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Les gens de Bilbao naissent où ils veulent. premier roman

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Le Prix Stanislas du premier roman

Créé en 2016 par Le Livre sur la Place et Groupama, le Prix Stanislas du premier roman récompense le talent d’un auteur d’un premier roman publié à la rentrée de septembre. Dix ouvrages de la rentrée littéraire sont sélectionnés au cours de l'été, le nom du lauréat est connu à la fin de celui-ci, avant que la récompense ne soit remise au cours du Livre sur la Place.

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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Un festival de lectures plurielles, à travers les univers de premiers romans

Premier événement littéraire collaboratif de France, le Festival du premier roman de Chambéry est l’occasion unique de découvrir la littérature contemporaine en français, italien, espagnol, allemand, roumain et anglais. Débats, rencontres, cafés littéraires, ateliers, spectacles, expositions... Voyagez à travers les univers des auteurs invités. 

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10 autrices racontent leur première fois...

Muse, recherches acharnées ou nonchalance virtuose, l’inspiration reste le grand secret de la création. Mais dans quelles circonstances le premier pas vers l’écriture s’est-il opéré ? Comment ont-elles su qu’elles entamaient leur premier véritable livre, celui qui serait mené à terme ? 

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Le Prix du roman Fnac

Créé en 2002 par la chaine de magasins spécialisés dans la culture Fnac, le Prix du roman Fnac fait partie des premiers prix de la rentrée littéraire. Pendant l’été, 400 adhérents et autant de libraires Fnac s’immergent dans les centaines de romans de la rentrée littéraire, qu’ils apprécient en toute indépendance, contribuant ainsi à une première sélection de 30 ouvrages.

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Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Littérature française

Les gens de Bilbao naissent où ils veulent. premier roman

#SelectionPrixPorteDoree23 – L'histoire commence en Espagne, par deux naissances et deux abandons. En juin 1943, une prostituée obèse de Bilbao donne vie à un garçon qu'elle confie aux jésuites. Un peu plus tard, en Galice, une femme accouche d'une fille et la laisse aux soeurs d'un couvent. Elle revient la chercher dix ans après. L'enfant est belle comme le diable, jamais elle ne l'aimera.

Le garçon, c'est Julian. La fille, Victoria. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice. Dans la première partie du roman, celle-ci déroule en parallèle l'enfance de ses parents et la sienne. Dans un montage serré champ contre champ, elle fait défiler les scènes et les années : Victoria et ses dix frères et soeurs, l'équipe de foot du malheur ; Julian fuyant l'orphelinat pour s'embarquer en mer.

Puis leur rencontre, leur amour et leur départ vers la France. La galicienne y sera femme de ménage, le fils de pute, gardien du théâtre de la Michodière. Maria grandit là, parmi les acteurs, les décors, les armes à feu de son père, basque et révolutionnaire, buveur souvent violent, les silences de sa mère et les moqueries de ses amies. Mais la fille d'immigrés coude son destin.

Elle devient réalisatrice, tombe amoureuse, fonde un foyer, s'extirpe de ses origines. Jusqu'à ce que le sort l'y ramène brutalement. A vingt-sept ans, une tarologue prétend qu'elle ne serait pas la fille de ses parents. Pour trouver la vérité, il lui faudra retourner à Bilbao, la ville où elle est née. C'est la seconde partie du livre, où se révèle le versant secret de la vie des protagonistes au fil de l'enquête de la narratrice.

Stupéfiant de talent, d'énergie et de force, Les gens de Bilbao naissent où ils veulent nous happe dès le premier mot. Avec sa plume enlevée, toujours tendue, pleine d'images et d'esprit, Maria Larrea reconstitue le puzzle de sa mémoire familiale et nous emporte dans le récit de sa vie, plus romanesque que la fiction.

Une histoire d'orphelins, de mensonges et de filiation trompeuse. De corrida, d'amour et de quête de soi. Et la naissance d'une écrivaine.

 

#PrixFrontieres23 - Roman sélectionné pour le Prix Frontières - Léonora Miano 2023 

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Littérature française

Les gens de Bilbao naissent où ils veulent

L'histoire commence en Espagne, par deux naissances et deux abandons. En juin 1943, une prostituée obèse de Bilbao donne vie à un garçon qu'elle confie aux jésuites. Un peu plus tard, en Galice, une femme accouche d'une fille et la laisse aux soeurs d'un couvent. Elle revient la chercher dix ans après. L'enfant est belle comme le diable, jamais elle ne l'aimera. Le garçon, c'est Julian. La fille, Victoria. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice. Dans la première partie du roman, celle-ci déroule en parallèle l'enfance de ses parents et la sienne. Dans un montage serré champ contre champ, elle fait défiler les scènes et les années : Victoria et ses dix frères et soeurs, l'équipe de foot du malheur ; Julian fuyant l'orphelinat pour s'embarquer en mer. Puis leur rencontre, leur amour et leur départ vers la France. La galicienne y sera femme de ménage, le fils de pute, gardien du théâtre de la Michodière. Maria grandit là, parmi les acteurs, les décors, les armes à feu de son père, basque et révolutionnaire, buveur souvent violent, les silences de sa mère et les moqueries de ses amies. Mais la fille d'immigrés coude son destin. Elle devient réalisatrice, tombe amoureuse, fonde un foyer, s'extirpe de ses origines. Jusqu'à ce que le sort l'y ramène brutalement. A vingt-sept ans, une tarologue prétend qu'elle ne serait pas la fille de ses parents. Pour trouver la vérité, il lui faudra retourner à Bilbao, la ville où elle est née. C'est la seconde partie du livre, où se révèle le versant secret de la vie des protagonistes au fil de l'enquête de la narratrice. Stupéfiant de talent, d'énergie et de force, Les gens de Bilbao naissent où ils veulent nous happe dès le premier mot. Avec sa plume enlevée, toujours tendue, pleine d'images et d'esprit, Maria Larrea reconstitue le puzzle de sa mémoire familiale et nous emporte dans le récit de sa vie, plus romanesque que la fiction. Une histoire d'orphelins, de mensonges et de filiation trompeuse. De corrida, d'amour et de quête de soi. Et la naissance d'une écrivaine.

