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Flaubert Caroline, Sœur de Gustave. La pianiste virtuose, le jaloux familial

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Samurai Légendes : le préquel, bien avant les Soeurs de l'Ombre

Sortie en novembre 2012, la série Samurai Légendes apporte un autre regard sur le cycle de Di Giorgio et Genêt, cette histoire se déroule 16 ans avant que Takeo ne soit confronté aux Sœurs de l’Ombre. Un ajout essentiel aux événements survenus au cœur du Japon médiéval.

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Une écologie de la librairie au coeur des RNL 2024

Les Rencontres nationales de la librairie prennent leur quartier à Strasbourg, capitale mondiale du livre, les 16 et 17 juin 2024. Quelque 700 libraires, parmi 1200 participants au total, échangeront autour des sujets qui préoccupent la profession.

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L’Intention, le podcast qui plonge au cœur des livres

Hachette Livre présente L'Intention, une nouvelle série de podcasts dans laquelle les écrivains révèlent les sources d'inspiration et les démarches créatives à l'origine de leur dernier ouvrage.

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

Extraits

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Littérature française

Flaubert Caroline, Sœur de Gustave. La pianiste virtuose, le jaloux familial

Gustave Flaubert (1821-1880), renvoyé du lycée, diplômé uniquement du baccalauréat, rédige de 30 à 35 ans sa première grande oeuvre publiée : Madame Bovary (pas prénommée). Toujours sans emploi, il a pu vivre aisément et voyager grâce à la fortune d'un père chirurgien-chef rouennais réputé, puis à la magnanimité de son frère aîné qui prendra la suite. L'ingrat écrivain raconte l'histoire d'un médecin retraité débauché et de son fils, docteur d'une bêtise inconcevable : sorte de satanique biographie parentale. Seule madame Flaubert/Bovary mère échappe à la diatribe d'où l'aveu de l'auteur "Madame Bovary, c'est moi". Personne, jusqu'à présent, ne s'est intéressé à la soeur de Gustave : Caroline (1824-1846), pianiste virtuose. La jalousie du romancier peut expliquer son éternelle dévalorisation des musicien.ne.s. Emma Bovary en fournit une illustration irréfutable. Le présent volume revisite les textes du pseudo-féministe. En fin d'ouvrage, preuve est faite de sa répulsion du monde auditif qui l'a conduit à des incohérences et inepties malgré ses perpétuels "copier-coller".

09/2019

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Littérature française (poches)

Gustave Flaubert

Albert Thibaudet (1874-1936) a été le critique le plus écouté entre les deux guerres. Jean Paulhan écrivait, à propos de sa méthode : "Il est facile d'aimer la littérature. Thibaudet allait beaucoup plus loin : il aimait les écrivains. Il avait plaisir à relever dans un livre, dès la première page, certain terme ingénieux ; dès la troisième, une invention délicate ; et, pour finir, quelque alluvion, apportée par la rivière Senèque ou le fleuve Virgile". C'est parce qu'il aimait Gustave Flaubert que son livre nous aide encore aujourd'hui à mieux comprendre le solitaire de Croisset.

11/1982

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Littérature française

Un coeur simple. un roman de Gustave Flaubert

Un coeur simple, la première nouvelle de Gustave Flaubert est parue dans le livre Trois contes, publié en 1877. UN CoeUR SIMPLE EST AU DEPART UNE NOUVELLE DE GUSTAVE FLAUBERT TIREE DU RECUEIL TROIS CONTES, QUI RETRACE L'HISTOIRE D'UNE SERVANTE AU XIXE SIECLE, EN NORMANDIE, FELICITE DE SON PRENOM. Félicité qui a cinquante ans, est au service de Mme Aubain, veuve endettée et mère de deux enfants, qui a dû emménager dans une maison héritée de ses ancêtres à Pont-l'Evêque. Servante modèle, Félicité est entrée au service de Mme Aubain à l'âge de 18 ans suite à une déception amoureuse - l'homme qu'elle aimait s'est marié avec une vieille femme pour échapper à la conscription -. Félicité s'occupe des enfants de Mme Aubain, Paul et Virginie, âgés de sept et quatre ans puis Paul va quitter la maison pour suivre des études au collège de Caen. Félicité souffre d'abord de ce départ puis se trouve consolée par une nouvelle distraction : le catéchisme quotidien de Virginie. Mais la fille de Mme Aubain part bientôt poursuivre son éducation chez les Ursulines à Honfleur. Félicité va alors reporter son amour sur son neveu Victor qui s'engage pour un voyage au long cours dont il ne reviendra pas. Quelque temps après, Virginie meurt d'une fluxion de poitrine. Félicité, seule, voue alors une immense tendresse à Loulou, un perroquet dont on lui a fait cadeau. Suite à une angine, la servante devient sourde ainsi isolée du monde, elle ne perçoit plus que la voix de son perroquet quand un matin d'hiver elle découvre Loulou mort. Sa douleur est tellement grande que suivant le conseil de Mme Aubain, Félicité décide de le faire empailler. Après la mort de Mme Aubain, la pauvre servante reste dans la maison invendue qui se dégrade peu à peu. Ayant contracté une pneumonie, Félicité ne vit plus que dans l'unique souci des reposoirs de la fête-Dieu. Elle décide même d'offrir Loulou empaillé pour orner le reposoir situé dans la cour de la maison de Mme Aubain. Pendant que la procession parcourt la ville, Félicité agonise et dans une ultime vision, le Saint-Esprit lui apparaît sous l'aspect d'un gigantesque perroquet.

