Qu'ils soient entrés ou tombés dans le domaine public, qu'importe : désormais les textes de Guillaume Apollinaire appartiennent à tous, quand bien même on en récitait déjà les vers sans même s'en rendre compte. Il est aujourd'hui possible de partager, diffuser et proposer à qui le veut, depuis le 30 septembre, l'ensemble de son oeuvre. De l'eau a coulé sous le pont Mirabeau, même Brassens le reconnaissait, mais en matière de droit d'auteur, « les jours s'en vont je demeure ».