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L'Ordre maçonnique le Droit Humain

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Dossier

Prix littéraire Frontières-Léonora Miano 2022 : dignité humaine, acceptation de l’autre

Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Voir, vivre, cohabiter : humains, avant tout chose

Dans un monde en constante évolution, où la technologie prend de plus en plus de place, il est essentiel de se rappeler de l'importance de l'humanité. Voir, vivre et cohabiter sont trois verbes qui définissent notre existence. Mais comment ces actions sont-elles influencées par les livres, outils intemporels de la connaissance?

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Dossier

Représenter, exprimer et comprendre le monde

Qu’il s’agisse de fictions par lesquelles le réel se revisite, d’approches analytiques explorant les détails et aspects de notre société humaine ou encore d’instantanés saisissant la lumière – et faisant jour ! – sur notre monde, nous demeurons pris dans notre environnement. Humains, trop humains, certainement, avec pour prisme premier notre regard sur cette Terre et ce que nous en avons fait, ce que nous en faisons… et ce que nous en ferons. 

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Dossier

La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.

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Dossier

Congrès 2018 de l'ABF : À quoi servent les bibliothèques ?

Le 64e congrès de l'ABF se déroulera à La Rochelle à l'espace Encan, du 7 au 9 juin 2018, sur le thème : À quoi servent les bibliothèques ? 

Extraits

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Que-sais-je ?

L'Ordre maçonnique le Droit Humain

L'obédience maçonnique du Droit Humain a été fondée en 1893 par Maria Deraismes et Georges Martin. Elle accueille dans ses loges des hommes et des femmes et est aujourd'hui présente dans une cinquantaine de pays. Cet ouvrage retrace l'histoire d'un ordre maçonnique mixte dont les membres poursuivent la quête spirituelle et symbolique et s'engagent depuis plus d'un siècle au niveau national et international dans les combats sociaux et politiques pour la laïcité, la tolérance ou encore les droits des femmes et des enfants.

12/2021

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Esotérisme

Le secret maçonnique. Des secrets maçonniques au mystère initiatique

La société civile contemporaine n'apprécie guère le maintien de secrets que la quête dune excessive discrétion rend plus suspects que sympathiques. Aussi importe-t-il que des initiés témoignent en évoquant les sources philosophiques de leur engagement, dans une approche destinée à faire rayonner les idéaux maçonniques en manifestant ce qu'ils sont : une voie d'émancipation individuelle et collective vécue dans un esprit de liberté et de fraternité à vocation universelle. Y a-t-il un secret maçonnique ou n'est-ce que légende propre à susciter la curiosité? S'il existe, quel sens a-t-il aujourd'hui ? Peut-il se communiquer ou est-il définitivement indicible ?

10/2018

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Ouvrages généraux

Hermeneutique maconnique - lectures philosophiques de symboles et de notions maconniques

Face aux mirages et aux impasses de l'accomplissement de soi par la consommation et à l'éclatement de l'être humain, lié à l'emprise de la société mondialisée, les personnes cherchent à organiser leurs expériences personnelles en un récit portant des significations au-delà d'elles-mêmes. Certaines sont même prêtes à rémunérer d'un prix élevé (en argent, en engagement personnel, en obéissance à un maître ou à des normes) la possibilité de trouver de telles significations ; d'où le développement de groupes sectaires, fondamentalistes ou intégristes. La franc-maçonnerie, en initiant ses membres à l'art d'interpréter (herméneutique), soit à l'art majeur consistant à tenir ensemble affectivité et rationalité, constitue, et une digue contre tous les fanatismes, et une spiritualité adaptée à l'époque, car pouvant réunir ceux qui croient au ciel et ceux qui n'y croient pas. La présente étude, qui souhaite faire surgir la dimension philosophique d'une trajectoire maçonnique, entend le montrer.

11/2021

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Esotérisme

Essai d'interprétation de l'ordre symbolique humain

Il est évident que tout être humain dispose, pour communiquer avec ses semblables, du langage verbal que doublent les mimiques, les gestes ou les actes. La pratique des consultations médico-psychiatriques, durant plus de trente années, a cependant permis à l'auteur d'observer que les patients adoptent à leur insu un autre langage que l'on peut qualifier de spatial. Chaque patient, dans l'espace intime du lieu de consultation, se positionne par rapport au médecin selon une détermination bien particulière. Celle-ci équivaut à une force inconsciente qui s'enracine dans la bipolarité sexuelle, dans le codage masculin ou féminin de la nature et du monde humain. Ainsi, lorsqu'un patient se positionne sur le fauteuil de droite face au médecin (donc sur la gauche de celui-ci), il exprime inconsciemment sa vulnérabilité cardio-vasculaire et localise l'origine de ses difficultés existentielles au sein de la féminité en général et de l'ensemble des significations, des formes biologiques, sociales ou naturelles qu'elle recouvre. A l'inverse, lorsqu'un patient se place sur le fauteuil de gauche (sur la droite du médecin), il indique à son insu sa vulnérabilité pulmonaire et localise l'origine de ses souffrances dans l'ensemble symbolique des formes de la masculinité. La science psychanalytique, science au sens d'expérience psychique, conduit à penser que le corps humain, de par sa structuration et ses fonctions, obéit à un binôme inconscient (masculin-féminin). Il est donc possible de concevoir toutes les réalisations humaines - et l'ensemble de la réalité apparente - comme les manifestations d'une architecture symbolique cachée qui ne demande qu'à être révélée. Elle se retrouve évidemment au cur même de l'Ordre maçonnique qui en est une des formes discrètes.

