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Le manteau ; Le protocole. Contes vénitiens

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Dossier

Les Contes des coeurs perdus

Les Contes des cœurs perdus est une collection enchanteresse créée par le scénariste Loïc Clément, dans un univers mélangeant réalité et fantastique.

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Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et onirique...

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Contes d'hier et d'aujourd'hui : une littérature aux multiples imaginaires

Si les contes ancestraux nous ramènent à des éléments mythologiques et des histoires découlant de créatures autant que d’aventures fantastiques, ils conservent, à l’âge moderne, toute leur saveur. Simplement, dragons, bottes de sept lieux et loups dévoreurs d’enfants ont laissé place à des environnements plus contemporains. Mais toujours avec la perspective de raconter des histoires et de parler du monde, des rencontres que l’on y fait : offrir une formation, par les livres.

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Les Imaginales 2023 : Le futur de la cité

Depuis sa création en 2002, le festival des Imaginales a su s'imposer comme l'un des rendez-vous majeurs des Littératures de l'imaginaire. Des milliers de passionnés se rassembleront à Épinal, du 25 au 28 mai prochain, pour découvrir les derniers ouvrages de science-fiction, fantasy, horreur... 

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Dossier

Stan Lee, la géniale incarnation de la maison Marvel

Né en 1922, Stanley Martin Lieber, alias Stan Lee, avait en tête, dès son plus jeune âge, l'écriture d'un « grand roman américain » : sa carrière en tant qu'auteur et éditeur lui aura permis de participer à la construction d'un véritable empire du divertissement, Marvel Comics.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

Extraits

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Contes et nouvelles

Le manteau ; Le protocole. Contes vénitiens

Venise est la cité du burlesque et du sequin. Et souvent, la Commedia dell'arte tourne en pantalonnade, déboires amoureux et transactions financières sur fond de carnaval. Pour respecter la théâtralité et les artifices des comportements, ces deux contes sont essentiellement destinés à la scène. La première comédie s'inspire d'une histoire qui fut peut-être vraie, ce dont témoigne La tête de la vieille femme, sur la place nommée Corte del Teatro, non loin du campo San Luca. La seconde est une fiction qui s'appuie sur les poncifs de la déclaration d'amour ; un barbon immensément riche se met en peine de séduire une jeune femme qui joue les ingénues en lui imposant un protocole. Chacun de ces deux contes a des impératifs du théâtre, avec peu de personnages, une mise en scène facile, épurée, voire suggérée. Toutefois, le seul lieu possible est Venise ; donc bouffonnerie et âpreté au gain.

05/2022

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Littérature française (poches)

Le manteau de Fortuny. Suivi de "Manteaux et tombeaux"

" Les travaux de la fée, que j'ai toujours vue baguée d'un dé à coudre : faire passer le manteau de la mémoire à travers le chas d'une aiguille. Depuis des semaines et des mois je tournais et retournais, dans mon esprit obnubilé par la lecture de Proust, ces quelques mots volés je ne sa. où, puis tombés dans la poussière de la prose, quand le nom de Fortuny lu par hasard dans un dépliant sur Venise me rappela le fantôme d'Albertine le manteau de la fugitive, et le voyage sans cesse remis du narrateur dans la Recherche du temps perdu. Deux fois déjà j'étais allé à Venise, mais sans rien voir ou presque, et sa autre souvenir que ceux qu'on trouve partout dans les livres. Et dans Recherche elle-même le séjour du narrateur était curieusement resté lettre morte. Cette fois, par un effet de mimétisme auquel n'échappent guère les lecteurs de Proust (ils n'échappent pas davantage à l'hypnose et à a soumission), j'étais sûr que le nom de Fortuny serait un sésame, et que le fils génial de Venise u m'aiderait à m'orienter dans le dédale de la vil et les souvenirs de lecture. J'ai donc suivi ce fil arraché au manteau d'Albertine, qui se retrouve aussi dans le vêtement de Peau-d'Ane, le costume d'Esther et les voiles de Shéhérazade... G. M

10/2014

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Livres 3 ans et +

Le manteau

Lison rêve du jour où elle pourra porter le manteau rouge de sa soeur aînée : un vrai manteau de grande ! Et quand ce jour tant attendu arrive, en plein hiver, Lison fanfaronne : il est beau, il est chaud, il est parfait ! Le lendemain matin, en partant pour l'école, Lison croise une petite fille qui mendie avec sa mère, grelottant dans le froid glaçant de janvier... Lison hésite : comment aider cette petite fille qui a le même âge qu'elle ? Et si elle lui donnait son manteau pour lui tenir au moins un peu plus chaud ?

