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Dien Bien Phu. La fin d'un monde

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Dossier

“Bien trop Petit”, le livre qu'a censuré Gérald Darmanin

Un roman, recommandé aux adolescents de 15 ans (et plus), a subi les foudres du ministère de l'Intérieur : dans un arrêté signé ce 17 juillet, l'ouvrage a été frappé d'interdiction  de vente aux mineurs. Motif ? Des contenus pornographiques, interdits par la loi.

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Dossier

Rétablir le lien profond entre la Nature et l'Humanité

Dès les premiers jours de son existence, l'Humain a toujours été intrinsèquement lié à l'univers qui l'entoure. Cette relation, profonde et complexe, s'est tissée au fil des millénaires, façonnant la manière dont nous vivons, mangeons et percevons le monde autour de nous. Pas de planète B. Voici une excellente raison pour respecter celle qui nous est donnée.

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Dossier

Samurai Légendes : le préquel, bien avant les Soeurs de l'Ombre

Sortie en novembre 2012, la série Samurai Légendes apporte un autre regard sur le cycle de Di Giorgio et Genêt, cette histoire se déroule 16 ans avant que Takeo ne soit confronté aux Sœurs de l’Ombre. Un ajout essentiel aux événements survenus au cœur du Japon médiéval.

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Dossier

Lire en Poche 2022 : Un autre monde

Rendez-vous incontournable de la rentrée littéraire, Lire en Poche, organisé par la ville de Gradignan, accueille près de 27.000 visiteurs et plus de 100 auteurs, dont un tiers d’auteurs jeunesse qui rencontre son public également dans le cadre scolaire. L'édition 2022 se déroule du 7 au 9 octobre.

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Dossier

Axolot : entrez dans un monde d'étranges étrangetés

Patrick Baud est conteur et créateur du blog et chaîne YouTube Axolot. Énigmes, expériences scientifiques, bestioles incroyables, tout y passe pour assouvir son but : partager son étonnement face à l'étrangeté de l'univers. Depuis octobre 2010, ces récits ont été transformés en bande dessinées, avec les dessins de nombreux et talentueux illustrateurs – différents à chaque tome.

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

Extraits

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Histoire internationale

Dien Bien Phu. La fin d'un monde

Printemps 1954 : le fer de lance du Corps expéditionnaire français d'Extrême-Orient affronte, dans la haute vallée de Dien Bien Phu, les unités d'élite de l'Armée populaire du Vietnam commandées par le général Giap. Ce féroce et inégal corps à corps sur fond d'intenses duels d'artillerie est d'une violence inouïe : entre 13 000 et 25 000 soldats vietnamiens sont tués ou blessés, tandis que les pertes françaises s'élèvent à 65 % des effectifs engagés. Au terme d'un siège long et éprouvant, le combat s'achève par une défaite implacable pour l'armée française, dont près de 9 000 soldats subiront une douloureuse captivité dans les camps du Vietminh. Dans un contexte de guerre froide où la France est massivement soutenue par les Etats-Unis et le Vietnam par la Chine communiste, ce colossal face-à-face mènera à un accord diplomatique entérinant, à Genève, la disparition de l'Indochine française, prélude à la fin de l'ère coloniale. La défaite de la France précipitera la décision du FLN algérien d'engager à son tour la lutte armée, en même temps que la radicalisation d'une partie de l'armée française hantée par le " syndrome indochinois " et bien décidée à ne plus jamais subir pareille humiliation. En s'appuyant sur de nombreux témoignages des deux camps, Pierre Joumoud, avec la collaboration de Dao Thanh Huyen, replace pour la première fois dans un cadre spatio-temporel considérablement élargi cette bataille mythique, qui changea la face du XXe siècle.

04/2019

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Histoire de France

Dien Bien Phu. La fin d'une illusion

Dien Bien Phu morne cuvette. Dans l'imaginaire des Français, la défaite tonkinoise figure, dans l'armoire aux humiliations, aux côtés d'Alésia ou de Waterloo. Pour toute une frange de l'opinion cédant aux facilités d'un anti-militarisme primaire, l'initiative stratégique du général Navarre est même devenue un symbole de la médiocrité des états-majors. Pourtant, les contemporains n'ont pas vécu cet événement exactement de cette façon. Le parachutage sur ce petit village inconnu du pays thaï a même été salué comme un heureux événement, voire comme un tournant du conflit du bout du monde. Jour après jour, ce sont les réactions du monde politique et de l'opinion, en métropole, qu'Alain Ruscio a étudiées. Comment les Français ont-ils été informés de ce qui se passait dans les tranchées sanglantes d'Indochine ? Que sut l'homme de la rue de ce que vivait l'homme de la boue tonkinoise ? Quelles images des combattants des deux camps la presse, les hommes politiques, façonnèrent-ils, durant les 22 semaines de ce gigantesque affrontement ? Enfin, l'auteur a poursuivi son étude jusqu'au terme de cette guerre, la Conférence de Genève (juillet 1954). Cette étude d'opinion, à un moment-clé de la décolonisation, montrera combien les pesanteurs étaient fortes, encore, il y a un tiers de siècle.

