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Choisir sa mort ? Réflexions sur la fin de vie

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Dossier

Memento mori : pour 2024, les Imaginales invoquent la vie et la mort

Nichée dans le massif des Vosges, la Cité des Images d'Épinal mène des projets de plus en plus ambitieux pour promouvoir l'image populaire et ses manifestations contemporaines sur son territoire. Parmi les événements phares, le festival des Imaginales, associé depuis l'année dernière à la Fête des Images, occupe une place centrale.

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Dossier

La Petite mort : Faux et usage de faux

Pas commode d'avoir pour paternel La Mort en personne. Pour éviter toute confusion, son fils a été baptisé La Petite Mort – encore que le risque de se mélanger les pinceaux ne soit pas totalement écarté. Cette série de bandes dessinées signées David Mourier est proposée par les éditions Delcourt depuis septembre 2013. Neuf tomes et une web série plus tard, ces aventures sont toujours à mourir... de rire.

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Dossier

Salon du livre 2024 de Turin : plongée dans la “Vie imaginaire”

Le Salon International du Livre de Turin revient au Lingotto Fiere du jeudi 9 au lundi 13 mai, sous la nouvelle direction d'Annalena Benini, pour accueillir la communauté de lectrices et lecteurs de tous âges qui rencontreront des autrices et auteurs italiens et internationaux, et découvriront les œuvres des maisons d'édition présentes, en tracent ensemble de nouvelles vies imaginaires.

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Dossier

2021, commémoration des 700 ans de la mort de Dante Alighieri

Né le 21 mai 1265, Dante Alighieri, mythique poète italien, écrivain, mais également homme politique ayant vécu à Florence, est mort le 14 septembre 1321, laissant derrière lui La Divine Comédie. Considéré comme le père de la langue italienne, il compose avec Boccace et Pétrarque cette trinité littéraire par laquelle le toscan s’imposa dans le pays. En cette année 2021, le 700e anniversaire de sa mort est commémoré, partout dans le monde.

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Dossier

La famille, ce port d'attache parfois trop attachant

La famille, ce mot si universel, évoque en chacun de nous des images, des souvenirs et des émotions. Pourtant, sa signification et sa structure varient étonnamment d'une culture à l'autre. Voyageons à travers le vaste monde des familles et découvrons les mille et une façons de former ce précieux noyau social.

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

Extraits

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Sociologie

Choisir sa mort ? Réflexions sur la fin de vie

Au moment où la convention citoyenne sur la fin de vie rend ses conclusions et que le Parlement va devoir se prononcer sur une nouvelle loi, il a paru essentiel à La Croix que ce débat qui s'est installé progressivement dans ses colonnes bénéficie au plus grand nombre. Douze contributions qui permettent de saisir l'importance et la complexité de ces sujets, et de se plonger dans toutes les nuances d'un questionnement redoutable, car il touche au plus intime de chacun de nous, mais aussi à ce qui fait le bien commun de notre société. Soigner : Je croyais que faciliter le passage de la vie à la mort était un progrès - Alexis Jenni Ecouter les patients en demande d'euthanasie - Corinne Vaysse van Oost Certains patients en viennent à culpabiliser de vivre - Alexis Burnod La dernière fois que je te vois - Jacques Testart Libérer : Dignité ou liberté, une grande division qui vacille - Philippe Portier La liberté ne consiste pas uniquement à vivre d'après ses intérêts personnels - Agata Zielinski Dans les sociétés techniciennes, chaque problème doit recevoir une solution technique - Patrick Chastenet Qu'attendons-nous de la loi ? - Olivier Abel Croire : Les impensés théologiques d'un débat - Frédéric Rognon Dans la tradition juive, la mort ne fait pas l'objet d'un culte - Pauline Bebe Vivre la fraternité en fin de vie - Jean-Philippe Pierron La mort n'est pas rien pour nous - Laurence Devillairs Coordination éditoriale du pôle débat "A VIF" de La Croix : Isabelle de Gaulmyn et Théo Moy

