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Arts premiers. Le temps de la reconnaissance

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Dossier

Le Prix Stanislas du premier roman

Créé en 2016 par Le Livre sur la Place et Groupama, le Prix Stanislas du premier roman récompense le talent d’un auteur d’un premier roman publié à la rentrée de septembre. Dix ouvrages de la rentrée littéraire sont sélectionnés au cours de l'été, le nom du lauréat est connu à la fin de celui-ci, avant que la récompense ne soit remise au cours du Livre sur la Place.

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

Romance et voyage dans le temps : Outlander, saga “kilt” de Diana Gabaldon

Et bien au-delà... Depuis sa première traduction en français en 1995, tout d’abord Aux presses de la Cité puis chez J’ai lu, la saga de Diana Gabaldon aura séduit plus d’un million de lecteurs tant en numérique qu’en format papier. Cette dernière a connu un incroyable renouveau avec son adaptation en 2014 sur Netflix – la sixième saison est attendue pour le 6 mars prochain. Une chose est sur Claire Randall et Jamie Fraser n’ont pas fini de se retrouver à travers le temps…

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Dossier

Un festival de lectures plurielles, à travers les univers de premiers romans

Premier événement littéraire collaboratif de France, le Festival du premier roman de Chambéry est l’occasion unique de découvrir la littérature contemporaine en français, italien, espagnol, allemand, roumain et anglais. Débats, rencontres, cafés littéraires, ateliers, spectacles, expositions... Voyagez à travers les univers des auteurs invités. 

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Dossier

10 autrices racontent leur première fois...

Muse, recherches acharnées ou nonchalance virtuose, l’inspiration reste le grand secret de la création. Mais dans quelles circonstances le premier pas vers l’écriture s’est-il opéré ? Comment ont-elles su qu’elles entamaient leur premier véritable livre, celui qui serait mené à terme ? 

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

Extraits

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Encyclopédies de poche

Arts premiers. Le temps de la reconnaissance

" La qualité la plus frappante des arts primitifs, commune à tous, est leur intense vitalité. C'est quelque chose que les gens ont fait en réponse directe et immédiate à la vie-: ainsi s'exprimait le sculpteur Henry Moore en 1941, mais beaucoup d'autres artistes du XXe siècle ont contribué à faire évoluer le regard de leurs contemporains sur les productions des sociétés non occidentales. Une approche qui marque la fin d'un dogme: la suprématie de l'art des civilisations développées sur ce que l'on appelait des " curiosités exotiques ". Restait à donner à ces exceptionnels objets d'art d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques la possibilité de rencontrer leur public. C'est chose faite, avec leur présentation, au Louvre et au musée du quai Branly. Marine Degli et Marie Mauzé retracent ce long cheminement vers la reconnaissance des arts premiers.

06/2006

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Littérature française

Reconnaissance de la rivière

Quatre approches (esthétique, géographique, poétique et photographique) d'un lieu singulier.

06/2009

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Littérature étrangère

La reconnaissance de Sacountala

La reconnaissance de Sacountala / drame sanscrit et pracrit de Calidasa, publié pour la première fois, en original, sur un manuscrit unique de la Bibliothèque du roi, accompagné d'une traduction française... par A. -L. Chézy,... Date de l'édition originale : 1830 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

06/2020

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Histoire de la psychologie

Reconnaissance de la psychologie

Ce nouvel "opus" de Claude Mesmin se trouve à la convergence de l'essai et du récit. Elle met en évidence son parcours, elle évoque comment ses interrogations premières l'ont conduite à défendre la reconnaissance de la "psychologie" comme approche scientifique de la pensée ou de la cognition. Si aujourd'hui, il nous semble évident que les personnes autorisées à faire usage du titre de psychologue sont tenues de faire enregistrer sans frais, auprès de l'agence régionale de santé ou de l'organisme désigné à cette fin, leur diplôme mentionné au premier alinéa de l'article 44 de la loi de 1985 ou l'autorisation mentionnée au paragraphe II de ce même article, cela est dû justement au combat qu'elle a porté avec les 8000 psychologues de l'ANOP. Claude Mesmin nous explique les passages du juridique au législatif. En faisant cela, comme auteure, elle nous invite à considrérer comment on réglemente une profession. Nous comprenons alors la dimension de la déontologie.

