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La ville des vivants

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La ville des vivants

L'assassinat barbare de Luca Varani, 23 ans, dans un appartement de Rome en mars 2016 fit la une des journaux et bouleversa d'autant plus l'opinion publique qu'il ne semblait y avoir aucune explication, aucune justification à ce meurtre perpétré par deux jeunes gens de bonne famille. En reconstruisant minutieusement les faits et les jours qui les ont précédés, Nicola Lagioia ne part pas seulement à la recherche du point de rupture à partir duquel le pire peut arriver. Il écrit une autre histoire de Rome et de ses habitants, il sonde la part d'humanité mais aussi la part de nuit qui habitent chacun des protagonistes. Rome, aussi malfaisante que splendide, révèle à mesure que l'on chemine dans ses rues les secrets de vies dites "sans histoires" , les ambitions cachées ou les désirs de rédemption, reflets d'un monde souterrain scintillant parfois à la surface de l'eau. Et que nous le voulions ou non, ce monde est le nôtre. Nicola Lagioia y plonge le lecteur et l'implique au même titre que les acteurs de cet événement tragique. Il remonte ainsi à la source de ce qui nous fascine tant dans le fait divers : l'illusion rassurante que les monstres seraient faits d'un autre bois.

08/2022

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Thrillers

La ville des vivants

L'assassinat barbare de Luca Varani, 23 ans, dans un appartement de Rome en mars 2016 fit la une des journaux et bouleversa l'opinion publique italienne. D'autant qu'il ne semblait y avoir aucune explication à ce meurtre perpétré par deux jeunes gens de bonne famille. En reconstruisant minutieusement les faits et les jours qui les ont précédés, Nicola Lagioia écrit une autre histoire de Rome, aussi malfaisante que splendide, et de ses habitants. Il sonde la part d'humanité mais aussi la part de ténèbres qui résident dans chacun des protagonistes. Révélant les secrets de vies " sans histoires ", il remonte ainsi à la source de ce qui nous fascine tant dans le fait divers : l'illusion rassurante que les monstres seraient faits d'un autre bois que la plupart d'entre nous.

09/2024

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La ville, matière vivante

Matière vivante, la ville en mouvement ne doit se laisser enfermer ni par les carcans juridiques, réglementaires ou financiers ni par les pensées dominantes d'une époque contemporaine exposée à moult turbulences. Accompagner plutôt qu'imposer l'évolution d'un lieu, s'inspirer de la vitalité de ses habitants et aborder l'architecture par l'observation minutieuse des usages jusqu'à l'échelle de la métropole : autant de constantes pour l'AUC, équipe lauréate du Grand Prix de l'urbanisme 2021. Ceux qui, pour avoir été la plus jeune équipe de la consultation du Grand Paris, pourraient passer pour les "enfants terribles" de l'urbanisme, ont choisi un nom révélateur : Ab urbe condita ("Depuis la fondation de la ville"). Une formule qui claque comme un étendard et affiche l'ambition que partagent François Decoster, Djamel Klouche et Caroline Poulin de s'emparer de la question urbaine de manière exigeante, précise et libre de tout dogme ou héritage pesant. Une locution valant aussi programme, leur action se déploie des projets d'architecture aux projets urbains, voire métropolitains, qu'ils mettent en parole et en dessin d'une façon souvent peu orthodoxe. Cet ouvrage retrace également les parcours des personnalités nominées. L'économiste Laurent Davezies qui, avec son livre au titre provocateur L'Etat a toujours soutenu ses territoires, a stimulé la sphère de l'urbanisme en 2021. Mais aussi le duo TVK (Pierre Alain Trévelo et Antoine Viger-Kohler), dont le talent de jongler avec les infrastructures de la modernité a trouvé un aboutissement dans "La Terre est une architecture" : une installation exposée à la Biennale de Venise 2021, qui explore les modalités d'établissement de médiations fertiles entre sociétés humaines et monde naturel. Cette année encore, le Grand Prix souligne combien, en s'enrichissant constamment d'une diversité d'approches, l'urbanisme contribue à l'invention et à la réalisation d'un futur vivable, et, mieux encore, désirable !

