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Il est des morts qu'il faut qu'on tue

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Dossier

La Petite mort : Faux et usage de faux

Pas commode d'avoir pour paternel La Mort en personne. Pour éviter toute confusion, son fils a été baptisé La Petite Mort – encore que le risque de se mélanger les pinceaux ne soit pas totalement écarté. Cette série de bandes dessinées signées David Mourier est proposée par les éditions Delcourt depuis septembre 2013. Neuf tomes et une web série plus tard, ces aventures sont toujours à mourir... de rire.

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Dossier

Quand les mots dansent au son des mélodies

Que serait notre monde sans la musique qui fait vibrer nos âmes et la littérature qui nourrit notre imagination ? Tels deux instruments de l'orchestre de l'expression artistique, résonnent chacun avec leur timbre propre. Dans cette liste d'ouvrages soigneusement sélectionnés, nous plongerons dans une symphonie littéraire où les mots dansent au son des mélodies.

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

Midam et Kid Paddle : l'appel du blork plus fort que tout

Savez-vous capturer un Blork ? Utiliser au mieux un copy 2000 ? Ce que devient l'argent une fois glissé dans le fente d'un bouffe-fric ? Kid Paddle est là pour répondre à toutes ces importantes questions existentielles, à une époque où jeux vidéo, ordinateurs et autres CD-ROM dirigent les loisirs des enfants... et des adultes.

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Dossier

Redécouvrir Colette, à travers les femmes qui l'ont lue

Ce 28 janvier, Colette aurait eu 150 ans. Et depuis quarante années, les éditions des femmes - Antoinette Fouque mettent à l'honneur les écrits de Colette à travers leur collection de livres audio, La Bibliothèque des Voix. L'occasion de retrouver les femmes qui, au fil du temps, ont prêté leur voix pour que vivent les textes de l'autrice.

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Dossier

Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

Extraits

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Romans historiques

Il est des morts qu'il faut qu'on tue

A la fin du XIXe siècle... En ce temps-là, Paris est une guerre civile. En ce temps-là, on invente le terme "racisme", l'expression "socialisme national" et le slogan "La France aux Français". Les scandales fleurissent. Les attentats anarchistes se multiplient. Les nationalistes préparent un coup d'Etat. La République vacille. Bientôt l'affaire Dreyfus cristallisera toutes les passions. Romain Delorme est jeune et audacieux. Son mentor, l'ex-préfet de police Andrieux, un deus ex machina proche de Clemenceau, a fait de lui son agent au coeur du mouvement antisémite. Romain est devenu l'ami du marquis de Morès, redoutable duelliste, de ses gardes du corps, les terribles bouchers de la Villette, de Jules Guérin - dont le journal L'Antijuif et l'épisode du fort Chabrol immortaliseront le nom -, et d'Edouard Drumont, l'auteur de La France juive qui, dans les colonnes de La Libre Parole, exalte la haine des Juifs. Il devra feindre, ruser, prendre des risques inouïs avant d'être mêlé à une affaire insensée autant qu'incroyable, l'assassinat d'Emile Zola, et de découvrir le secret de ses propres origines. De la Commune de Paris à la Libération, un roman noir historique à la documentation impressionnante. Palpitant.

01/2016

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Thrillers

Il faut que tu saches

On a tous quelque chose à cacher... Jill, ses trois fils, leurs épouses et leurs enfants se rendent tous dans la maison de famille pour fêter Noël. Mais sous leurs mines réjouies se cachent des réalités plus sombres. La femme de Peter se sent dépassée depuis la naissance de ses jumelles, et il semblerait que l'alcool lui rende la vie plus douce - mais ne s'aveugle-t-elle pas sur la détresse de sa fille aînée, Callie ? La femme de Tony commence à se demander si elle n'a pas commis une grave erreur en épousant un homme dont elle découvre des facettes inquiétantes. Quant à Darren, qui vient de se séparer de sa compagne, il se retrouve face à un terrible dilemme. Sur le chemin des vacances, un carambolage va précipiter leur destin et faire éclater la vérité. " Nicola Moriarty a un don pour écrire les drames familiaux. Un suspense bien mené servi par dispositif narratif habile. " Sydney Morning Herald " Sombre, sinueux et captivant, Il faut que tu saches est un suspense bien ficelé qui vient confirmer le talent de Nicola Moriarty. " Better Reading " Un suspense domestique captivant sur une famille divisée par les secrets et les non-dits. " The Australian " Des personnages plus vrais que nature et un dénouement sensationnel. " Book'd Out