05/2021

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Droit des obligations

La reconnaissance de dette

La reconnaissance de dette La reconnaissance de dette se présente, de prime abord, comme un acte du quotidien des plus banals : un père prête à son fils une somme d'argent pour l'aider dans un projet et celui-ci souscrit une reconnaissance de dette ; une succession s'ouvre et l'on découvre une reconnaissance de dette dressée par le défunt ; un dirigeant de société signe une reconnaissance de dette pour l'activité de la société. Cette simplicité induit une certaine évidence dans l'appréhension juridique de cet acte. Pourtant, dès lors que l'on s'intéresse davantage à la reconnaissance de dette, ce vernis de simplicité s'effrite rapidement pour laisser place à de nombreuses incertitudes : quelle capacité requérir pour la souscription d'un tel acte ? Peut-on en contrôler les vices du consentement ? La réduction de l'obligation est-elle la bonne sanction, lorsque la dette est moins importante qu'indiquée ? Et quelle doit être la sanction lorsqu'elle est plus importante ? Contenue dans un testament, la reconnaissance de dette a-t-elle la valeur d'un legs ? La récente réforme du droit des contrats a ajouté son lot de questionnements en supprimant la notion de cause, grâce à laquelle la jurisprudence contrôlait l'existence de la dette reconnue. Quel fondement utiliser en présence d'une reconnaissance de dette souscrite après le 1er octobre 2016 ? Pour répondre à l'ensemble de ces interrogations, et d'autres encore, la thèse se propose d'identifier la nature juridique de la reconnaissance de dette. Là encore, la diversité des qualifications qui lui sont prêtées témoignent de la confusion qui entoure cet acte : acte unilatéral, contrat unilatéral à titre onéreux, acte déclaratif, acte récognitif, etc. Si la nature d'aveu a finalement été retenue, le chemin vers cette qualification fut l'occasion, non seulement de définir plus distinctement les contours de notions voisines et incertaines, telles que l'acte déclaratif ou l'acte récognitif, mais encore de clarifier, grâce à l'apport de l'histoire et du droit comparé, les rapports entretenus par la reconnaissance de dette et la cause devenue contrepartie. Au-delà de ces éclairages particuliers, l'identification de la nature hybride de la reconnaissance de dette, qui emprunte autant à l'acte juridique substantiel qu'aux modes de preuve, amène à adopter un autre regard sur ces notions traditionnellement opposées, en enrichissant la classification des actes juridiques de nouvelles ramifications. Le régime juridique de la reconnaissance de dette se bâtit alors sur le socle de la qualification d'aveu ainsi retenue pour en épouser les singularités. Cette construction commande de coordonner ses dimensions probatoires et substantielles et de conjuguer leurs régimes. Quoiqu'applicable " en tant que de raison " aux actes unilatéraux, tels que l'aveu et la reconnaissance de dette, suivant la lettre de l'article 1100-1 du code civil, le droit des contrats, construit sur le modèle de la réciprocité, se trouve ainsi mis à l'épreuve. La nature probatoire de la reconnaissance de dette rebat nécessairement les cartes des conditions de formation de l'acte juridique, qui se concentrent sur l'existence de la dette. Elle implique également de repenser la sanction dont ces règles sont assorties, la nullité ne présentant que peu d'intérêt en matière de preuve. Les effets produits par la reconnaissance de dette doivent également être analysés à travers le prisme de sa particularité, justifiant encore d'apporter des adaptations aux principes existants. L'originalité de la reconnaissance de dette - entre preuve et acte juridique - permet ainsi une lecture renouvelée des règles du droit civil. Si ces règles sont inévitablement vouées à évoluer avec la société qu'elles régissent, il est possible d'espérer que les principes tirés de cette analyse de la reconnaissance de dette permettront de résoudre les nouvelles difficultés qui se poseront à l'avenir.

04/2024

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Littérature française

La reconnaissance

Nos vies que nous pensons originales ne le sont pas plus que les romans que nous lisons pour nous divertir, que les films que nous regardons. Toutes les histoires sont déjà écrites et toutes les vies sont déjà vécues. Un soir, un joueur qui pense avoir tout perdu se retrouve avec une femme qui lui propose un pacte étrange : la suivre partout où elle ira, durant un an. Au départ de ce motif, Emmanuel Régniez construit un livre fou : sur le masque et le double, la mémoire et l'oubli. Il nous embarque dans un voyage autour du monde, mais un voyage dont le but serait moins de découvrir de nouvelles choses que d'en redécouvrir d'anciennes. Fascinant, brillant, ce livre s'inscrit dans la droite ligne de ceux que l'auteur publie depuis plusieurs années au Tripode. Pour nous qui le lisons, les effets sont les mêmes : notre tête tourne, notre respiration s'accélère. On cherche avec le narrateur la raison de ce pacte, ce que cette mystérieuse inconnue semble attendre de lui. On avance avec l'impression de reculer, et recule en avançant, pris dans cette saisissante réflexion sur la nature du temps. Prodigieux.

03/2023

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