01/2022

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Historique

Des Vivants

Eté 1940 : la France est occupée. Certains pourtant refusent la fatalité : à Paris, au coeur du musée de l'Homme, quelques ethnologues se réunissent, bientôt rejoints par des gens de tous horizons - avocats, religieuses ou garagistes. Autour de Boris Vildé, d'Anatole Lewitsky, d'Yvonne Oddon, ces visionnaires posent les bases de la lutte qui mènera à la Libération : évasions de prisonniers, passages vers l'Angleterre ou la zone libre, et publication d'un journal clandestin, Résistance. Mais ces insoumis de la première heure seront bientôt trahis, dénoncés à la Gestapo et, pour beaucoup d'entre eux, exécutés. Avec Des Vivants, Raphaël Meltz et Louise Moaty proposent un scénario d'une grande richesse et d'une profonde intégrité : aucun dialogue n'a été inventé, les paroles prononcées par les personnages sont les leurs. Au terme d'une vaste plongée dans d'innombrables documents d'époque - mémoires, lettres, témoignages, entretiens, journaux... - ils composent ce récit en s'effaçant derrière la sincérité et la force de ces voix disparues. Simon Roussin, grâce à une mise en scène subtile et un dessin d'une grande maîtrise, redonne vie à ces fragments d'Histoire, déployant avec justesse tout leur souffle romanesque. Ensemble, ils composent une fresque puissante, rigoureuse et émouvante. Surgi très tôt, trop vite détruit, le réseau du musée de l'Homme est peu à peu sorti de la mémoire collective. Cet album hors normes, à la fois enquête historique, roman de guerre et épopée grandiose, rend ainsi hommage à des hommes et des femmes emportés un jour par cette injonction formidable : résister. Une folle audace autant qu'une évidence ; l'unique moyen, au-delà de tout, de rester vivants.

10/2021

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Littérature française

Rue des vivants

La rue des Vivants serpente dans un quartier pauvre de la grande ville, à quelques encablures du port qui emploie - mais les temps sont durs - des dockers rudes au mal et souvent ravagés par l'alcool. La petite Sabine évolue dans ce monde où le mot misère est trop précieux pour être utilisé et où il s'agit chaque jour de se débrouiller pour manger et s'habiller. Quand sa mère ne l'envoie pas à la recherche du père ivre dans un bistro ou réclamer du crédit à des marchands sans scrupules, elle s'évade et s'invente des histoires au bord du fleuve impassible, rêvant une vie qu'illuminent quelques rares éclats de lumière au milieu du gris des usines. Lorsque Suzanne Martin, qui a grandi dans cet univers, entre débrouille et humiliations, devenant artiste peintre loin des siens, a proposé ce premier livre à Gallimard, c'est l'optimisme rayonnant de cette enfance pauvre sublimée par une langue inventive qui a suscité l'enthousiasme des éditeurs. Roman cruel et fort, il est parvenu, plusieurs décennies après, à garder intacte sa beauté inquiète. Sabine revient enfin hanter, plus vivante que jamais, la rue de son enfance courageuse.

09/2024

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Vivants

R est un zombie. Il n'a pas de nom, pas de souvenirs, pas de pouls. Mais il rêve. Dans les ruines d'une ville dévastée, R rencontre Julie. Elle est vivante, palpitante. C'est un jaillissement de couleurs dans un camaïeu de gris. Et sans vraiment savoir pourquoi, R choisit de ne pas la tuer. C'est le début d'une étrange relation, à la fois tendre et dangereuse. Ce n'était jamais arrivé. R bafoue les règles des Vivants et des Morts. Il veut respirer de nouveau, il veut vivre, et Julie va l'aider. Mais leur monde ne se laissera pas transformer sans combattre.

06/2020

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