01/1986

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Littérature française

Diên Biên Phù

"Depuis vingt ans mon esprit erre en ce lieu, qui me hante. J'y reviens enfin, pour retrouver des souvenirs perdus. En exil de moi-même. Je suis de retour ici pour une femme flamme, rencontrée pendant la guerre. Nous nous étions aimés, sans bruit ni fureur, avant de nous séparer, contraints. Dans la stridence du silence. J'étais jeune et mal marié, rêveur, avide de voyages et d'aventures, de douces drogues dures et d'écriture. Passions voraces et dévastatrices pour les âmes comme la mienne, en recherche d'absolu, inatteignable. En quête de moi-même, j'avais trouvé Maï Lan. Frêle et mystérieuse jeune femme, qui allait s'éprendre d'un soldat en guerre contre son pays. Et contre lui-même. Il y a des êtres qu'on rencontre trop tard pour ne pas les aimer. Maï Lan." Vingt ans après la défaite des troupes françaises à Diên Biên Phù, en mai 1954, Alexandre, un ancien soldat, revient au Viêtnam sur les traces de Maï Lan, la femme qu'il a follement aimée. L'horreur et l'absurdité de cette guerre sont vite apparues au jeune homme qui, pour échapper à un mariage de convenance, avait cédé à la propagande colonialiste. Au coeur de l'enfer, il va pourtant faire la connaissance des deux êtres qui modèleront celui qu'il est devenu, un journaliste engagé dans les luttes anticoloniales : Maï Lan, et " son sourire aux éclats d'arc-en-ciel ", et Alassane Diop, son camarade de régiment sénégalais, qui lui a sauvé la vie lors de l'attaque d'un pont et dont il épaulera la lutte pour l'indépendance de son pays. Avec ce roman vibrant, intense, rythmé par les poèmes qu'Alexandre a pendant vingt ans écrits à l'absente, Marc Alexandre Oho Bambe nous embarque dans une histoire d'amour éperdu, qui est aussi celle de la rencontre d'un homme avec la vérité de ses sentiments et de ses combats.

03/2018

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Histoire internationale

Diên Biên Phu 1954

La bataille de Diên Biên Phu, qui se livre du 13 mars au 7 mai 1954, est la dernière de la guerre d'Indochine. Elle est aussi la plus longue du conflit et l'une des plus meurtrières. Environ 8000 soldats vietminh sont tués, ainsi que 2293 soldats de l'armée française, qui perd aussi 11 721 prisonniers, dont seulement 3290 reviendront des camps de prisonniers. Le camp retranché de Dién Bien Phu n'a pas pu contenir les assauts de l'armée vietminh du général Giap. Cette défaite sans appel sonne le glas de la présence française en Indochine. En juillet 1954, après les accords de Genève, le Vietnam est partagé en deux et les Français quittent le Tonkin, devenu Nord-Vietnam.

09/2019

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Guerre d'Indochine

Dien Bien Phu. Un coin d'Enfer

Le samedi 8 mai 1954, l'avion de commandement capte le tout dernier message expédié par les Français de Dien Bien Phu : "Sortie manquée stop ne puis plus communiquer avec vous stop et fin." La sortie d'"Isabelle" vient d'échouer et c'est bien la fin. La fin de la guerre d'Indochine et de la puissance coloniale française. Pour la première fois dans l'histoire, une guérilla a défait l'un des grands sur un champ de bataille. La perte de Dien Bien Phu en 1954, dont le siège aura duré 167 jours, aura des conséquences comparables à celles qui suivirent Waterloo, la Marne et Stalingrad. Comment en est-on arrivé à cette situation désespérée à la veille de la conférence de Genève ? Minutieusement, Bernard Fall,après avoir recueilli les témoignages des survivants des deux camps, interrogé les acteurs essentiels de ce drame comme Hô Chi Minh et Giap à Hanoi, et obtenu du ministre français des armées l'autorisation de consulter des documents de première importance encore tenus secrets, reconstitue la bataille. Il décrit l'assaut puis l'asphyxie de Dien Bien Phu par une guerre de tranchée qui rappelle Verdun, et nous conduit dans l'enfer du camp retranché où les blessés sont terrés avec la vermine dans d'obscurs boyaux. Il montre comment les 13 000 hommes de la garnison française, composée à 70 % de légionnaires, de Nord-Africains et de Vietnamiens, s'opposèrent aux 50 000 combattants Vietminh et aux 55 000 requis sans armes - hommes, femmes, vieillards.

03/2024

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Histoire de France

Lettres de Diên Biên Phu

Diên Biên Phu est la dernière bataille livrée par la France avec les soldats de notre vieil empire colonial. Pour la dernière fois, des Nord-Africains, des Africains (qu'on appelait alors Sénégalais, sans doute à cause de notre collusion vieille de quatre siècles avec le Sénégal), des gens de tous nos comptoirs et îles épars, Yanaon, Karika, Mahé, Chandernagor, Pondichéry, les Antilles, les Glorieuses et autres territoires de l'océan Indien, les galaxies du Pacifique ; pour la dernière fois, ces jeunes hommes au service de la France vont se battre, et mourir, côte à côte avec nous, les Gaulois, avec nos cousins européens de la vieille Légion, et surtout avec nos frères indochinois : les Vietnamiens d'abord, déchirés par leur guerre civile, les Cambodgiens, les Laotiens et toute la multitude des peuples de là-haut. Et, chose surprenante, tous ces jeunes hommes pressentent confusément que c'est l'ultime bataille et qu'elle est déjà perdue. Peu ont rechigné. Il y a là un mystère ! Il y a un autre mystère : pourquoi tous ces hommes se sont-ils battus là-haut, au fond d'une vallée perdue du bout du monde, au bord de la Nam Youn, sur le sol du Vietnam, pays indépendant qui n'était plus une possession de la France, avec la même foi, le même acharnement, le même esprit de sacrifice que nos grands-pères sur les bords de la Meuse, sur le sol de France ? Oui, il y a là un grand mystère ! Pierre Schoendoerffer, préface.

04/2004

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