Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout !
Quelques semaines après l'élection présidentielle qui a reconduit Emmanuel Macron à l'Élysée pour un nouveau mandat de cinq ans, les élections législatives recomposeront l'Assemblée nationale. Les députés, à la fois législateurs et contrôleurs de l'action de l'État, s'intéressent assez logiquement à la culture et au livre.
Baptisées Little Free Library par les Américains, les Boîtes à livres sont devenues des outils de partage essentiel pour les livres. Au point que la Région Île-de-France se soit lancée dans l’implantation dans le réseau de gares franciliennes.
Dans un monde en constante évolution, où la technologie prend de plus en plus de place, il est essentiel de se rappeler de l'importance de l'humanité. Voir, vivre et cohabiter sont trois verbes qui définissent notre existence. Mais comment ces actions sont-elles influencées par les livres, outils intemporels de la connaissance?
Qu’il s’agisse de fictions par lesquelles le réel se revisite, d’approches analytiques explorant les détails et aspects de notre société humaine ou encore d’instantanés saisissant la lumière – et faisant jour ! – sur notre monde, nous demeurons pris dans notre environnement. Humains, trop humains, certainement, avec pour prisme premier notre regard sur cette Terre et ce que nous en avons fait, ce que nous en faisons… et ce que nous en ferons.
Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité.
Ecrits sur l'art
11/2022
Théâtre
06/2015
Théâtre
02/2018
Ouvrages généraux
#MondeCNL – Ni transhumain, ni posthumain ou inhumain, le "presque-humain" désigne un nouveau domaine : celui qui se dessine en deçà ou au-delà de l'humain, là où notre condition devient une question plutôt qu'une évidence. Que nous disent-ils de ce que nous sommes devenus, ces êtres (zombies, mutants, robots, cyborgs, goules, etc.) qui, sans être nos semblables, nous ressemblent cependant, au point parfois de devenir des caricatures de nous-mêmes ?
Qu'ils soient amis ou ennemis, ces êtres fictifs hantent notre imagination, nous promettent un avenir souvent inquiétant, remettant en cause notre autonomie. Ils nous rappellent qu'être humain, c'est toujours être susceptible de faillir. Entre menace de chute et rêve de plénitude, les presque-humains interrogent de manière originale ce que c'est qu'endosser un costume de femme, d'homme, ou simplement d'humain.
S'appuyant sur de multiples personnages de fiction aux marges de l'humanité, cet essai explore ces figures aujourd'hui populaires pour questionner leur désir d'être simplement humaines - aspiration souvent contrecarrée par la nature, la technique ou la société. Si nous fantasmons parfois d'outrepasser notre condition et de nous arracher à nos origines animales, les presque-humains nous rattachent à l'idée d'humanité - que celle-ci constitue une promesse, une déchéance, un stade à dépasser ou une émergence à venir.
05/2021
Informatique
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Théâtre
09/2018