03/2023

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Accompagnement des malades

Un médecin, la liberté et la mort. Pour le droit de choisir sa fin de vie

Le docteur Denis Labayle est l'un des très rares médecins en France à défendre depuis plus de vingt ans le droit des êtres humains à choisir leur fin de vie ainsi qu'une nouvelle conception de l'éthique médicale ajoutant au célèbre serment d'Hippocrate : " J'accompagnerai mes malades jusqu'à la fin de leur vie et je respecterai leur choix. " Le docteur Denis Labayle est l'un des premiers médecins à avoir affirmé que les soins palliatifs ne résolvaient pas toutes les situations et à avoir alerté sur les dérives des lois Leonetti et Clayes-Leonetti qui imposent la déshydratation du corps et engendrent des agonies prolongées, inutiles et douloureuses. Il a forgé ses convictions sur une écoute approfondie des patients en fin de vie, au cours de ses quarante années de fonction hospitalière et a découvert l'importance du rôle du médecin dans les réponses à apporter. Il défend une nouvelle conception de l'éthique médicale : au célèbre serment d'Hippocrate dont il analyse la métamorphose au cours de l'histoire, il propose d'ajouter d'autres engagements, comme celui-ci : " J'accompagnerai mes malades jusqu'à la fin de leur vie et je respecterai leur choix. " En un temps où tous les pays limitrophes de l'Hexagone font évoluer la législation en ce domaine, la France campe sur des règles rigides qui obligent nombre de citoyens à aller chercher à l'étranger ce que leur pays leur refuse. Pourquoi une telle obstruction ? L'auteur tente d'y répondre. Son combat commence à porter ses fruits : le 8 avril 2021, hors agenda parlementaire, les députés ont voté, à une très large majorité, l'article premier d'un projet de loi qui autorise enfin le droit des malades à demander l'aide médicale à mourir. Une porte entrouverte que certains ont tenté de refermer en déposant 4 000 amendements. Il est donc certain que ce débat qui s'est ouvert n'en est qu'à ses prémices et qu'il sera, à coup sûr, l'un des thèmes abordés au cours de cette année 2022 d'élection présidentielle.

02/2022

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Essais

Fin de vie : peut-on choisir sa mort ?. L'euthanasie n'est pas LA solution

"Je veux choisir ma mort, c'est ma liberté ! " Cette parole de personne bien-portante témoigne du décalage avec la réalité de ce que vivent les malades à l'approche de leur fin de vie. La question de l'euthanasie, masquée derrière l'expression trompeuse "d'aide médicale à mourir" , s'avère très présente dans l'actualité politique. Or le sujet est régulièrement abordé avec des confusions majeures concernant le suicide assisté, l'euthanasie, la sédation profonde... Ce livre clarifie le vocabulaire et propose de revisiter les croyances et préjugés qui obscurcissent la question de la fin de vie, en interdisant un véritable débat. Il donne les éléments éthiques et médicaux nécessaires à la compréhension des enjeux de la mort provoquée. Beaucoup plus largement, il y est question du chemin du mourir et de la finitude. Chaque fin de vie se révèle une histoire singulière jusqu'au bout, imprévisible, appelant des soins adaptés et toujours créatifs. Basé sur une longue expérience clinique des auteurs dans le domaine des soins palliatifs et sur un travail universitaire autour de l'impact de l'acte euthanasique sur le praticien, il est à destination du grand public comme des professionnels du soin. Dr Jean-Marie Gomas, l'un des fondateurs du mouvement des soins palliatifs, médecin généraliste, gériatre, enseignant, ancien responsable d'une Unité Douleurs Chroniques et Soins Palliatifs à Paris. Dr Pascale Favre, médecin, diplômée d'un DEA de droit de la santé. Doctorante en philosophie, elle est l'auteur en 2020 d'un mémoire de recherche en éthique médicale sur la position du médecin dans l'acte euthanasique.

