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Actes de la recherche en sciences sociales N° 231-232, mars 2020 : Affinités électorales

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Dossiers

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Dossier

Le Manque : chansons et plus si affinités

Le groupe Le Manque se compose de deux vaillants troubadours – ou trouvères, en regard de leur position géographique. Christophe Esnault dans le rôle principal et Lionel Fondeville derrière la caméra, arrosent internet de leurs vidéos, depuis Charte. Avec humour option 40e degré, voir gratte-ciel ou prosaïsme déconcertant.

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Dossier

La collection de livres audio chez Actes Sud

AUDIOLIVRE – La lecture à haute voix, par les auteurs ou par les comédiens, fait depuis longtemps partie de la culture d’Actes Sud. Au-delà du livre imprimé, il s’agit de continuer à servir les textes, de les faire découvrir sous une autre forme, celle de l’oralité.

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Dossier

Etats généraux du livre : les auteurs à la recherche d'un meilleur avenir

Le 22 mai se tiendront les États généraux du livre. Parce que les auteurs ont cruellement besoin d’être entendus. Des réformes sociales pointent le bout de leur nez, et, au pays de l’exception culturelle, les artistes auteurs ne sont ici que quantité négligeable.

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Dossier

Terres de Paroles 23 : plus qu'un festival littéraire

Depuis la Seine-Maritime jusqu'auc confins de la région de Normandie, le festival Terres de Paroles s'étend et investit une multitude de lieux : qu'il s'agissent de grandes villes, de petits villages, de sites patrimoniaux ou même d'endroits comme des écoles ou des bibliothèques. L'édition de 2023 ne faillit pas à la règle.

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Dossier

En 2023, la 50e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême célèbre sa 50e édition en 2023. Un événement pour la manifestation annuelle, qui en profite pour mettre les bouchées doubles et célébrer la bande dessinée de tous les horizons, du 26 au 29 janvier 2023.

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Dossier

Les prix littéraires de la rentrée 2020

L'épidémie du coronavirus ne sera pas venue à bout d'une tradition bien française, celle des prix littéraires de la rentrée : les centaines de romans publiés en quelques semaines, entre août et octobre, se retrouveront dans les sélections des jurys des différentes récompenses.

Extraits

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Sciences politiques

Actes de la recherche en sciences sociales N° 231-232, mars 2020 : Affinités électorales

Que se passe-t-il quand la recherche s'arrête ? Ou plutôt que se passerait-il si la recherche, et sa publication dans les revues, s'arrêtaient ? C'est cette hypothèse que plus de 100 revues ont voulu poser sur la table en se déclarant en grève et/ou en lutte, contre la réforme des retraites et contre la loi de programmation pluriannuelle de la recherche. Depuis le 8 janvier 2020, Actes de la recherche en sciences sociales, en grève, a suspendu son processus de production habituel, notamment l'évaluation des articles et la préparation puis la publication des numéros en cours. Cet arrêt a permis de rejoindre des mouvements interprofessionnels, de participer aux actions dans nos universités et laboratoires, et de contribuer activement à la mobilisation des revues et aux réflexions qui en ont émergé. A la place, nous proposons aux lectrices et aux lecteurs un numéro inhabituel, inédit même. Par sa forme et par son contenu, il donne à voir ce qu'entraînerait la poursuite du démantèlement, toujours plus brutal, du système public de recherche, et en son sein de l'infrastructure qui permet aux comités et aux secrétariats de rédaction de se réunir, de discuter, de travailler, et aux autrices et auteurs de diffuser leurs recherches. Nous proposons à tout le monde de s'approprier ce numéro, et de se joindre aux réflexions, aux actions, et aux rencontres que suscite cette mobilisation jamais vue des revues scientifiques.

