En septembre 2011, les médias s'affolaient : Michel Houellebecq, qui ne manque pas un rendez-vous, était introuvable. L'enlèvement est évoqué, et le premier commanditaire proposé devient... Al-Quaïda, en raison des prises de position passées de l'écrivain sur la religion musulmane. Il n'en était rien, évidemment, mais le cinéaste Guillaume Nicloux a choisi le fait divers comme point de départ de L'enlèvement de Michel Houellebecq, un documentaire en forme de fiction.