Melissa Jayne Madara

En cette trentième semaine de l’année (24-30 juillet), les jours se suivent et les achats se ressemblent. Le duo de tête Virginie Grimaldi et Fred Vargas demeure (respectivement 14.482 et 11.307 exemplaires), mais la 3e place revient à Maud Ventura. Mon Mari (10.906 ventes) dépasse Colleen Hoover (10.672 pour Jamais plus, trad. Pauline Vidal).

Et soudainement, tout fut chamboulé : Melissa da Costa, après cinq semaines dans le classement des 200 meilleures ventes, finit par prendre la première place. 13.268 exemplaires vendus des Femmes du bout du monde, finaliste du Prix Maison de la Presse 2023. Une réjouissante nouvelle pour l'éditeur Livre de Poche, et qui ne s’arrête pas là…

Et une année de plus pour le prix des lecteurs qu’organise Le Livre de poche : une récompense où 130 lecteurs en littérature, 130 autres en polar et 50 pour les documents et essais se disputent le plaisir… de lire. Cette récompense s’accompagne également du Choix des libraires, porté en deux catégories, Littérature et polar. 

Celle qui en 2023 atteignait la première place du palmarès du Figaro des auteurs français ayant vendu le plus de livres, Melissa Da Costa, revient le 14 août prochain avec son huitième roman, Tenir Debout, édité chez Albin Michel. Un premier extrait : « Nous ne sommes pas le genre de couple à nous embrasser dans un troquet. Nous sommes de ceux qui s’abîment la peau, qui se causent des tourments. Depuis le premier soir. »

70 ans après sa création, le livre de poche ne finit pas de séduire. C'est d'ailleurs sous ce format que Les douleurs fantômes (18.975 ex. vendus) de la romancière entre dans le classement des meilleures ventes de la semaine. Et à la première place, s'il vous plaît.

Chaque année depuis 7 ans, l'UNICEF France et Le Livre de Poche s'unissent pour collecter des fonds en faveur de l'éducation des enfants à travers le monde. En 2023, la romancière Mélissa Da Costa contribue avec un texte inédit, disponible à partir du 7 juin.

Il aura fallu trois semaines à Mélissa Da Costa pour récupérer son trône du classement des meilleures ventes de la semaine. Un succès qu'elle doit aux 14.990 exemplaires vendus du format poche de son roman Les douleurs fantômes.

La polémique autour de la suggestive posture de Spider Woman, dessinée par Manara, a fait jaser la toile durant des semaines. Sexisme, machisme, et on en passe, et on en oublie. Mais un petit malin, Oz Mills, s'est intéressé à la position, d'un point de vue strictement anatomique. Et le résultat est foudroyant. Voire effrayant.

Tout commence ou plutôt finit ainsi : une voiture broyée, sur la route US 90 reliant Biloxi à la Nouvelle-Orléans, une nuit d'été 1967. Une collision entre une Buick Electra 225 bleu métallisé et un semi-remorque. Dans un brouillard de pesticides causé par la présence fatale d'un fogging truck sur la route, la sensation que les projecteurs se sont éteints pour toujours pour l'une des victimes du crash. Jayne Mansfield est morte à trente-quatre ans.

Le 8 avril prochain sortira dans les salles Pourquoi j'ai pas mangé mon père, la dernière production de Jamel Debbouze. Cette adaptation d'un roman de Roy Lewis publié en 1960 permet au comédien de donner à sa femme, Mélissa Theuriau, un premier rôle au ciména, celui de Lucy, l'un des personnages principaux.

L'auteur italien fera, après sa mort, l'objet d'un culte, dans lequel on retrouvera les adorateurs de la BD noir et blanc, des adorateurs de l'érotisme parfois le plus cru, et d'autres, peut-être simples curieux, séduits par l'audace du style, et l'impudique forme des courbes. Milo Manara, indissociablement lié à l'érotisme dans le monde de la bande dessinée, est né en septembre 1945, à Luson, et à compter du 20 juin, et jusqu'au 6 septembre, une grande rétrospective est organisée à la galerie Huberty Breyne.

Alors que sa version de Spider Woman avait fait jaser la toile ces dernières semaines, pour une position d'escalade jugée trop suggestive, et même totalement irréaliste, deux variantes de couvertures signées Milo Manara viennent d'être déprogrammées par Marvel Comics. L'artiste italien, célèbre pour la sexualisation de ses protagonistes féminins, et ses albums BD érotiques, ferait-il les frais de la controverse ?

« Sans oublier toutes les personnes qui sont toujours présentes pour nous. » Avec quelques mots simples, le maître de la bande dessinée italien, Milo Manara a rendu une série d’hommages aux professions toujours actives. Celles qui seraient volontiers restées chez elles, mais pour faire tourner la société, même a minima, ont prolongé le travail.

En France, une exposition présente un ensemble d'œuvres du dessinateur italien Milo Manara. Cet événement offre une occasion de découvrir ses créations les plus récentes, au sein de la galerie Huberty & Breyne, qui représente l'ensemble de son travail depuis 2012, couvrant la bande dessinée, la peinture, le dessin et l'illustration. Rendez-vous du 22 septembre au 21 octobre 2023 au 36, avenue Matignon (75008).

