Qui en veut aux catholiques ?. Incendies. Profanations. Ces faits qu'on ne veut pas voir

Qui en veut Encore ? Amazon poursuit ses publications

Histoires presséesBernard Friot,éditions Milan Jeunesse

Au cours d'un entretien diffusé en podcast, l'auteur Paul Dini a révélé le grand fléau des comics, et ce n'est pas un super-vilain... Plutôt une vilaine pratique en vigueur dans le milieu : les auteurs se voient gentiment suggérer par les éditeurs de limiter la présence des femmes dans leurs oeuvres, et particulièrement comme personnage principal. Pourquoi ? Les femmes ne dépenseraient pas...

Et si l’on répondait à un petit questionnaire sur ses goûts en matière de lecture et pour chaque mois recevoir reçoit des livres dans une box, recommandés par un vrai libraire, qui s’est réellement penché sur les réponses ? L’idée est née en 2015 pour les romans adultes, cette fois l’équipe de La Kube s’intéresse à la littérature jeunesse et veut proposer sensiblement le même service aux enfants et à leurs parents…  

Peut-on rire de tout ? Ô cette célèbre question posée par Pierre Desproges devant Jean-Marie Le Pen, la réponse allait de soi : « Oui, on peut, on doit rire de tout. » Mais peut-on faire rire tout le monde ? Eh... C'est dur...

Poète maudit du XVe siècle, François Villon a été l'inspirateur de grands poètes romantiques et d'une biographie par

James Patterson est devenu professeur d’écriture voilà quelque temps déjà, mais, désormais, il partage plus que sa profession. Il invite désormais les auteurs à prendre part à ses ouvrages. Mieux, à les coécrire : qui est partant pour gagner des millions de dollars en signant un ouvrage avec James P. ?

Le Kindle 3 : une publicité qui vaut... ce qu'elle vaut...

En Australie, la presse ne veut pas du Kindle

Le chanteur amateur de singes, Bruno Mars, vient d'annoncer qu'il traînait son éditeur en justice, rapporte l'agence Reuters. Sa demande est simple : qu'on le libère de ses obligations contractuelles.

La réalité heurte souvent de plein fouet un écrivain en herbe, qui aura mis en page son manuscrit, achevé sa relecture, fait un petit mot d'accompagnement gentil et relié son manuscrit. Une fois envoyé, et reçu par les maisons sollicitées, c'est une bonne vieille lettre de refus qui est expédiée. 

Laura Gallego García ne veut pas que ses trilogies soient adaptées au cinéma

450 questions, à travers cinq catégories, et voici un jeu qui fait passer plusieurs heures de franche rigolade. Pourquoi ? Qui veut gagner des neurones n’a pas vraiment vocation à faire rire. Simplement, cette boîte contient véritablement des perles qui vont clouer les joueurs à leur chaise. Eh oui : on peut très bien vivre sans la moindre forme de culture...

Le torchon brûle entre Jonas Jonasson, et son éditeur britannique, Hesperus Press. Le conflit découle de ce que les ventes du livre Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire ont été mirobolantes, mais que l'auteur n'aurait perçu qu'une petite part de droits. Moralité, les avocats sont de sortie.

Ce qui n'avait été dans un premier temps qu'une inquiétude passagère devient maintenant une folie furieuse : d'abord, l'Inde se demandait ce qu'elle allait pouvoir offrir comme livres à Obama, à l'occasion de sa visite. Ensuite, elle a trouvé. Les siens.

Après avoir adapté en bandes dessinées les quatre ouvrages du cycle des Souvenirs d’enfance, les éditions Grand Angle poursuivent leur entreprise : en tout, 15 bandes dessinées sont déjà sorties dans la collection. C'est à présent avec la pièce Marius que la maison poursuit son travail autour de l'oeuvre de l’écrivain provençal. À l’occasion de la sortie du second volume de la série, nous nous sommes entretenus avec Nicolas Pagnol, petit-fils de Marcel, et garant des ayants droit de l’œuvre familiale. 

Lui-même libraire indépendant, l'écrivain américain Jaime Clarke a lancé un site Internet dédié à ses publications. Et, pour son dernier roman, Veron Downs, cet auteur qui a fondé une librairie à Boston demande à ses lecteurs de ne pas passer par Amazon pour réaliser leur achat, rapporte le Los Angeles Times.

Elle plongera peut-être (ou pas) pour plagiat au niveau mondial, mais il n'empêche que JK Rowling reste la célébrité la plus adulée et dont l'autographe est encore le plus prisé sur notre petite planète, loi devant des stars comme Mohammed Ali ou Michael Jackson.

