L'imagerie - Pourquoi ?

Aux États-Unis, le Dr. Seuss, Theodor Seuss Geisel (1904-1991) de son vrai nom, est une véritable institution de la littérature pour la jeunesse. Mais même les institutions évoluent : la société Dr. Seuss Enterprises, qui gère le patrimoine de l'écrivain décédé, annonce ainsi la fin des ventes de 6 ouvrages, dont And to Think That I Saw It on Mulberry Street (1937) et If I Ran the Zoo (1950), qui véhiculent une imagerie raciste.

Histoires sans FinPourquoi moi ?,Kimberly Pauley

Dans un contexte géopolitique très tendu où la géographie est plus que jamais indispensable pour la compréhension du monde et de son évolution, s'ouvrira le colloque À quoi sert la géographie ?. Il se tiendra les 7, 8 et 9 avril 2022 de 9h à 17h à Paris

Pourquoi écrivez-vous ? En voilà, une question ! Une question d’autant plus surprenante lorsqu’elle s’adresse à un auteur, qui aurait déjà publié quelques romans – plus ou moins avec succès – et qui n’imagine pas mener sa vie autrement. Alors comment réagir lorsque cette même question lui est posée, encore et encore, par une juge prête à l’accuser du plus terribles des maux ?

Les scientifiques sont d’attendrissantes créatures, soucieuses de percer les mystères de l’univers. Ceux de l’université d’Alberta se sont mis en quête de solutionner l’humour, et de théoriser mathématiquement le Dr Seuss. Pourquoi ses livres sont-ils drôles ? Les résultats ne sont pas si évidents, en réalité. 

Auteur Gallimard, juré Prix Goncourt, auteur d'une étude sur les traducteurs pour le CNL, journaliste, bloggueur et despote éclairé de la République des livres : Pierre Assouline est multi-casquette, solidement implanté dans l'industrie. Dans La revue des médias, il dénigre avec ardeur les réseaux de lecteurs, des « plateformes [qui] sont des sites marchands ». Et finalement, déplore une médiocrité propre à l'époque. Pierre Fremaux, cofondateur de Babelio, apporte les nuances impératives.

La société Oxatis vient de réaliser une étude sur les profils des e-commerçants, avec le concours de Médiamétrie, 2.000 clients ont été interrogés. L'occasion de faire le point sur les enjeux d'une présence sur le net. Lorsque l'on est libraire, surtout lorsque l'on est spécialisé, éditeur ou même auteur, l'e-commerce peut avoir du sens.

#AssisesEditionsIndépendantes23 – 5 mini-video où, à chaque fois, entre 3 et 6 personnes répondent à une même question autour de l'édition indépendante.

L'auteure accuse : Pourquoi avoir plagié, Stephenie Meyer ?

Le livre n'est sûrement pas l'industrie culturelle la plus touchée par le piratage, mais le développement du format numérique pousse — ou non — les professionnels à s'armer d'un peu de prudence. Lettres numériques propose les 5 raisons qui peuvent pousser un lecteur à commettre l'irréparable, à travers une simple recherche Google. Ou comment se prémunir du téléchargement pirate, pour un éditeur.

Parce que la logique éditoriale ne suit pas toujours l'ordre chronologique, voici le 1er roman de David Nicholls, récemment paru en France, soit environ un an après la parution de son 2ème roman « Un jour », vif succès en Grande-Bretagne, comme en France d'ailleurs et adapté au cinéma, à l'instar du 1er, d'ailleurs.

L’affaire provoque des haussements de sourcils, à juste titre : alors que l’éditeur britannique, comme d'autres, avait refusé catégoriquement de prendre part à l’offre d’abonnement ebook d’Amazon, voici qu’il fait volte-face. HarperCollins UK décide en effet d’abonder quelques centaines de titres de son fonds dans la plateforme Kindle Unlimited. Mais alors quoi ?

Elles poussent dans les agglomérations, elles se propagent avec bienveillance : leur seul tort ? Offrir un espace pour partager des lectures, entre habitants, voisins, citoyens. La boite à livres de quartier est plus inoffensive encore qu’un papillon. Alors pour y mettre le feu, faut-il avoir vraiment l’esprit tordu ?

Outre la beauté d'un livre en tant qu'objet, et la qualité, néanmoins fluctuante, de son contenu, une part de la magie d'un livre se trouve dans son odeur. Odeur plus âcre du vieux livre d'occasion ou de collection, ou si caractéristique du livre neuf, pourquoi apprécions-nous ces effluves si particuliers ? Et comment expliquer ces senteurs ? Miracle : la science a son mot à dire.