06/2020

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Sociologie

Actes de la recherche en sciences sociales N° 236-237, mars 2021 : Santé critique (1)

Depuis une dizaine d'années, la montée en puissance du thème des "inégalités sociales et territoriales de santé" est repérable à la fois dans l'action publique et dans la recherche en sciences sociales. Paradoxalement, alors même que l'on observe un "retour des classes sociales" dans les sciences éponymes, les inégalités de santé et les pratiques discriminatoires sont rarement réfléchies en termes de rapports de domination entre classes sociales, et a fortiori dans leur articulation avec d'autres rapports de domination (de sexe, de race, d'âge notamment). Si l'épidémie de Covid-19 a pu être analysée comme une "épidémie de classe" et, plus timidement, comme un révélateur des inégalités raciales, les questions de santé restent rarement lues sous cet angle, y compris lors des crises sanitaires majeures des dernières années. Ce numéroentend analyser les logiques de (re)production des inégalités et de cumul des discriminations en matière de santé à l'aune de ces rapports de pouvoir. Il s'agit aussi, ce faisant, de contribuer à l'étude des processus de différenciation des filières de soins et de protection sociale. A travers des enquêtes portant sur des terrains et objets aussi divers que les urgences hospitalières, la reconnaissance des maladies professionnelles, les néonaticides, la valeur sociale des malades et l'occultation de leur douleur, la critique du pouvoir médical ou, à l'inverse, la médecine des riches, les articles constituant ce numéro visent à appréhender les pratiques et politiques de santé en mobilisant sociologie des rapports sociaux, sociologie du travail et sociologie de l'action publique. De plus, par des entretiens avec des sociologues de différentes générations, ayant en commun de faire de la notion de santé publique et de ses reconfigurations dans le champ médical un objet de recherche, ce dossier met en débat les tendances à l'annexion des sciences sociales de la santé par l'épidémiologie, la recherche interventionnelle ou encore la santé publique. A l'heure où l'épidémie de Covid-19 voit se multiplier, dans des proportions comparables à ce qu'avait produit l'épidémie de sida, les recherches incluant les sciences sociales à titre de supplément d'âme de la recherche biomédicale, ce dossier renverse la perspective et fait de la santé un objet de sociologie critique.

04/2021

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Sociologie

Actes de la recherche en sciences sociales N° 201-202, Mars 2014 : Raisons d'Etat

Ce numéro réunit quelques grands spécialistes contemporains de l'Etat, historiens, sociologues, anthropologues ou politistes, pour montrer comment les travaux socio-historiques sur la genèse des Etats modernes et les analyses en termes de champs renouvellent les questions traditionnellement posées au sujet de l'Etat, tout en permettant des échanges entre des approches disciplinaires qui habituellement s'ignorent. Le numéro montrera comment de mêmes schèmes d'analyse aident à réviser l'analyse de l'action publique, les visions trop simples des " modernisateurs " français de l'après-guerre et du " tournant néo-libéral ", ou encore la vision dominante de l'Etat dans l'historiographie chinoise. Le problème de l'autonomie de l'Etat (et de certaines de ses fractions, comme la Police) sera également posée, tandis qu'Abram de Swaan traitera du défi que constitue, pour nombre d'approches socio-historiques, la pratique par des Etats modernes des génocides et des crimes de masse.

04/2014

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Sociologie

Actes de la recherche en sciences sociales, n 238 . varia

Ce numéro présentera quatre articles sur des thématiques variées (la demande de mémoire rapportée à l'immigration, la fabrication d'une catégorie de littérature dite " beur ", la mixité sociale dans un écoquartier parisien, les styles de vie universitaires), auxquels s'ajoutera un hommage de la revue à Jean-Claude Chamboredon, décédé le 30 mars 2020. Morane Chavanon étudie la fabrique locale de la " demande de mémoire " rapportée à l'immigration. A partir du cas de Saint-Etienne, elle analyse les logiques à l'oeuvre derrière la construction de cette demande et montre comment la convocation du passé s'est imposée comme ressource privilégiée du tour symbolique pris par les formes de gestion et de politisation de la question immigrée. Kaoutar Harchi, elle, s'intéresse à la fabrique lettrée de l'identification sociale, à partir de l'étude du cas de la littérature dite " beur " sur la période 1980-1993. L'article analyse les pratiques professionnelles, symboliques et matérielles à l'origine de cette forme d'assignation sociale. Il met en évidence la prégnance, au fondement de ladite classification littéraire, de rapports de classe articulés à des catégories fondées sur l'origine, susceptibles de perpétuer des modes de pensée essentialistes. Marie Piganiol a enquêté sur la fabrique concrète d'un écoquartier parisien constitué de logements onéreux entourés d'habitat social. En focalisant la politique de mixité sur le logement social, les élus abandonnent le peuplement des logements privés aux promoteurs, qui privilégient des logements haut de gamme et conduisent les urbanistes et les architectes à ajuster le quartier à une population bourgeoise peu familière de la mixité. Louis Gabrysiak s'intéresse, à partir d'une enquête quantitative et qualitative, aux styles de vie des universitaires. Les transformations récentes de l'institution (croissance démographique, poids des différentes disciplines) interrogent l'homogénéité du groupe des universitaires sous l'angle de leurs origines sociales comme de leur rapport à la culture, et éclaire quelques-unes des tensions qui traversent aujourd'hui l'université, quant au type de culture qu'elle doit légitimer et transmettre.

