Dîner de famille. Et autres textes horrifiques

Evelyne Patricia Lokrou, écrivain et artiste peintre, dénonce le harcèlement, dans une courte pièce de théâtre, et parle de sujets pertinents, dans ce recueil, patchwork poétique, sincère, généreux et émouvant.

De son vrai nom Pauline Benda, elle est née en 1877 dans un milieu favorisé, d'un père juif, Eugène Benda, agent de change, et d'une mère, catholique et ancienne danseuse à l'opéra. L'éducation de Pauline fut celle, sans doute, de Gilberte Swann: des bonnes anglaises en uniforme et des promenades aux Champs-Elysées, des études dans des écoles privées. Son cousin est Julien Benda, intellectuel de l'entre-deux-guerres, connu pour son célèbre essai "La trahison des clercs" paru en 1926. La vie de Madame Simone est si longue qu'il est difficile de tout en dire ici (1).

J.K. Rowling avait dévoilé dès le 31 octobre deux textes sur Dolores Ombrage : le premier était une biographie dans le détail du personnage, et le second quelques révélations sur la genèse de sa création... La professeure sadique n'étant qu'une recréation d'une institutrice détestée par J.K. Rowling. D'autres textes inédits ont été mis en ligne.

Le diner du GrillonAstrid Desbordes

Un accès à plus de 8 millions de documents textuels numérisés : c'est ainsi que se présente Open Texts, un nouveau moteur de recherche qui entend réunir un maximum de ressources patrimoniales d'établissements du monde entier. Le service provient d'une initiative anglo-américaine, et a été conçu par deux employés de la bibliothèque nationale d'Écosse.

Connu sous le pseudonyme Dr. Faustus, l'illustrateur publie depuis bientôt dix ans de ravissantes parodies, colorées, espiègles et enfantines de films, jeux vidéo et autres livres horrifiques... S'inspirant du style si reconnaissable du Dr. Seuss, il propose des parodies d'Alien, The Thing, The Last of Us ou encore les livres de Lovecraft...

Depuis l’espace avec Phobos, jusqu’aux dangers de l’Intelligence artificielle, avec Cogito, Victor Dixen explore des univers variés. Les éditions Robert Laffont s’apprêtent à débuter une nouvelle aventure avec lui, à paraître le 15 octobre. Vampyria, le premier tome de cette série Young Adult, pose le ton : bienvenue à La cour des ténèbres.

Le mois d'octobre est toujours synonyme de frayeurs, recherchées ou subies... Mais il n'y a pas que les déguisements ou les films d'horreur pour se faire peur, ou une pandémie : quelques textes ont su à merveille nous faire frissonner. Mais une illustration répugnante, un dessin horrifique ou une estampe suggestive sont toujours les bienvenus... À l'occasion d'Halloween, voici notre petite sélection en la matière...

Terres lointaines, Episode 1 : Autre monde, autres moeurs

Michelle Obama et J.K. Rowling, un dîner en marge du G20

Stephen King n'en a pas fini avec l'horreur sur les écrans, mais, cette fois, le projet ne porte pas sur l'adaptation d'une de ses œuvres. L'écrivain travaille en effet avec le réalisateur et producteur J.J. Abrams sur une série horrifique, proposant plusieurs histoires...

Réunion et dîner à bord du Queen Mary 2 pour le PEN

Un roman inspiré d'une histoire vraie, où le scandale du restaurant Le Dîner de l'Exposition, ouvert pour l'exposition universelle de 1855, joue un rôle déclencheur. D'un continent à l'autre, résiliente face aux malheurs et aux préjugés dus à ses origines, Aurélia, née esclave, continue son rêve d'ascension sociale.

Il fallait y penser et Sam Lavigne l'a fait. Ce dernier a créé un programme qui change les textes littéraires et philosophiques en demandes de brevets, mais surtout, inutile de se demander pourquoi. Dans l'univers informatique, si quelque chose est inutile, alors il devient indispensable. À partir de trois exemples très connus, le Manifeste du parti communiste, Un artiste de la faim, de Kafka et La question concernant la technologie, de Heidegger, le développeur s'est donc lancé dans l'aventure.

La romancière britannique Dame Daphné du Maurier, décédée en 1989 avait écrit trois oeuvres particulièrement chéries d'Alfred Hitchcock, au point que le réalisateur ait décidé de les adapter en film - le plus célèbre, publié en 1952 et adapté en 1963 étant

L'auteur de comics américain Bernie Wrightson a annoncé sur son compte Facebook sa retraite définitive du monde des comics. Après plusieurs interventions chirurgicales cérébrales, l'auteur n'est plus capable de dessiner ou de participer à des conventions, a expliqué son épouse Liz Wrightson.