11/2022

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Littérature française

Le dernier bain de Gustave Flaubert

Conçu à la mi-mars 1821 d'un coup de reins que j'ai toujours eu quelque peine à imaginer je suis né le mercredi 12 décembre à quatre heures du matin. Il neigeait sur Rouen, une légende familiale prétend que ma mère se montra si stoïque pendant le travail qu'on pouvait entendre tomber les flocons sur les toits de la ville. Quant à moi, je serais bien resté quelques années de plus dans le ventre à l'abri de l'imbécillité du monde. Désespéré de naître j'ai poussé un atroce hurlement. Epuisé par mon premier cri je semblais si peu gaillard qu'on attendit le lendemain pour me déclarer à l'état civil car si j'étais mort entre-temps on en aurait profité pour signaler mon décès par la même occasion. Le 8 mai 1880 au matin Gustave Flaubert prit un bain. Il décéda peu après dans son cabinet de travail d'une attaque cérébrale sans doute précédée d'une de ces crises d'épilepsie dont il était coutumier. Allongé dans l'eau il revoit son enfance, sa jeunesse, ses rêves de jeune homme, ses livres dont héroïnes et héros viennent le visiter. Il se souvient d'Elisa Schlésinger, la belle baigneuse de Trouville qui l'éblouit l'année de ses quinze ans, de Louise Colet dont les lettres qu'il lui adressa constituent à elles seules un chef-d'oeuvre mais aussi de l'écrivain Alfred Le Poittevin qui fut l'amour de sa vie.

04/2022

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Contes et nouvelles

Trois Contes. de Gustave Flaubert

Ce livre est un recueil de trois nouvelles : Un coeur simple, Légende de Saint Julien l'Hospitalier et Hérodias. Celui-ci témoigne d'une grande puissance d'évocation, qu'il s'agisse du portrait psychologique de Félicité dans 'Un coeur simple', de la violence des actes de Saint Julien, ou de l'atmosphère surchargée jusqu'au vertige d'Hérodias.

11/2022

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Critique littéraire

Correspondances Gustave Flaubert/Alfred Le Poittevin, Gustave Flaubert/Maxime Du Camp

C'est dans une lettre à sa maîtresse, Louise Colet, que Flaubert, alors âgé d'une trentaine d'années, évoque l'ami disparu, Alfred Le Poittevin, et l'ami présent, Maxime Du Camp : le premier, mort trois ans plus tôt, en 1848, a été l'intime, le " seul confident " ; le second, rencontré à Paris pendant leurs années d'études, demeurera le compagnon d'une vie entière, malgré les brouilles et les séparations. Le métaphysicien et l'aventurier ne s'aimaient guère ; voilà pourquoi Flaubert entretint avec chacun une correspondance séparée. En dépit des promesses de destruction de ces lettres souvent indiscrètes ou scandaleuses, une grande partie d'entre elles nous est parvenue : les lettres écrites par Flaubert et Le Poittevin entre 1837 et 1847 ou celles que s'adressent Du Camp et Flaubert jusqu'à la mort de celui-ci, en 1880, bruissent de lectures et de livres projetés, de femmes possédées, de départs réels ou rêvés. Voilées ou explicites, les déceptions transparaissent aussi le mariage de Le Poittevin, ressenti par Flaubert comme une trahison, les stratégies mondaines de Du Camp ou encore ses critiques parfois rudes à l'endroit du style du romancier -, tandis que la maladie et les deuils deviennent une chronique nécessaire. Ces correspondances, dont les allusions et les énigmes sont explicitées par des notes abondantes, comportent un grand nombre de lettres inédites ; on trouvera en annexe des lettres échangées par Flaubert et Adèle Husson, la maîtresse de Du Camp.

10/2000

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