10/2019

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Philosophie du droit

Humain non-humain. Repenser l'intériorité du sujet de droit

Les juristes à l'initiative de cet ouvrage sont parties de l'observation que le statut de sujet de droit était affecté à des entités de plus en plus variées et cela, quelles que soient les cultures juridiques. Alors que le droit moderne avait toujours été anthropocentré, ce statut a été étendu à des entités comme les personnes morales, puis au monde vivant (les animaux), au monde végétal (les arbres), voire minéral (le paysage) et, depuis la nouvelle robotique et l'intelligence artificielle, la question s'est posée aussi de l'étendre à des artefacts (les robots) qui interagissent avec nous dans toutes nos activités. Le débat sur l'octroi de ce statut a d'abord été moral ou éthique : pourquoi traiterions-nous ces entités qui partagent à la fois notre évolution de Sapiens et qui sont entrées de plus en plus dans notre vie et notre environnement, comme des non-sujets, des biens ou pire, des esclaves ? Pour les anthropologues, comme Philippe Descola, il pourrait s'agir d'un nouvel animisme. Faut-il aller jusqu'à assimiler des entités comme les robots à des sujets de droit ? Cet ouvrage est une proposition pour penser les transformations du droit et du discours sur le droit, concernant le non-humain. L'hypothèse générale de recherche est que l'intériorité et la complexité deviennent deux clefs de lecture incontournables aujourd'hui pour penser l'évolution du sujet de droit s'ouvrant au non-humain. L'intériorité apparaîtrait sur la scène du droit comme un point de rencontre décisif entre l'humain et le non-humain. Au-delà de la diversité des formes d'intériorité, de leur possibilité d'existence (à quelles conditions peut-on parler d'intériorité concernant les plantes ou encore les robots ?), et des non-humains ici visés, les diverses disciplines convoquées dans cet ouvrage traitent d'une certaine manière la "question intérieure" et appréhendent les entités non-humaines dans leur spécificité. Prendre comme clé la complexité de ces entités était aussi un choix méthodologique : les systèmes complexes, depuis la cellule jusqu'aux écosystèmes naturels (la forêt), ou humains ou collectifs (les mégapoles) sont le résultat de processus d'évolution et d'adaptation. Les questionnements juridiques posés par l'introduction de ces entités non-humaines dans la sphère du droit amènent enfin à s'interroger sur les métamorphoses de la démocratie, rendant compte d'un certain nombre d'expérimentations sociales et ébauchant les contours d'une alternative politique. L'ouvrage fait appel à des disciplines aussi éloignées que le droit, la biologie, l'intelligence artificielle, l'éthologie cognitive, la botanique, la philosophie ou la psychanalyse.

02/2021

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Droits de l'homme

Le droit de la vie humaine

La double nature du droit de la vie humaine : droit au respect de la vie et droit sur la vie Le big-bang provoqué par la rencontre de la vie humaine et du droit a entraîné la création d'une multitude de prescriptions juridiques ayant la vie humaine pour objet. Malgré leur caractère hétérogène, il est possible de discerner une structure commune à laquelle elles sont rattachées, offrant aux relations entre la vie humaine et le droit une certaine stabilité de même qu'une unité. Le droit de la vie humaine constitue la notion structurante de ces relations. Mobilisé comme nouvelle clé de lecture, le droit de la vie humaine doit permettre d'identifier l'ensemble des dynamiques qui les font osciller. Précisément, le droit de la vie humaine est traversé par des courants contraires. Un premier élan emploie le droit comme instrument au service de l'intensification du respect accordé à la vie. Un second courant libéral tend à solliciter l'exercice d'une maîtrise sur la vie, reflet du mouvement de subjectivisation des droits et libertés fondamentaux dont la valorisation de l'autonomie personnelle constitue le ferment. Le droit de la vie humaine possède donc une double nature, le droit au respect de la vie forgeant sa nature objective, le droit sur la vie dévoilant sa nature subjective. D'emblée, ces deux droits pourraient sembler antagonistes. Vérifier le degré de subjectivisation du droit de la vie humaine permet toutefois de nuancer l'influence de ce phénomène à son égard. Chargé d'instaurer un juste équilibre entre ces deux pôles, l'Etat s'érige en gardien du respect de la vie, le déploiement du régime de maîtrise sur la vie étant contrôlé, voire réfréné. Les rapports de force qui s'affrontent au sein du droit de la vie humaine se révèlent être disproportionnés au profit du droit au respect de la vie. Le dédoublement du droit de la vie humaine permet au droit au respect de la vie et au droit sur la vie de coexister sans provoquer leur neutralisation mutuelle.

04/2023

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