Recherche

La paix par le pardon. Son itinéraire

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

ActuaLitté

Dossier

9e édition du prix "Envoyé par La Poste"

Imaginé et créé par la Fondation La Poste en 2015, le prix Envoyé par La Poste récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, à un éditeur qui décèle un talent d’écriture et qui décide de le publier. 

ActuaLitté

Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

ActuaLitté

Dossier

Désavoué par l'éditeur Albin Michel : le cas Éric Zemmour

Coup de tonnerre fin mai, la maison de la rue Huygens divorçait de son auteur star, le polémiste bien connu de CNews, et potentiellement candidat aux présidentielles de 2022. Eric Zemmour et Albin Michel, rejouaient la petite mélodie d’Hervé Villard, Capri, c’est fini. Caprice de l’éditeur devant la poule aux œufs d’or, différend politique plus que touchant à la politique éditoriale et finalement grand cas d’école : l’affaire Zemmour va de rebondissements en rebondissements.

Extraits

ActuaLitté

Religion

La paix par le pardon. Son itinéraire

Ecrivain, poète, musicien, conférencier, bâtisseur, éducateur... Mansour Labaky est tout cela et chacune de ces activités remplirait une vie. Mais l'essentiel est ailleurs : il est prêtre. Prêtre à la manière de jésus qui allait partout chez les riches et chez les pauvres, chez les bien-portants et chez les malades, d'un même pas, d'un même amour, d'un même pardon, d'une même vérité. A la manière aussi de Jésus qui, sur la Croix, authentifia sa Parole. Prêcher le pardon, voilà qui est à portée d'homélie ! Le vivre, voilà qui est impossible ! Impossible aux hommes, mais possible à Dieu. C'est là que nous attendons qu'un prêtre soit prêtre... Avec Mansour Labaky, avec Jésus, nous allons rencontrer les riches et les pauvres, les bien-portants et les malades, du moins ceux que nous appelons ainsi à vue humaine. Nous allons mettre nos pas dans ceux d'un disciple qui, aujourd'hui chargé d'honneurs et de reconnaissance, peut plonger sans ciller son regard dans celui de l'enfant qu'il fut et qui gambadait dans les collines de son Liban bien-aimé. Car, lorsque la violence ensanglanta son royaume, l'homme, se souvenant de ce Notre Père commun à tous les chrétiens, le récita jusqu'au bout, jusqu'au pardon. Nous sommes nombreux, à travers le monde, qui attendions ce livre d'humilité et de pardon. D'humilité car nul n'est propriétaire des dons de Dieu - de pardon car nous manquons de témoins.

04/2004

ActuaLitté

Théâtre

Le prix du pardon

Cette pièce de théâtre reflète une société déchirée tant par des conflits armés que par une injustice sociale devenue monnaie courante. L'histoire de Djasnan et de Samira, deux jeunes gens ayant respectivement le statut de " fils de la victime " et de " fille du bourreau ", montre à quel point une volonté aussi ferme que la leur ne leur a pas permis d'empêcher que ladite réalité ne se pérennise. L'histoire concomitante de Sou, un retraité de l'enseignement primaire, et de Roger, un jeune désoeuvré, vient renchérir sur le triste constat du caractère limité de la volonté humaine à pouvoir faire changer le cours de l'histoire des autres. Toutefois, si ce récit ne fait aucunement mention du passé de Roger, le renversement subit de la situation de Sou révèle sa vie de marginal, qui le pousse à assassiner ce dernier. La finalité essentielle de l'oeuvre dramatique étant d'éclairer la condition humaine, Le prix du pardon ne peut avoir de fin autre que d'éclairer la condition de ces hommes, décidément incapables de pardonner, à partir de leur propre histoire.

06/2014

ActuaLitté

Littérature française

Le prix du pardon

1890. Louis Morghana a dix ans quand son père, un flic de New York, le sépare brutalement de sa mère pour s'en fuir vers l'Ouest... Quelques jours plus tard son père est tué dans la bataille de Wounded Knee, il est alors recueilli par un éclaireur, métis de Français et d'Indienne Kiowa. Dans cet univers hostile, Louis apprend à survivre en se déplaçant telle une ombre et à tuer pour sauver sa peau. Du Mexique à Hollywood. où il est engagé comme garde du corps, du Paris des anarchistes où il pose un temps pour Picasso, aux tranchées de 1914, des femmes croisent sa route, sans parvenir à le retenir. L'enfant perdu est désormais devenu un homme capable de rendre le mal pour le mal, un homme hanté par un seul visage, celui de sa mère. Il n'aura de cesse de la retrouver. Le pardon est à ce prix.

