Dernièrement, l'éditeur HarperCollins s'était retrouvé un peu bête : la firme employée pour surveiller la diffusion de livres numériques illégalement avait pointé et réclamé le retrait de plusieurs liens... qui renvoyaient vers la boutique d'Apple, l'iBookstore. Des ouvrages d'Agatha Christie, dont l'éditeur avait la charge, étaient désignés comme d'officielles versions pirates. Mais des sociétés, comme Attributor, se font un devoir de scrupuleusement examiner le net, à la recherche de fichiers contrefaits, au risque de se prendre les pieds dans un tapis souvent piétinés : celui du domaine public. Petit traité de copyfraud...