Du 12 au 14 juin 2014 se tient un colloque international sur le thème « L'Education en Asie en 2014 : quels enjeux mondiaux ? » au sein du Centre International d'Etudes Pédagogiques (CIEP). Une occasion donc d'interroger les raisons des succès obtenus par les pays d'Asie aux diverses enquêtes internationales sur le niveau des élèves.

Interrogé en 1960 par Gérard Pelletier à l'émission Premier Plan, l'écrivain belge Georges Simenon s'explique sur les origines du personnage littéraire le plus célèbre qu'il a créé, le commissaire Maigret. À l'époque, Maigret faisait figure d'exception au sein de la littérature francophone, car il n'était ni antipathique ni idiot, contrairement aux policiers dans la littérature de l'époque...

La semaine dernière, le syndicat des professionnels allemands du livre a publié une étude (notre actualitté) montrant l’importance du piratage des livres dans leur pays : 60 % des livres seraient piratés. Immédiatement après, elle a publié un communiqué appelant au contrôle d’Internet pour lutter contre le piratage (notre actualitté). Qui s'est révélé très polémique. Voici une explication par le syndicat de sa position.

Quand les Simpson interrogent la société américaine, il ne fait pas bon d'y laisser les doigts traîner... Marge, convaincue qu'un DVD éducatif provoque des catastrophes sur l'évolution intellectuelle des enfants, va décider de priver sa famille de télévision durant 24 heures. Il s'agit de l'épisode 14 de la saison 24, diffusé en février dernier... 

#AssisesEditionsIndépendantes23 – Éditeur, un métier de création, ou au moins de contribution à la création, on en comprendra l’attrait. Il y a les grandes structures, appuyées sur une histoire plus ou moins longue, qui est aussi celle des concentrations, et des aventures individuelles ou en petit comité. Ces dernières sont portées par des passionnés, entre succès, force de conviction et manque, parfois, de culture d’entreprise. Alors, pourquoi devient-on éditeur indépendant ?

Les clichés d'acacia immortalisé sur fond de soleil couchant, et ciel rougissant de rigueur, ne découleraient pas des impératifs d'un label éditorial. Pourtant, comme le fait remarquer le lecteur Simon Stevens, les livres traitant de l'Afrique, peu importe leur sujet, sont souvent ornés de cette même illustration de couverture. L'on en viendrait à se remémorer la nonchalante création publicitaire façon Octave, protagoniste du 99 francs de Beigbeder, en essayant d'imaginer le pourquoi de cette redondance. Vous reprendrez un peu de yaourt ? 

Depuis l'apparition des lecteurs ebooks et des tablettes, les analystes se penchent cycliquement sur l'avenir du livre. Et encore une fois, on n'échappera pas à une flopée d'avis contradictoires. Le livre papier va-t-il disparaître ? La lecture deviendra-t-elle exclusivement numérique ? Et qu'en est-il pour le secteur plus particulier des journaux et magazines ?

Si, pour l'instant, dans les écoles primaires, l'usage des tablettes rentre progressivement dans les mœurs, comme il n'y a pas encore de consigne nationale claire, il est difficile de savoir qui fait quoi, où, avec quel matériel et comment ? C'est pour répondre à ces différentes questions que La Souris Grise lance une cartographie collaborative.

Un marché estimé à 600 millions de dollars et une croissance de 20% par an (Impres R&D) : le livre numérique semble en bonne santé au Japon. Mais ces chiffres masquent des disparités importantes et le secteur, avec seulement 30 000 titres disponibles, tarde en réalité à se développer.

Pécresse explique pourquoi le conflit dans l'éducation s'éternise

L'emprunt est gratuit, pourquoi acheter des livres en bibliothèque ?

Le paradoxe de l'hétérosexualité : pourquoi le sexe opposé attire

Wikipédia, l'encyclopédie sur papier est disponible : oui, mais pourquoi ?

Pourquoi 2009 sera l'année des ebooks : 20 (bonnes ?) raisons

Ce mardi 4 juillet, Le Monde annonçait la volonté de Vivendi de s’offrir la chic librairie indépendante de Saint-Germain-des-Prés, L’Écume des pages. Une question à présent se pose : pourquoi investir dans une enseigne qui souffre des loyers élevés et se contente des marges bien connues de la librairie française ? On ne doute pas que le géant des médias, comme ceux qui l'ont précédé dans ce type d'acquisitions, a une idée derrière la tête…