04/2022

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Sciences politiques

Libres réflexions sur la peine de mort

On présente aujourd'hui l'abolition de la peine de mort comme un progrès majeur de civilisation. En est-il vraiment ainsi ? S'inscrivant en faux contre la vulgate ambiante, Jean-Louis Harouel propose une autre lecture, iconoclaste et originale. Il montre que, contrairement aux apparences - et à ce que bien des gens croient sincèrement -, la phobie de la peine de mort qui caractérise aujourd'hui l'Europe occidentale ne procède pas du Tu ne tueras pas de la Bible, mais est un des effets d'une religion séculière ayant pris le relais du communisme comme projet universel de salut terrestre : ce que l'auteur appelle "la religion des droits de l'homme" . Or celle-ci est la continuatrice de vieilles hérésies oubliées qui manifestaient une grande désinvolture à l'égard de la vie des innocents, tout en professant un amour préférentiel envers les criminels, considérés comme d'innocentes victimes. Là se trouve la source de l'humanitarisme anti-pénal qui a fait triompher l'abolition de la peine de mort, laquelle, même très peu appliquée, constituait la clé de voûte d'un système pénal fondé sur l'idée de responsabilité. Au lieu de quoi, la suppression de la peine capitale a frayé la voie à une perversion de la justice - l'imposture de la perpétuité de vingt ans ! - au profit des criminels et au détriment de la sécurité des innocents. Jean-Louis Harouel, agrégé de droit, professeur émérite de l'université Panthéon-Assas (Paris II), a publié une vingtaine de livres, dont les plus récents étudient l'influence du facteur religieux sur les accomplissements des sociétés humaines : Le Vrai Génie du christianisme (2012) ; Revenir à la nation (2014), Les Droits de l'homme contre le peuple (Desclée de Brouwer, 2016) et Droite-Gauche : ce n'est pas fini (Desclée de Brouwer, 2017).

11/2019

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Littérature française

Réflexions sur la mort. La vie, ce qu'on y trouve et comme on en sort

La vie, ce qu'on y trouve et comme on en sort La vie ne prend sens que par la mort qui l'achève... Il n'y a personne au monde qui ne se soit soucié de la mort, personne qui n'y ait réfléchi. De la mort en général et de la sienne en particulier, bien sûr. Surtout quand le sentiment profond de l'inéluctable a pénétré en soi. L'homme vient au monde pour y mourir... Mais, en chemin, il se passe tout de même beaucoup de choses ! Maurice Bonnet nous livre ici un petit inventaire, forcément incomplet, de ce que nous y trouvons, dans la brève période où il nous est donné d'y participer et d'en tirer quelques leçons. L'auteur, à sa manière intimiste, puisant dans sa propre expérience, son propre fond, comme tout moraliste, rencontre et éclaire les impressions et pensées de chacun de nous, car il y a toujours de l'universel dans le particulier ; c'est la magie de l'âme. Il nous parle, tour à tour, de bonheur, de compassion, du culte et de la chute de nos idoles, d'érotisme, du rêve américain, des désillusions du progrès, de la maladie, et de beaucoup d'autres choses. Suivez le guide, nous conseille-t-il à la fin de son court avant-propos. C'est une intéressante suggestion.

09/2017

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Philosophie

La mort aujourd'hui. Essai sur le déni social de la mort et la fin de vie

Depuis la seconde moitié du XXe siècle, de nombreux sociologues, anthropologues et historiens, ont souligné le fait que la civilisation occidentale se caractérisait par un "déni social de la mort" et qu'elle procédait ainsi à une occultation dramatique des personnes en fin de vie. La mort et le mourir seraient devenus " tabous " et notre culture jeuniste et consumériste nous inciterait à en détourner nos regards. Vouloir éloigner le tragique, faire décliner l'importance traditionnellement accordée aux rituels funéraires et au deuil, tel serait un des aspects majeurs de notre culture. Les sciences sociales étaient alors accusatrices : elles dénonçaient le " mal mourir " et faisaient la critique d'un monde où le rapport à la mort avait globalement cessé d'être familier. Ce constat exigeait donc un remède : dès les années 80, se sont développés en France les soins palliatifs et de nombreux débats sur la fin de vie ont fait leur apparition dans l'espace public (notamment la question de l'euthanasie et celle du refus de l'acharnement thérapeutique). Pour autant, avons-nous aujourd'hui réussi à modifier notre rapport au mourir, à "resocialiser la mort" et à mieux accompagner les personnes en fin de vie ? Avons-nous trouvé les moyens d'enrayer le processus d'occultation de la mort dont beaucoup pensent qu'il est inévitablement pathologique ?

08/2019

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