Paul Fraser Collectibles, le plus célèbre site de collectionneur, référençant tout ce qui peut de près ou de loin se mettre sous verre vient en effet d'établir que la signature de JK est plus valorisée que celle de Madonna, les Beatles ou encore Salvador Dali.

Tout exemplaire de sa signature aurait augmenté de 395 £ à 1200 £, au cours des 10 dernières années, soit une hausse de 203,8 %, rien que cela. Pour convertir rapidement, cela donne un passage de 467,3 € à 1419,6 €. Voilà. Deux loyers d'un joli studio sur Paris, en somme.

Devenues administrativement essentielles, les librairies ont l'autorisation d’accueillir du public. Or, si l’on vient avant tout y chercher des livres, nombre d’établissements ont opté pour la vente de jouets — produits dont les marges sont plus intéressantes. Avec le troisième confinement, les commerces de jouets sont de nouveau fermés. Qu’en est-il de ce qui apparaîtrait comme une concurrence opérée par les librairies ? 

Plutôt Coca ou Champagne ? Qu'importe, on veut des bulles !

Mitterand pas doué en politique, ne veut pas de secrétaire d'État

Nul n’aurait imaginé que le parrainage d’une manifestation, qui plus est consacrée à la poésie, susciterait la déferlante et l'ire que l’on observe. Sylvain Tesson, parrain du Printemps des poètes 2024, cette annonce a déclenché une première tribune ralliant 1200 signataires, mécontents de ce choix. L’effet boule de net n’a pas tardé : désormais, les pétitions affluent, brandissant la liberté d’expression… 

Dix-huit organisations professionnelles ont décidé d’en appeler à la ministre des Affaires sociales, mais également aux ministres des Affaires sociales et de la Culture. Marisol Touraine et Fleur Pellerin sont une fois de plus sollicitées dans le cadre de la réforme de la retraite complémentaire. Votée le 24 septembre dernier par les conseils d’administration du RAAP et de l’IRCEC, cette dernière est bien loin de faire l’unanimité, tout particulièrement chez les créateurs. (plus d’informations)

Le chroniqueur dont le regard semble toujours teigneux et l'attitude plutôt agressive - bien complété à ce poste par son acolyte Naulleau - vient bien de recevoir une juste récompense pour ses grandes oeuvres télévisuelles. Mais pas que.

Ni dénégation ni approbation, mais un refus de la fatalité.

L'Esprit Saint de la Pentecôte frappe à tort et à travers : Stephen King, qui fut l'un des chantres du livre numérique, démontre que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis. Lui qui se fit présentateur du Kindle pour Amazon, qui proposa ses ouvrages en version numérique avec bonheur, et s'est lancé dans différentes expérimentations, finalement, aimerait bien que ses fans aillent acheter ses livres en librairie.

Chez Disney, on doit se manger les doigts – et le responsable de la sécurité informatique a certainement été jeté dans la Caverne aux merveilles d’Aladin... Des pirates informatiques qui dérobent un film inédit, voici qui n’est pas banal. Prévisible, mais soit. Qu’ils réclament une rançon, menaçant de diffuser l’œuvre, voilà qui ne manque pas de piquant.

Les Britanniques aiment-ils mentir sur leurs lectures ? Une enquête menée voilà sept ans affirmait déjà qu’ils affirmaient volontiers avoir lu 1984... sans l’avoir jamais ouvert. Arrivaient ensuite Guerre et Paix, puis l’Ulysse de James Joyce... Reste que 61 % des répondants reconnaissaient avoir menti effrontément en ayant parlé d’un livre... jamais lu.

ROMAN ADO – Si le HLM de Renaud était blème à en mériter une chanson, la Cité de Lili-Belle vaudrait bien un poème. Depuis toujours, celle qui est devenue une adolescente, rase les murs et parle peu aux autres jeunes du quartier. Plutôt farouche, comme jeune femme. Mais quand des types en costume discutent devant l’une des barres d’immeuble, le cœur s’emballe…

On en parlait la semaine dernière : le dernier ouvrage de Marine Le Pen a fait un gros bide auprès des éditeurs. Elle n’a effectivement pas réussi jusqu’à présent à faire éditer son dernier essai de réflexion portant sur la pratique du pouvoir. Nous avons contacté les éditions Jacques Grancher, qui avaient déjà travaillé avec Marine Le Pen pour l’édition de ses deux précédents ouvrages À contre flots (2011) et Pour que vive la France (2012), pour savoir pourquoi ils ne poursuivaient pas leur collaboration.