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Maintenant la finitude. Peut-on penser l'absolu ?

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Dossier

Nuit de la lecture 2023 : 12 livres jeunesse pour se faire peur

Du 19 au 22 janvier, les Nuits de la lecture joueront avec des récits parfois très inquiétants. Organisé par le Centre national du livre, cet événement s’accompagne d’une bibliographie illustrant la thématique de l’édition 2023, La Peur. Et pour débuter, voici douze ouvrages de littérature jeunesse.

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Dossier

Le Livre à Metz 2022 : journalisme et littérature, “même pas peur” ?

Et si on osait le dire : Même pas peur ! Après cette période de crise sanitaire qui a favorisé angoisses et repli sur soi, une envie anime tout organisateur de manifestation : revenir à des temps joyeux, audacieux, s’ouvrir à nouveau aux autres, au monde. Rendez-vous du 8 au 10 avril 2022 !

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Dossier

La guerre de Vladimir Poutine contre l'Ukraine ou la Russie impériale

En fond historique, la place Maïdan, d’où était partie la révolution de 2014 qui avait conduit au soulèvement contre le gouvernement. Mais depuis le 24 février, la Russie de Vladimir Poutine a décidé d’une invasion du territoire ukrainien. Une force militaire en marche qui soulève l’indignation internationale et provoque des réactions de soutien partout dans le monde. Les organisations littéraires avec des mots pour armes grossissent les rangs de cette opposition.

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Dossier

En série ou en film, les adaptations de livres crèvent l'écran

Le Parrain, Les Dents de la merRaisons et sentiments, Le Seigneur des Anneaux, la saga Harry Potter, Le Nom de la Rose, Orange mécaniqueVol au-dessus d'un nid de coucou, Le GuépardLettre d'une inconnue... Tous ces films ont un point commun, celui d'être des adaptations de romans ou de sagas littéraires...

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Dossier

Dans l'univers d'Harry Potter, la fantastique aventure de JK Rowling

Depuis maintenant une vingtaine d’années, les histoires du petit sorcier et de ses copains magiciens ont provoqué un véritable miracle. Traduite en plus de 80 langues, la saga Harry Potter est un monde en soi, dont les ramifications s’étendent au-delà de l’imaginable.

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Dossier

La journée de l'inventivité en bibliothèque de Nouvelle-Aquitaine

Le 14 septembre sera une journée dédiée à l’inventivité des bibliothèques en Région Nouvelle Aquitaine. Après le succès des deux premières éditions, l’agence régionale Écla organise le jeudi 14 septembre 2017, la troisième Journée régionale de l’inventivité en bibliothèque.

Extraits

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Philosophie

Maintenant la finitude. Peut-on penser l'absolu ?

Depuis plusieurs années, les "nouveaux réalismes" sont au coeur d'un vif débat philosophique. Ce livre y prend part en faisant la critique de l'une de leurs principales variétés, le " matérialisme spéculatif " de Quentin Meillassoux (auteur, en 2006, de Après la finitude). Il s'oppose à cette doctrine sur trois points. Loin d'être un "étrange savoir" de philosophes ignorant les sciences, l'idée que les connaissances sont relatives au langage, à l'action et à la situation — voire à ce que l'on vit à présent — est la clé pour comprendre les théories physiques. Loin de valoir "indépendamment des chercheurs", les faits "ancestraux" dont aucun être humain n'a pu être le témoin (comme le Big Bang) n'acquièrent leur sens que relativement à la recherche actuelle de leurs traces. Loin d'être pensable, l'absolu demeure dans l'angle mort du savoir rationnel. L'absolu n'a d'ailleurs pas besoin d'être pensé pour être envisagé ; il se manifeste comme un saisissement silencieux, comme le choc de percevoir à l'instant la souveraine contingence de ce qu'il y a. En voulant réfuter le constat kantien de la finitude humaine, le matérialisme spéculatif débouche ainsi, contre son gré, sur une finitude plus extrême encore : celle de l'expérience présente singulière. Par sa critique épistémologique, Michel Bitbol rétablit la réflexion philosophique contemporaine sur des bases sûres. Il montre que nulle spéculation, métaphysique ou post-métaphysique, ne peut prétendre à la connaissance. Et il confie l'absolu à l'ouverture contemplative.

02/2019

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Sociologie

La finitude peut-elle être positive ?. Approches steiniennes de la finitude

Dimension fondamentale de l'existence incarnée, la finitude évoque au premier abord l'expérience négative des limitations qui cernent l'être humain. Mais en quel sens l'expérience de la finitude est-elle porteuse d'une signification positive ? Les contributions ici réunies, dans leur diversité et leur complémentarité, abordent cette question à la lumière de la pensée d'Edith Stein. La compréhension steinienne de la finitude humaine est inséparable d'une lecture critique de la philosophie de l'existence de Heidegger, dans la mesure où Edith Stein a cherché à penser le désaccord qui l'opposait à l'analytique de l'être-pour-la-mort. Tout en désignant la personne humaine comme un être essentiellement limité et temporellement mortel, la finitude, telle qu'Edith Stein la conçoit, est positivement liée à la liberté entendue comme la capacité pour un individu de répondre à ce qui le précède et l'appelle : les valeurs, autrui, et ultimement le Tout-Autre. Profondément incarnée, la signification steinienne de la finitude est également liée à l'expérience de la blessure, solidaire d'une réflexion sur la vulnérabilité et la relation à l'altérité dont les implications s'avèrent d'une étonnante modernité. Conformément à la dynamique d'une ascension vers le sens de l'être qui sous-tend le rapport entre être fini et être éternel, Edith Stein va jusqu'à envisager la finitude humaine dans la perspective de " la relation de l'âme avec Dieu " . Ce volume offre enfin une étude comparative sur Edith Stein et Franz Rosenzweig. Avec les contributions de : Sophie Binggeli, Soeur Jean-Edith Ginot, Emmanuel Cattin, -Bénédicte Bouillot, Bérengère Guérin, Eric de Rus, Félix Resch.