04/2006

ActuaLitté

Littérature française

Pardon, pardon mon père

S'agit-il de " Mémoires " ? Sans doute. Mais ces " Mémoires " sont bien drolatiques et peu conformes aux lois du genre. Car Walter Lewino y raconte d'un seul souffle sans aucun point, donc en une seule phrase sa curieuse vie, son sinueux parcours. Et il a tout connu Lewino, des gens célèbres comme Vialatte, de Staël, Braque, Debord, Brancusi, Carmet, Topor, et d'autres qui le mériteraient tout autant : Jean-Marie le génie aux pierres, Augiéras l'apprenti chamane, Kurt l'illuminé helvète, Chonchon le Juste, Hector le marquis rouge, Dorothée qui est née dans une prison à Munich et l'Abbé qui est mort dans celle d'Amiens. De la Royal Air Force pendant la dernière guerre à France Observateur pendant celle d'Algérie, de Londres sous les bombes à Paris sous les pavés, des débuts du tiercé à la folie des tests psychologiques et aux magouilles du cinéma, il raconte, raconte un demi-siècle à vau-l'eau en un récit haletant, bidonnant et irrespectueux. On rit, on s'étonne, on s'attendrit, on partage des indignations et des enthousiasmes. On pense à Perec, bien sûr. Mais un Perec qui aimerait les chats comme Léautaud et les bistrots comme Blondin. Tout cela se déguste et, pour finir, un charme lancinant l'emporte.

04/2001

ActuaLitté

Histoire de la philosophie

Par la révolution, la paix

"J'ai conté, dans Quinze ans de combat , comment la guerre mondiale avait été pour nous, intellectuels (une poignée d'intellectuels) une école obligatoire d'éducation politique. Ecole élémentaire : car nous avions tout à apprendre. Les intellectuels grandissent englués dans une idéologie, qui est plus ou moins riche et nuancée, mais toujours dévidée des entrailles de l'esprit, comme le fil de l'araignée, et, bien moins que lui, capable de s'agripper aux arêtes du réel. Il se peut que cette idéologie ait été, au temps Jadis, la synthèse ou la raison finale, arbitrairement dégagée, d'actes et d'expériences antérieurs ; mais elle n'a plus, depuis longtemps, pris la peine de se contrôler au mouvement incessant de la réalité en marche ; elle continue de désigner, imperturbablement, des formes de la pensée sociale, qui sont contradictoires et souvent négatrices de la pensée première, depuis longtemps trahie, Imperturbablement, elle aide à la trahison, en couvrant de sa robe toute cette confusion. Et l'on ne saurait dire ce qui, dans l'équivoque de cette idéologie inadaptée au réel, procède davantage de la force d'inertie inhérente au poids mort du passé que traîne après lui l'esprit, ou de la ruse à ne pas voir ce qui le contraindrait à un nouvel effort, afin de s'en dégager. Ajoutons tous les risques, qu'entraîne une vue nouvelle de la société. Car voir oblige à agir. Et agir est périlleux, aux âges des grandes mutations . C'est pourquoi notre génération d'intellectuels français a trouvé, parmi nos aînés, si peu d'aide à sortir de l'enchevêtrement des idéologies à double et triple faces. Bien plutôt, ces aînés, ainsi que pendant la guerre les maîtres de l'intelligence, se sont-ils acharnés à nous y emprisonner. Il a fallu faire seuls notre trouée, au travers. Et ce fut une rude tâche. Nous nous y sommes ensanglantés . Nous étions des novices... ".

02/2023

ActuaLitté

Romans graphiques

Alfred Nobel. Le prix de la Paix

Cet ouvrage s'adresse à tous ceux qui s'interrogent sur ce paradoxe : comment un homme, un industriel qui a fait commerce de son invention, la dynamite, a-t-il pu parallèlement créer un prix pour la Paix et lui donner son nom ? Tout le monde connaît les prix Nobel. A la fin de sa vie, après avoir fait fortune, Alfred Nobel a créé un prix décerné chaque année et pour la première fois en 1901 aux personnes les plus méritantes dans cinq disciplines : physique, chimie, littérature, médecine et action pour la paix. Ce roman graphique nous raconte le parcours étrange de cet industriel globe-trotter, inventeur de la dynamite, écartelé entre sa curiosité du monde, sa soif de sciences et ses lectures poétiques ; entre ses inventions dévastatrices et ses désirs de paix ; sa misanthropie et son aisance en public ; son immense fortune et sa vie de nomade ; ses amours déchues et ses rêves d'amour, et l'omniprésence de la mort. N'ayant pas d'héritiers directs, il a souhaité laisser une trace (et peut-être se racheter des souffrances involontaires, des morts civiles et militaires qui jonchent sa route). Une femme, Bertha von Suttner, va orienter ses réflexions et ses actions pour l'humanité, vers l'espoir d'un avenir pacifié. Les convictions d'Alfred Nobel seront confortées, et parfois bousculées, par cette influence féminine. Il en résultera un testament universel et la création des prix Nobel. Des images fortes et des textes parfois décalés engagent le lecteur à la réflexion.

10/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté