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Chez les Indiens d'Amérique. Petit Castor Amérique du Nord 1804-1806

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Québec Amérique : une littérature venue du Québec

Fondée en 1974 et reprise en 2020 par Caroline Fortin, fille du fondateur Jacques Fortin, Québec Amérique se distingue par sa passion pour la littérature francophone et son engagement envers la qualité et l'innovation éditoriale.

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Chez Label Emmaüs, des livres à petits prix et de la solidarité

Sur la plateforme Label Emmaüs, un impressionnant catalogue de plus de 2 millions de livres d'occasion est référencé par des personnes en insertion professionnelle. Des livres qui proviennent des dons faits par des particuliers aux diverses structures Emmaüs et ressourceries réparties sur le territoire.

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Des romans jeunesse contemporains chez Scrineo

C’est avec Je suis Charliberté d’Arthur Ténor, un récit qui montre aux ados l’importance de la liberté d’expression, qui inaugure la collection Engagé, que Scrineo se lance dans les romans contemporains en 2016. Toujours avec une question de point du vue, l’idée est de parler aux jeunes lecteurs de sujets qui les touchent et auxquels ils peuvent être confrontés au quotidien.

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Carnet de bord d'Audrée Wilhelmy

En août / septembre 2024, Audrée Wilhelmy publiera au Tripode son prochain roman, Peau-de-sang. L'autrice québécoise a choisi ActuaLitté pour raconter l'histoire qui précède l'ouvrage : entre carnet de bord et feuille de route, voici l'aventure inédite d'un livre à venir, et de sa créatrice.

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Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et onirique...

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Dossier

Le centenaire du chef-d’oeuvre de James Joyce, Ulysse

Précédé par une histoire éditoriale tumultueuse et légendaire, Ulysse, le chef-d’œuvre de James Joyce, fête en 2022 le centenaire de sa publication. C'est en France, à Paris, que le récit trouve en effet sa forme définitive, confié aux bons soins de Sylvia Plath.

Extraits

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Documentaires jeunesse

Chez les Indiens d'Amérique. Petit Castor Amérique du Nord 1804-1806

Petit Castor raconte sa vie au fil des jours dans son village au bord du Missouri, en 1804. Le récit vivant et intime de ses aventures permet de plonger au cœur des tribus indiennes. De nombreux volets à soulever et un superbe dépliant panoramique de quatre pages au milieu du livre. A chaque page, une mine d'informations documentaires (les danses, la chasse, le commerce...) répondent aux questions des enfants.

11/2006

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Récits de voyage

Voyage aux Régions Equinoxiales du Nouveau Continent, fait en 1799, 1800, 1801, 1802, 1803, et 1804. Tome 11, La Havane

Tome 11 des treize volumes du Voyage au Régions Equinoxiales du Nouveau Continent de A. de Humboldt et A. Bonpland Un palmier des plus majestueux de cette tribu, la Palma Real, donne au paysage, dans les environs de La Havane, un caractère particulier. C'est l'Oreodoxa regia de notre description des palmiers américains : son tronc élancé mais un peu renflé vers le milieu s'élève à 60 ou 80 pieds de hauteur ; sa partie supérieure luisante, d'un vert tendre et nouvellement formée par le rapprochement et la dilatation des pétioles, contraste avec le reste qui est blanchâtre et fendillé. C'est comme deux colonnes qui se surmontent. La Palma Real de l'île de Cuba a des feuilles panachées qui montent droit vers le ciel, et ne sont recourbées que vers la pointe. Le port de ce végétal nous rappelait le palmier Vadgiai qui couvre les rochers dans les cataractes de l'Orénoque et balance ces longues flèches au-dessus d'un brouillard d'écume. Ici, comme partout où la population se concentre, la végétation diminue. Autour de La Havane, dans l'amphithéâtre de Regla, ces palmiers qui faisaient mes délices, disparaissent d'année en année. Les endroits marécageux, que je voyais couverts de Bambousacées, se cultivent et se dessèchent. La civilisation avance et l'on assure qu'aujourd'hui la terre, plus dénuée de végétaux, offre à peine quelques traces de sa sauvage abondance.

03/2022

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Récits de voyage

Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent : fait en 1799, 1800, 1801, 1802 & 1804. Tome 13, Additions

Tome 13 et dernier des treize volumes du Voyage au Régions Equinoxiales du Nouveau Continent de A. de Humboldt et A. Bonpland Depuis les années 1792 et 1795, a commencé une nouvelle ère pour la Géographie de l'île de Cuba et de toutes les côtes du bassin des Antilles. Les travaux de Barcaiztegui, la Rigada, Churruca, Ferrer, Del Rio, Cevallos et Robredo se succédèrent en rectifiant le contour des côtes et, grâce aux calculs et aux savantes discussions de MM. Ferrer et Oltmanns, La Havane devint un des ports de l'Amérique dont la position astronomique est le mieux fixée. Don Ventura de Barcaiztegui a relevé de 1790 à 1794, le littoral entre Santiago de Cuba et Punta Maternillos, à l'entrée orientale du Canal de Bahama. Les travaux de Don Jose Del Rio (1802-1804) embrassent la côte méridionale entre le cap Saint-Antoine et le Cabo de Cruz. Le peu que nous connaissons (depuis 1792) du Vieux Canal même est dû au zèle du Capitan de Correos, Don Juan Henrique de la Rigada. Mais dans cette partie, entre Punta Maternillos et le port de Matanzas, comme plus à l'ouest, entre Bahia Honda et le cap Saint-Antoine, il reste encore beaucoup à faire par des moyens astronomiques. Les positions en longitude y sont entièrement incertaines et malheureusement ces incertitudes s'étendent sur un espace de 135 lieues marines de longueur.

03/2022

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Histoire internationale

Les Indiens d'Amérique du Nord

Depuis un demi-millénaire, les Amérindiens constituent une source inépuisable de fascination. Des civilisations précolombiennes ont subi l'intrusion de conquérants des temps modernes qui les ont fait brutalement entrer dans l'Histoire. Au-delà des mythes liés tant au substrat idéologique euro-américain qu'aux représentations spectaculaires de l'Indien du Canada et des États-Unis dans la culture de masse, cet ouvrage propose d'abord une vision de la diversité des peuples d'une Amérique primordiale. À l'échelle d'un continent, sont présentés les bâtisseurs de tumulus, les chasseurs de bison des Grandes Plaines, de l'alligator de Floride, les pêcheurs du Pacifique, les trappeurs des Grands Lacs, outre les nomades des déserts, parmi une multitude de tribus dont chacune a été animée d'un savoir ancestral depuis des temps immémoriaux. Après la colonisation par les Français, les Espagnols et les Anglais, la résistance à une immigration massive et souvent violente au XIXe siècle a permis de maintenir les valeurs natives malgré une dramatique chute démographique sur le territoire américain. Au travers de la renaissance amérindienne du XXe siècle, une diaspora issue des réserves affirme désormais son identité ethnique, s'inscrit dans la modernité, et revendique énergiquement ses droits sans se complaire dans la nostalgie d'un monde perdu. C'est ce parcours que nous invite à suivre cette étude nourrie des informations les plus récentes et d'une longue expérience du monde indien.

10/2007

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Récits de voyage

Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent : fait en 1799, 1800, 1801, 1802 & 1804. Tome 12, La mer des Antilles

Tome 12 des treize volumes du Voyage au Régions Equinoxiales du Nouveau Continent de A. de Humboldt et A. Bonpland A La Havane comme partout où le commerce et la richesse qu'il produit prennent un accroissement rapide, on se plaint de l'influence nuisible qu'exerce cet accroissement sur les vieilles moeurs. Ce n'est pas ici le lieu de comparer le premier état de l'île de Cuba couverte de pâturages avant la prise de la capitale par les Anglais, et son état actuel depuis qu'elle est devenue la métropole des Antilles ; ce n'est pas le lieu de mettre en balance la candeur et la simplicité des moeurs d'une société naissante avec les moeurs qui appartiennent au développement d'une civilisation avancée. L'esprit du commerce amenant le culte des richesses, porte sans doute les peuples à déprécier ce qu'on ne peut obtenir pour de l'argent. Or l'état des choses humaines est heureusement tel que ce qu'il y a de plus désirable, de plus noble, de plus libre dans l'homme, n'est dû qu'aux seules inspirations de l'âme, à l'étendue et à l'amélioration des facultés intellectuelles.

03/2022

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Littérature française

Contes des Indiens d'Amérique du Nord

La collecte réalisée par Stith Thompson demeure indépassable pour plusieurs raisons. Il a eu accès aux meilleures sources anciennes. Les premières collectes commencent dès 1633 avec les Jésuites et, en les comparant avec des versions plus récentes, Thompson a pu vérifier que leur forme avait été très peu altérée, surtout pour les contes de Création, et retenir des contes ancestraux. Il a pu aussi profiter des vagues successives de collectes : une seconde entreprise de collecte commence en effet dans la seconde moitié du XIXe siècle. Elle a le mérite d'être massive mais a souvent le défaut de ne pas toujours coller au style du conteur d'origine et de ne pas prendre assez en compte les variantes. Sous l'influence de Franz Boas, les collectes deviendront plus scientifiques et plus systématiques, couvrant l'ensemble du continent nord-américain. Aucun peuple primitif n'aura gardé autant la trace de ses mythes, contes et légendes, étant entendu qu'il est impossible et vain scientifiquement de vouloir en entreprendre le classement de ce point de vue. Disposant donc d'un corpus immense (issu de rapports, de journaux, de publications antérieures ou récentes des sociétés savantes, des collectes antérieures), Stith Thompson, déjà célèbre pour la classification de tous les contes européens avec Anti Aarne, qui est encore la " bible " de tous ceux qui s'intéressent aux contes (avec la célèbre numérotation AT qui figure dans The Types of Folk-tales : a classification and bibliography, Helsinki, 1961), va tenter avec cette anthologie de choisir à la fois les contes les meilleurs et les plus représentatifs des différentes tribus en couvrant la totalité des régions d'Amérique du Nord et d'organiser l'ensemble en neuf chapitres mettant ainsi en relief tous les types de contes, tout en ayant conscience que les contes peuvent déborder les principes de classification et qu'ils pourraient parfois être intégrés à des chapitres différents. Par rapport à toutes les collectes existantes actuellement, plus d'une cinquantaine, dont certaines récentes, celle de Stith Thompson reste incomparable, d'autant que les annexes permettent de relier chaque conte à son origine géographique, à sa tribu comme aux motifs qu'il contient. Même si nous devons être conscients que lors du passage de l'oral à l'écrit, de la langue tribale d'origine à l'anglais, nous avons sûrement perdu quelque chose, le trésor rassemblé par Thompson n'en reste pas moins un trésor qui sans son travail aurait disparu (les collectes ou les tentatives de mises à l'écrit les plus récentes auprès de certaines tribus sont souvent décevantes, comme si, comme en Europe, quelque chose avait été définitivement perdu au XXe siècle).

03/2012

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