10/2022

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Philosophie

Peut-on penser la politique ?

Penser la politique, c'est d'abord réfuter le politique : le dénoncer comme illusion (imaginaire) du " faire un ", des identifications (le parti, le syndicat, la société sans classe), du fait cernable, de la prévision assurée. La politique naît, elle, de l'événement, par où 1'on entend ici le surgissement des dominés rompant l'ordre du politique et l'unité de celui-ci : un surgissement toujours précaire, dont la mise en œuvre suppose un pari et un calcul chaque fois risqués : en bref, il y a la politique quand - et seulement si - une dé-liaison de la réalité propose un point de réel. Alain Badiou part de la décomposition du marxisme où il voit l'effet de ce que Marx, tout en montrant l'irruption du réel dans la réalité du politique, a continué de penser dans le politique. Et il avance un essai de recomposition centré sur l'interprétation de ce qui fait événement, dès lors que les dominés ont prononcé, au défaut de l'ordre, leur existence, et qu'il est possible de parier sur cette prononciation.

05/2008

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Littérature française

Penser comme on veut

Ce livre n'est pas un traité de philosophie. L'auteur y pense comme il veut sur le fait de penser comme on veut : "Le plaisir de penser me semble provenir d'urne impression de liberté intérieure, encore plus que de l'espoir d'établir des vérités. Les idées valent par elles-mêmes quand on en a le goût. Toutes n'appellent pas l'approbation ou le rejet... Quand elle n'est pas sollicitée par une question pressante, la pensée a la gratuité d'une activité esthétique, et c'est sans doute ce qu'elle est, indépendamment de sa qualité intrinsèque. Un peu comme le plaisir de marcher, de courir, de siffler de chanter ; comme tout dégourdissement physique ou mental motivé par l'amusement d'exister". Georges Picard défend l'idée que la vitalité de la pensée vaut autant que les conclusions auxquelles elle aboutit. Renouant avec l'esprit dilettante symbolisé par le Neveu de Rameau '"Mes pensées, ce sont mes catins"), il penche pour une conception désillusionnée mais dynamique de la pensée. "Les théoriciens qui ont la prétention de nous faire croire à la nécessité des idées qu'ils défendent, alors qu'elles sont au plus judicieuses ou originales, que leur pertinence est celle dune logique singulière donc arbitraire, jouent avec notre crédulité de lecteurs assoiffés de belles histoires... La jouissance de penser ne suppose pas une fidélité éternelle à ses opinions : l'essentiel, c'est le cheminement qui maintient l'esprit dans une fraîcheur toujours prête à se laisser surprendre par la nouveauté".

01/2014

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Littérature française

Finitude

Depuis l'adolescence, Patrick Denono entretient une relation particulière avec les mots. Le déclic littéraire survient à la suite du décès de son professeur de lettres de sixième. Le monde tel que nous le connaissons trop peu pour lui. De cette réalité souvent cruelle qui vous enlève des ares chers, 1 tentera de s'en éloigner par l'écriture. Nouvelles, conte, poésies, saynètes sont une manière à lui de se jouer de cette cruauté et d'aller aa1saat de la ligne. Dans cet ouvrage il nous propose une déclinaison poétique de ce qui n'est plus ou tend disparaître...

09/2018

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Esotérisme

Contacts cosmiques. Jusqu'où peut-on penser trop loin ?

Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche au CNRS, développe depuis 1975 des éléments d'une science "venue d'ailleurs", d'une fécondité et d'une qualité extraordinaires, dispensés par des inconnus qui prétendent être des extraterrestres vivant parmi nous ! Plaisanterie ? Ce serait le cas si les travaux de Jean-Pierre Petit, fondés sur ces informations révolutionnaires, n'avaient été validés par de multiples publications scientifiques au plus haut niveau, avec comités de lecture. Extraordinaire : ces informations "venues d'ailleurs", extrêmement précises, ont permis la mise au point d'un nouveau modèle cosmologique : Janus, qui étend celui initié par Albert Einstein et coïncide avec toutes les observations astronomiques disponibles ! Retombée de ce modèle : entre deux points distants, il existe deux chemins. Une nef, inversant sa masse, peut ainsi cheminer sur une distance cent fois plus courte dans un cadre où la vitesse de la lumière est dix fois plus grande. D'où une réduction du temps de voyage d'un facteur mille ! Les voyages interstellaires deviennent ainsi envisageables, selon des techniques qui pourraient être à notre portée dans un délai se chiffrant en quelques vies humaines. Pourquoi des extraterrestres donneraient-ils un tel coup de pouce à notre science en crise ? Pour qu'enfin les Terriens réalisent qu'ils ne sont pas le centre du cosmos... ni surtout les seuls êtres "intelligents" de l'Univers... Notre Terre vit-elle sous le contrôle d'intelligences venues d'ailleurs ? Grâce à ce livre, vous comprendrez que les preuves scientifiques ne trompent pas. Oui, des extraterrestres sont bien parmi nous !

10/2018

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