, les colonnes de ce vénérable journal, et je vous présente mes plates excuses. Une licorne, aussi, a ses moments de doutes, de remise en cause et de questionnements existentiels. 

Un livre, un vin : Beigbeder rencontre le Château La Rame

La journaliste de Vanity Fair, Patrica Bosworth, vient de publier une biographie de Jane Fonda titrée Jane fonda : the Private Life of a Public Woman, qui se concentre sur la vie privée plutôt que sur la carrière de l’actrice américaine.

Publié chez Dargaud en janvier 2016 et réalisé par Aimée De Jongh, jeune auteure néerlandaise, Le retour de la bondrée, déjà récompensé en 2015 par le Prix Saint-Michel (Bruxelles), relate l’histoire d’un drame et d’un traumatisme. ​

« Alors que nous sommes entrés dans le XXIe siècle, il est difficile de dissocier la fin des moyens : que dire, et où le dire ? » Dans cette lettre ouverte, les membres de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants proposent à l’ensemble des acteurs du livre de réfléchir avec elles et eux à leurs pratiques, et aux impacts qui en découlent. 

Cette semaine, une émission très spéciale, d'écrits et d'histoire : 30 ans plus tard, La Grande Librairie convoque la mémoire du génocide des Tutsis au Rwanda. Des écrivains, remarquables, qui sont des survivants et qui témoignent autant qu'ils réfléchissent sur ce qui s'est passé et sur la façon dont on peut le transmettre. À leurs côtés, journalistes, historiens, artistes et romanciers. 

BONNES FEUILLES - Sous le vernis d’une comédie sociale légère, un roman inspirant, qui présente un regard de femme sur les femmes, sur l’amitié féminine, leur rapport au poids, au couple, à l’ambition professionnelle, au célibat, à la sexualité, et au formatage social, voire aux diktats auxquels elles sont soumises, et qui offre une initiation aux aptitudes paranormales et aux concepts ésotériques ou spirituels qui font partie intégrante de l’intrigue. 

C’était il y a bien longtemps, dans la région isolée d’Aldéa, petit village espagnol fait de maisons de pierre et de bois.

En novembre 2012, Sophie-Justine Lieber était nommée au cabinet de la ministre, au titre de conseillère en charge du numérique. Dix-huit mois plus tard, voici qu'elle quitte la rue de Valois, nous explique-t-on, confirmant un message diffusé par Électron Libre depuis Twitter. On se demande d'ores et déjà comment la Silicon Valois va mener à bien sa mission, sans une chargée des questions numériques. (article mis à jour, initialement publié le 26/04 à 12:04) 

Antoine Bello est un écrivain qui se distingue par des romans ingénieux qui mettent à mal notre notion de la vérité. Son Roman américain ne fait pas exception à la règle. L'auteur des Falsificateurs, les membres de cette société secrète qui réécrivait l'Histoire en créant de nouvelles sources, nous propose un drôle de livre, à mi-chemin entre l'enquête journalistique et le roman social. Son sujet : le marché du « life settlement » aux États-Unis. 

Jean Cocteau, artiste multidisciplinaire français, était célèbre pour son influence majeure dans les milieux littéraires, cinématographiques et artistiques du 20e siècle. Ses œuvres, marquées par une créativité onirique et un style avant-gardiste, ont grandement contribué à la modernité de l'art français.

Publié en version originale sous le titre The Queen's Gambit en 1983, puis traduit en français par Pierre Alien pour les éditions Albin Michel en 1990, Le Jeu de la dame, roman de Walter Tevis, se retrouve adapté en mini-série sur Netflix.

Avec l’arrivée prochaine de la Semaine de la presse et des médias dans l'École (du 21 au 26 mars 2011), il peut être intéressant de sensibiliser, de façon pédagogique, le jeune public au drame japonais. Les journaux spécifiquement réalisés à l’attention des enfants s’emparent aussi de cette information centrale actuellement.