07/2021

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Sociologie

Actes de la recherche en sciences sociales N° 235, décembre 2020 : Résistances populaires

La tendance à décrire le pouvoir comme une forme de machination ou du moins une entreprise concertée est ancienne. Elle est confortée aujourd'hui par la mobilisation de technologies de contrôle, de persuasion et de répression toujours plus performantes et perfectionnées, ainsi que par des transformations internes de la classe dominante, comme son homogénéisation sociale et son internationalisation. La possibilité de résistances populaires subsiste pourtant. Ces résistances semblent même avoir fait un retour en force avec, parmi de nombreux exemples ces dernières années, les printemps arabes, les combats contre les installations et les multinationales polluantes ou encore les ZAD et autres mobilisations des néo-ruraux qui développent à l'échelle mondiale un nouvel " art de ne pas être gouverné ". C'est à ces nouvelles formes d'actions et d'organisations politiques que ce numéro d'Actes de la recherche en sciences sociales est consacré, en puisant des outils analytiques chez Pierre Bourdieu, James Scott ou E. P. Thompson et en explorant une série d'études de cas : la politique et l'art automobile du tuning, les machinistes de l'Opéra de Paris, des déléguées syndicales, la réception que réservent des élèves de milieux populaires à des actions de prévention menées en milieu scolaire, etc. Au travers de ces contributions, il s'agit d'interroger les ressources sur lesquelles reposent ces résistances, leurs modes d'actions et d'organisation, mais aussi d'étudier leurs confrontations à la domination et aux dominants et, ce faisant, de contribuer à éclairer l'action profane directe et subversive dans la situation contemporaine.

01/2021

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Sociologie

Actes de la recherche en sciences sociales N° 211-212, Mars 2016 : Révolutions et crises politiques

Depuis la fin de l'année 2010, les bouleversements politiques et sociaux dans le monde arabe sont au centre de toutes les attentions et notamment de l'attention académique. Les chercheurs en sciences sociales n'entendent pas se laisser dicter leurs objets par l'actualité mais refusent dans le même temps de démissionner devant les faits ou de s'emmurer dans leur tour d'ivoire, feignant d'ignorer la gravité du monde qui les entoure et l'urgence d'une pensée construite et contrôlée. C'est à cet exercice délicat que se sont livrés les auteurs de ce dossier, sans cesse pris dans une forme d'injonction paradoxale : prendre de la distance avec l'événement historique et saisir son épaisseur sociale dans toute sa matérialité, réfuter les explications causales macrosociologiques et prendre au sérieux les revendications et les répertoires d'action des protestataires, résister au diktat de l'instant et de l'accélération de l'histoire et réinscrire les pratiques et les discours dans leur terreau sociologique et historique. L'objectif n'est pas de proposer une nouvelle interprétation des événements qui ont bouleversé la région mais bien plutôt de comprendre, au moyen d'enquêtes de terrain de longue haleine, comment ceux-ci ont bousculé les structures sociales et politiques des pays concernés et de quelles façons cette histoire courte est à réintégrer au sein des mutations sociales plus larges qu'ont connues ces sociétés. Fondés sur un travail empirique inédit, les six articles étudient ainsi les conséquences du déclassement des chômeurs diplômés tunisiens sur leurs dispositions à se mobiliser (Pierre Blavier), la recomposition du capital social des insurgés dans le cas syrien (Gilles Dorronsoro et al), l'impossibilité du soulèvement dans le cas algérien (Layla Baamara), le rôle de groupes professionnels comme les avocats dans la révolution tunisienne (Eric Gobe), les voies de la reconversion politique des Frères musulmans égyptiens entre 2005 et 2012 (Marie Vannetzel) et les modalités du passage d'une situation révolutionnaire à un résultat révolutionnaire dans le contexte tunisien (Choukri Hmed).

04/2016

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