01/2020

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Littérature française

Le protocole

Ce court récit d'une rare maîtrise nous parle d'une expérience immémoriale : l'accouchement. Le déroulé de l'événement est ici violent. Certitudes, préjugés, négligences et dogmes du corps médical s'y conjuguent et s'enchaînent, pour faire du corps des femmes un corps médicalisé sur lequel elles n'ont plus ni maîtrise, ni savoir. Dessaisie de son intimité, la femme n'y est plus femme, pas encore mère, et surtout privée de donner son avis sur ce qu'elle vit ou éprouve. Se tisse ainsi la chronique d'une dépossession, exercée bien sûr avec les meilleures intentions du monde : au nom de l'amour que toutes et tous, autour de la parturiente, vouent à bébé. Traversé bout en bout par une tension qui n'épargnera pas le lecteur, porté par une écriture ciselée et dénuée de complaisance, marqué par un humour noir qui s'offre en contrepoint salvateur à l'absurdité des idéologies, Le Protocole est une oeuvre littéraire, un témoignage décapant, un texte politique.

11/2021

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Littérature française

Le manteau de la vierge

Le récit d'un exil empreint de nostalgie, prix Méditerranée 2007. " Emile Brami sait faire revivre son pays, ses parfums, sa chaleur... Il fallait un roman pour dire ce peuple ; et il fallait, pour l'écrire, la nostalgie sans aigreur d'Emile Brami. " (Le Monde) Le récit d'un exil " J'aurais voulu raconter ton histoire dans notre dialecte, le judéo-tunisien, ce baragouin sans grammaire où se mêlent l'arabe, l'hébreu, l'espagnol, l'italien et le grec. Mais il sombrera avec nous car, au contraire du yiddish, il ne donna jamais un livre imprimé. Alors je me suis résolue à broyer les mots de mon enfance jusqu'à les réduire en poudre pour fabriquer du français, comme les peintres du Quattrocento pilaient le lapis-lazuli, préparant ainsi le coûteux bleu céleste dont, par tradition, ils coloriaient le manteau de la Vierge. " Une langue disparaît, un peuple aussi. Une femme écrit le roman de sa mère, incarnation malgré elle d'une communauté chassée de sa terre jusque sur les pentes de Belleville. Des juifs de Tunisie, que reste-t-il ? Quelques souvenirs déformés par le prisme du folklore méditerranéen et de malentendus historiques, quand il aurait fallu comprendre la mélancolie et le sentiment de déshérence qui les hante. Dans ce livre de l'exil, d'une nostalgie universelle, Emile Brami les réhabilite - les sauve peut-être. " Ce roman est celui d'une femme, enfermée depuis des années dans la surdité, qui, à la mort de sa mère, écrit l'histoire de celle-ci... Emile Brami sait faire revivre son pays, ses parfums, sa chaleur... Il fallait un roman pour dire ce peuple ; et il fallait, pour l'écrire, la nostalgie sans aigreur d'Emile Brami. " (Josyane Savigneau, Le Monde) Prix Méditerranée 2007 Prix Méditérannée 2007

09/2023

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Littérature française

Le manteau de Fortuny

""Les travaux de la fée, que j'ai toujours vue baguée d'un dé à coudre : faire passer le manteau de la mémoire à travers le chas d'une aiguille". Depuis des semaines et des mois je tournais et retournais, dans mon esprit obnubilé par la lecture de Proust, ces quelques mots volés je ne sais où, puis tombés dans la poussière de la prose, quand le nom de Fortuny lu par hasard dans un dépliant sur Venise me rappela le fantôme d'Albertine, le manteau de la fugitive, et le voyage sans cesse remis du narrateur dans la Recherche du temps perdu.
Deux fois déjà j'étais allé à Venise, mais sans rien voir ou presque, et sans autre souvenir que ceux qu'on trouve partout dans les livres. Et dans la Recherche elle-même le séjour du narrateur était curieusement resté lettre morte. Cette fois, par un effet de mimétisme auquel n'échappent guère les lecteurs de Proust (ils n'échappent pas davantage à l'hypnose et à la soumission), j'étais sûr que le nom de Fortuny serait un sésame, et que le "fils génial de Venise" m'aiderait à m'orienter dans le dédale de la ville et les souvenirs de lecture.
J'ai donc suivi ce fil arraché au manteau d'Albertine, qui se retrouve aussi dans le vêtement de Peau d'Ane, le costume d'Esther et les voiles de Shéhérazade.

03/1987

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