À l'occasion de la Journée mondiale de l'éducation, une cérémonie spéciale marque la collaboration entre l'UNICEF France et Le Livre de Poche. Cette année, ils célèbrent le don de 400 000 €, contribution qui résulte de l'engagement de l'écrivaine Mélissa Da Costa. Depuis juin dernier, pour chaque exemplaire acheté du livre La Faiseuse d'étoiles, 2 € sont reversés à l'organisme.

Milo Manara dessine Celentano pour une série animée

Les Histoires Sans Fin : Bonjour Janne. En France, on vous connaît un peu pour deux romans, dont « Rien » qui est sorti à la rentrée aux Editions Panama. Puis-je me permettre de vous demander de vous présenter ?

Quand on sait qu'il suffit du contour d'un téton pour choquer l'Amérique puritaine, il apparait maladroit de confier l'illustration de la couverture d'un comic à Milo Manara, dessinateur réputé et célébré pour les courbes de ses femmes parfaites, souvent avares en vêtements. Exposant la femme araignée dans une position décrite comme « ouvertement sexuelle », la variante de couverture de l'italien s'est attirée les foudres de nombreux sites.

Pour l'inauguration d'un nouvel espace d'exposition de 150 m2 dédié aux arts de la bande dessinée, au 36 avenue Matignon dans le 8e arrondissement de Paris, la galerie Huberty & Breyne réunit deux géants du 9e art. Milo Manara (né en 1945) et Hugo Pratt (1927-1995), artistes amis, voient leurs œuvres exposées côte à côte dans un événement inédit.

Ça ne pouvait pas rater : mettez Spider Woman dans une position suggestive, et signez le dessin par Milo Manara : voilà qu'on vous taxe de sexisme. On a pourtant tout excusé, ou presque, au dessinateur italien, et il est fantasque de voir qu'une petite excentricité supplémentaire — modeste, qui plus est — mette le feu à la toile internautique. Mais quand on s'appelle Marvel, mieux vaut prévoir la chute...

Du 30 novembre 2018 au 5 janvier 2019, Milo Manara confiera quelques-uns de ses travaux inédits à la Galerie Huberty & Breyne de Bruxelles. Dessins noir et blanc, grandes aquarelles, illustrations érotiques et sensuelles, c'est tout l'art du maitre italien qu'on pourra découvrir au sein de la galerie.

La galerie Huberty & Breyne accueille à Bruxelles du 4 juin au 28 août prochain les dernières créations de Milo Manara. Pour cette exposition, le dessinateur invite le visiteur à découvrir l’itinéraire d’un auteur confiné, mais engagé. Milo Manara nous livre, entre autres, des dessins réalisés au cours des périodes de confinement de cette dernière année. À travers nombre de ses dessins, il rend hommage aux secteurs les plus impactés par la crise : la santé, les commerces de proximité, les agents d’entretien, pour ne citer qu’eux.

X-Women de Manara et Claremont sortie US en juillet

Max Payne, l'antihéros des années 2000 revient à la mi-mai dans un troisième opus. D'ici là, le personnage fait l'objet d'une adaptation en comics numérique estampillée Marvel.  

Ce 6 mai, les lauréats du Prix Pulitzer 2024 ont été révélés, parmi lesquels celui de la fiction, remporté par l'écrivaine Jayne Anne Phillips, dont plusieurs titres ont été édités en France. L'ouvrage lauréat ne l'a pas encore été en revanche, Night Watch, paru le 19 septembre dernier chez Knopf. D'autres prix ont été remis dans le domaine littéraire, de la biographie à la poésie.

Rencontrer Milo Manara, c’est écouter une légende de la bande dessinée. Ses femmes au corps parfait, son interprétation de Caravage, son sens sacré de l’érotisme : l’auteur italien a certainement offert au XXe siècle les plus belles planches qui soient en la matière. Mais comme un rêve d’adolescent, voici qu’avec l’aquarelle, le Maestro a donné vie à une Brigitte Bardot mythique. Quand deux légendes se croisent, une épopée s’écrit. Entretien. 

Lors d’une vente aux enchères, le maître italien de la BD érotique a vendu 25 aquarelles pour très exactement 592.702 €, comme l’indiquent les organisateurs. Les pièces sont inspirées par Brigitte Bardot au sommet de la gloire. Le dessinateur lui voue un culte absolu. 

Cette nouvelle bande dessinée se tient assez loin des œuvres que publie traditionnellement le dessinateur italien. La vie du Caravage avait pourtant tout du scénario idéal pour Manara. Quoi de plus normal que le second consacre un diptyque au premier ? Voyage dans l'Italie de 1592, lorsque Le Caravage arrive à Rome, entre grandeur et décadence.

Alexs Stadermann adapte avec 100 % loup le livre de l'auteure australienne Jayne Lyons, intitulé 100 % Wolf en version originale et pas encore disponible en français. Publié en 2009, le livre pour la jeunesse avait rencontré un petit succès public en Australie.