Après quelques tentatives infructueuses de vie commune, le paysan accroché à la ferme et à la terre où paissent ses vaches et l'intellectuelle bibliothécaire accrochée à son appartement bien citadin n'ont pas pu trouver un terrain d'entente où poser une stratégie de couple, malgré un coup de foudre réciproque qui les a jetés dans une relation où ils ont, ensemble, découvert que leur sexe n'était pas mort à l'issue de toutes les années qu'ils n'avaient pas partagées.

Marivaux, Le Paysan parvenu, I, Le dîner des dévotes

Pour la rentrée littéraire, les éditions Christian Bourgois publient le premier roman de Salomé Kiner, Grande Couronne. Décrit comme un roman « de banlieue », il se distingue de la production actuelle : ni banlieue HLM (Faïza Guène), ni France périphérique (Nicolas Mathieu, David Lopez). Il n’est ni politiquement correct, ni naïf. En somme, un roman de formation qui ravira les nostalgiques des années 1990, tout en décrivant avec justesse la relation mère/fille. Il s’inscrit dans la lignée du roman Il est des hommes qui se perdront toujours de Rebecca Lighieri.

JEU DE SOCIÉTÉ – Ça roucoule sec dans les chaumières : Pigeon Pigeon, jeu autoédité avec brio, propose d’exercer son imaginaire et de lui lâcher totalement la bride. Entre mises effrénées et bluff façon poker face, voici de quoi contenter votre penchant pour les fake news. Et les gros bobards, plus généralement.

Maupassant, Bel-Ami, dîner chez les parents de Duroy

Ce prix récompense un roman d'anticipation prenant en compte le contexte environnemental actuel et futur. Il sera décerné à l'occasion d'Imaginales (le festival des mondes imaginaires), à Épinal dans les Vosges, le week-end des 2 et 3 juin 2012. 

J’ai lu cet été, mon cher Hervé, un très bon roman de Claude Mauriac. Son père, François, est immortalisé (1933) et nobélisé (1952), mais lui, Claude, pourrait bien peu à peu s’ensabler. Pourtant Le dîner en ville est une très belle réussite : c’est un roman qui décrit le parisianisme mondain que l’auteur a beaucoup pratiqué.

Simon Dreemer, Commandant de Police, a pris le train à Paris, Garde de l’Est, en direction du SRPJ de Metz. En fait, la dernière enquête qu’il a menée à Paris ne s’est pas très bien terminée et son hiérarchique a considéré qu’il était plus que souhaitable qu’il aille se mettre au vert en province, histoire de se calmer un peu après avoir pris trop à cœur une affaire qu’il avait menée à sa manière. Avec des méthodes et des mots un peu rudes.

ROMAN – Découvrir Grande couronne lors d’un voyage où les églises s’avèrent plus nombreuses que les arrêts de bus prend des allures prophétiques. Le roman de Salomé Kiner — premier ouvrage particulièrement prisé des librairies (près de 70 % des ventes) — figurait parmi les sorties de la rentrée littéraire. En reparler, quelques mois plus tard, permet de mieux mesurer combien cet événement accapare l’attention, au risque de manquer des trésors. 

Les apparitions de nos politiques ne se limitent pas seulement aux discours officiels et visites diverses, nos élus se produisent également sur le petit écran, dans des émissions scénarisées, pour leur quart d’heure de gloire.

Un sujet qui se prête certainement au rire jaune. Mais la dernière tendance en matière de bibliothèques et de librairies semble être aux versions modélisées en Lego. Toute une flopée d'établissements réels se retrouve ainsi déclinée en maquettes de plastique, par des amateurs du livre ainsi que d'autres éternelles âmes d'enfants, et partagée sur la toile pour le plaisir des yeux. En voici une série comptant parmi les réalisations les mieux réussies.

Aux Etats-Unis, la Cour Suprême a remis au goût du jour le copyright pour des œuvres tombées dans le domaine public, en confirmant une loi fédérale de 1994. La justice a rejeté les arguments des détracteurs de loi qui se basaient sur le Premier Amendement et la clause du copyright dans la Constitution, arguant que le domaine public ne constituait pas une catégorie propre à la constitution.