Il n'est pas nécessaire de considérer un territoire peuplé de démons malfaisants et nauséabonds, pour imaginer une vie après la mort. En revanche, l'idée qu'un guide de survie en territoire bilan puisse sortir le voyageur récemment décédé de l'embarras est plutôt séduisante. Pour les Égyptiens, la vie après la mort était une réalité tangible, comme en atteste le Livre des Morts – ou Livre de la Sortie au Jour. Ce dernier recensait rites et conseils, pour apporter sereinement cette nouvelle existence.

Baudelaire, Le Peintre de la vie moderne, La Modernité

Anya Taylor-Joy, Bill Camp et Marielle Heller figurent au casting de la série Le jeu de la dame, produite et diffusée par Netflix. Cette mini-série comportera six épisodes, et sera diffusée à partir du 23 octobre prochain. Elle s'inspire du roman homonyme de Walter Tevis.

Baudelaire, Le Peintre de la vie moderne, Le dandy

Gio est un jeune homme rescapé de la guerre. Il a aperçu la mort, survécu de justesse – alors qu’il avait pourtant accepté son sort. Mais voilà, les infirmières ont tout fait pour le réanimer, pour ancrer son âme dans le monde des vivants. Après six mois passés à l’hôpital, il retourne chez lui, avec désormais « une longue cicatrice en creux, à l’arrière de crâne, un sillon, dans la chair meurtrie ». Cet étrange colosse, depuis cet accident, a la tête perdue dans les étoiles…

La Grande Scène du Salon du Livre de Paris accueillait ce midi deux personnalités importantes du hip hop français : Oxmo Puccino, que l'on ne présente plus, est de passage pour signer son 140 piles, quand Bernard Zekri, parmi les pionniers et promoteurs du mouvement hip hop, raconte les premières années du mouvement culturel en France, de New York à Paris.

Comme souvent, en Angleterre, l’histoire démarre avec une tasse de thé, qui finit par vous tomber des mains de stupeur. La romancière Jane Austen se voit embarquée dans une polémique post-mortem, sur sa consommation de plantes séchées et celle de ses personnages. Tout bonnement parce que ledit thé s’intégrerait dans une perspective colonialiste, liée à la Régence.

Le manga de Goda sur la peine de mort adapté en drama

Sur son site Not a Blog, l’écrivain a exprimé son admiration pour la série mettant en scène une jeune orpheline prodige des échecs. L’occasion pour l’auteur de revenir sur l’importance du jeu aux 64 cases durant ses années d’écrivain novices.

Vraiment pas de chance… Sauf probablement pour l’éditeur Weidenfeld qui est parvenu à rééditer le roman de Walter Tevis avec pour couverture l’affiche de la série. L’actrice Anya Taylor-Joy, toute en mystère et en provocation, attend mains croisées le coup de son adversaire. Un échiquier, et quelques pièces qui le disputent à des bouteilles d’alcool. Un symbole de cette série, devenue un véritable succès.

La maison d'édition Humanitas s'est associée à l'opérateur téléphonique Vodafone pour investir la bouche de métro de Victoria Square : transformée en bibliothèque numérique, les voyageurs peuvent y télécharger des extraits gratuits à partir d'un simple scan de QR code. 

AVANT-CRITIQUE - Une forte proximité avec sa mère que l’absence d’un père a amplifié, une solitude exacerbée par les mauvais traitements de ses camarades d’école et une passion inexplicable pour le grand large... Autant d’éléments qui rendent Lulu extrêmement sympathique, dans ce premier roman de Lena Paul-Le Garrec.

La quête de la notoriété qui obsède nombre d'auteurs commence à doucement agacer George RR Martin. À l'occasion du Festival du livre d'Édimbourg, le romancier qui porte la fresque Game of Thrones, se dit ulcéré par les smartphones - et de déplorer la gloire mondiale dont il est aujourd'hui victime. Notamment, les selfies...