08/2022

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Littérature française

La grande intrigue. Tome 4, Les romans vont où ils veulent

On entre dans La Grande Intrigue par une porte ou par une autre, et ce quatrième volume peut donc être abordé par des lecteurs qui ne connaissent pas les précédents. Dans cette suite romanesque qui revisite la société française à travers trois ou quatre générations, la chronologie est brisée, la mémoire et le présent se télescopent. le romancier évoque ainsi les traces laissées par la guerre de 1914-18 dans les familles Maudon, Herdoin et Rubien, aussi bien qu'une partouze parisienne où il suit Nicolas Rubien et sa compagne et cousine Louise Herdoin, remontant ainsi à la Genèse et au mythe judéo-chrétien de la Chute. Les décalages générationnels créent des rapprochements inattendus : on verra le jeune Grégory Rubien initier son grand-père, François, le vétérinaire retraité de Villefleurs, aux secrets de l'émission Cool Quartier, concept mixte entre Loft Story et Plus belle la vie que s'est plu à inventer l'auteur... On croisera un homme d'affaires chinois, n°1 mondial des sites de rencontres sur Internet, et inventeur d'une nouvelle langue universelle, Unilog ; on découvrira les méditations inquiètes du curé de Vernery-sur-Arre qui voit s'effondrer le catholicisme... Niais d'un chapitre à l'autre, un subtil jeu d'échos montre bien que l'on parle du même monde, d'un monde où les héritages du passé continuent de peser sur les vivants, et dont les évolutions, flirtant parfois avec l'absurde, suscitent autant d'interrogations. Et l'on rencontrera des êtres qui nous ressemblent, et dont les bonheurs ou les alarmes sont les nôtres.

06/2010

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Littérature étrangère

Bilbao-New York-Bilbao

Il se dégage de ce roman, structuré autour d'un vol entre Bilbao et New York, une poésie qui puise à la fois dans l'Atlantique Nord, avec ses marins et ses légendes, et dans l'histoire millénaire d'une des cultures les plus riches et singulières d'Europe : celle du Pays Basque. Kirmen Uribe dessine un pont entre ses deux mondes à travers les lettres, les journaux intimes, les courriers électroniques, les entretiens et même les fragments de dictionnaire avec lesquels il reconstitue ici la destinée de trois générations de sa famille. Au cours de ce voyage vers le passé, certains tableaux révèlent ce qu'ils avaient dissimulé, des récits montrent la bravoure de ceux qu'une époque bâillonnait et un secret soigneusement préservé vient nous rappeler que, même au XXème siècle, la générosité du coeur a su parfois ignorer les conflits d'idées. Petit kaléidoscope magique, dans ce journal de bord en forme de puzzle, les temps, les hommes et les traditions se répondent : sans jamais céder à la nostalgie, Kirmen Uribe rend un hommage soutenu à l'épopée des pêcheurs basques et à un métier qui disparaît peu à peu ; mais il salue également le monde vers lequel nous allons et nous montre qu'au début de ce nouveau siècle, la culture la plus locale peut devenir globale car le particulier réside désormais au cour de l'universel. Ce roman dont la petite musique nous invite incessamment à poursuivre la lecture en est une preuve formidable. Au-delà des frontières, il s'élève comme un hymne à la continuité de la vie qui nous impressionne par sa nouveauté, sa profondeur et sa beauté.

04/2012

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Littérature française

Où naissent les héroïnes

Comment faire quand on est d'une timidité maladive, qu'on a vingt kilos en trop, des ennuis au boulot et un mari en fin de droits ? Découvrez une romance aussi drôle que tendre à l'intrigue haletante.

03/2022

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Littérature Italienne

Où naissent les mères

Mère depuis quelques heures, une femme observe son nouveau-né depuis son lit à la maternité. Comment porter sa fille, si fragile, sans la casser ? Comment vivre avec cette nouvelle charge ? Donner naissance n'est pas le point d'arrivée mais le début d'un apprentissage. Les journées s'organisent au rythme de l'enfant et des soins prodigués à ce petit être encore méconnu. Entre la fatigue, les nouvelles difficultés et l'amour inconditionnel qui la lie à sa fille, la mère peine à trouver son équilibre. Elle n'a pas un instant pour jouer du piano tandis que le quotidien du père, violoniste en tournée, n'a pas changé. La nature semble être sa seule compagne dans cette recherche de soi. Après sa venue au monde en tant que mère, elle renaît en tant que femme. Virginia Helbling refuse tous les lieux communs sur la maternité pour porter un roman vif, sincère, lumineux et singulier, sur la charge mentale.

03/2023

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