04/2023

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Petits classiques parascolaire

La mort qu'il faut

Pour les déportés de Buchenwald, la vie se réduit à peu de chose : la ration de pain du matin, le refuge des latrines du petit camp, et chaque dimanche, la voix douce de la chanteuse Zarah Leander. Parfois, la survie a le visage du " mort qu'il faut " : son voisin, son meilleur ami, son frère, un inconnu. Juste quelqu'un qui vous ressemble assez pour, dans sa mort, vous redonner une identité, une vie. Cela pourrait être un scénario de science-fiction, c'est le récit-témoignage d'une histoire hallucinante, où les mots : générosité, cruauté, solidarité, violence s'écrivent tous en majuscules. L'accompagnement pédagogique rappelle précisément le contexte historique et politique de l'œuvre. Le récit, qui emprunte à la fois à la fiction romanesque et au biographique, fait l'objet d'une étude narrative précise. L'importance de la culture, la question du désir, l'acceptation de la souffrance, thèmes qui traversent Le mort qu'il faut, sont l'objet de développements nourris. Une longue interview exclusive de l'orge Semprun éclaire les intentions de l'écrivain.

11/2003

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Littérature française (poches)

Le mort qu'il faut

" Dans le brouhaha de la boîte de jazz, dans la fumée des cigarettes, nous avions levé nos verres et trinqué à la santé de Walter Bartel. - Rotfront ! s'était écrié Jiri Zak. Et je lui avais répondu - Rotfront ! Front rouge ! C'était le salut des communistes allemands, autrefois, à l'époque sectaire et exaltante, misérable et glorieuse, de la lutte finale et du mot d'ordre apocalyptique classe contre classe ! Beaucoup plus tard, alors que nous commencions à devenir pâteux - mais la musique était à chaque instant meilleure, plus maîtrisée et plus sauvage à la fois -, Jiri Zak s'était penché vers moi, compagnon de mémoire et de beuverie. - Toi qui écris, tu devrais donner une suite au Grand voyage... Il avait dit Grosse Reise, bien sûr: nous parlions en allemand. Il avait lu mon livre en allemand. - Tu devrais raconter la nuit au Revier, à côté de ton Musulman. Tout ce qui va avec... "

08/2002

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Actualité et médias

Il faut qu'il parte

"Je n'aime pas les communistes parce qu'ils sont communistes ; je n'aime pas les socialistes parce qu'ils ne sont pas socialistes ; et je n'aime pas les miens parce qu'ils aiment trop l'argent". Charles de Gaulle C'est un nouveau discours de la servitude volontaire. Mais pas un Contre'un comme celui qu'écrivit La Boétie : le tableau d'une époque et un réquisitoire contre une bourgeoisie française aussi bête et borgne qu'en 1830 et en 1851. Que se passe-t-il dans ce cher et vieux pays pour qu'on accuse les pauvres d'être coupables de leur sort, pour que le travail, ce mal nécessaire, soit tenu pour une valeur, pour que le serpent de Mai 68 se morde la queue et que la culture soit rangée au rayon des biens de consommation ? Un homme à la tête de l'Etat incarne aujourd'hui le nihilisme d'une hyperclasse sans attaches et sans territoire qui voudrait oublier que l'homme est un animal social et que le lien compte plus que le bien. Il ne sera pas nommé dans cet exercice de style dont la violence vise d'abord les idées : le poisson pourrit toujours par la tête. Il faut qu'il parte ne révélera aucun petit secret caché : il fera entendre le hurlement de bouledogue vivisectionné d'un écrivain non-conformiste.

04/2008

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Humour

Il faut qu'on parle

" Un véritable orgasme humoristique. ", Jouir et chansons A la manière d'un sociologue aviné - ou d'un pilier de bar philosophe - Stéphane Rose livre pêle-mêle ses réflexions, aphorismes, coups de coeur, coups de gueule et autres théories absurdes sur notre époque. Plus de 300 courts textes acides comme des pickles et salés comme des cacahuètes, à picorer à l'heure bénie de l'apéro. A votre santé !

11/2023

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