Marasme, calamité, vaste bordel… les qualificatifs ne manquent pas chez les libraires pour décrire la situation, alors que les fêtes de fin d’années approchent. Pris de court, les voici entre le marteau et l’enclume, avec la ferme intention de ne pas prendre de coups de la part de lecteurs mécontents. Conclusion, s'il n'est pas possible pour eux d'être fournis en bandes dessinées, et autres titres dont s'occupe MDS, ils sont bien décidés à se passer des titres que distribue la filiale de Média Participations.