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Roger Chartier, Henri-Jean Martin

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Dossier

Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Jean d'Ormesson

Venu au monde dans le 7e arrondissement de Paris, le 16 juin 1925, au sein d’une famille noble, Jean d'Ormesson s'engagea tardivement, de son propre aveu, dans l'écriture, trop occupé qu'il était à lire. Il publie son premier ouvrage, L’amour est un plaisir, en 1956, aux éditions Julliard, mais son livre La gloire de l’Empire, en 1971, lui vaut une reconnaissance littéraire avec le Grand Prix du roman de l’Académie française.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Agnès Martin-Lugand

Agnès Martin-Lugand s’est imposée sur la scène littéraire française par sa plume délicate et la finesse psychologique de ses récits. Elle a construit en neuf romans unanimement salués par le public et la critique une œuvre singulière qui n’a pas son pareil pour questionner l’existence et l’âme humaine.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur George R.R. Martin

Né le 20 septembre 1948 dans le New Jersey, George R. R. Martin se destinait à devenir journaliste : faute d'un emploi, il se découvre une vocation d'auteur en signant des nouvelles de science-fiction, et se fait rapidement une bonne réputation dans le milieu. Quelques-unes de ses nouvelles sont même très remarquées, comme Les Rois des sables et Le Volcryn, qui sera bientôt adapté au cinéma, et, dans les années 2010, en série télévisée. 

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

Extraits

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Photographie

Henri Cartier-Bresson

"L'oeil du siècle", "L'homme-œil" ou encore "L'oeil absolu", ce sont quelques-uns des superlatifs dont Henri Cartier-Bresson (1908-2004) s'est vu régulièrement affublé. Un oeil, il en était incontestablement un : combinant en permanence la puissance documentaire au lyrisme poétique, il a produit l'une des oeuvres les plus fascinantes du XXe siècle. Du surréalisme à Mai 68, en passant par la guerre d'Espagne, la décolonisation et les Trente glorieuses, la rétrospective du Centre Pompidou retrace le parcours du photographe. Dix ans après sa disparition et à l'issue d'un travail de recherche de plusieurs années, elle propose, loin des mythes et des poncifs, une nouvelle lecture de l'immense corpus d'images qu'il nous a légué. En réunissant plus de 500 photographies, dessins, peintures, films et documents, regroupant ses plus grandes icônes, mais aussi des images moins connues, le Centre Pompidou retrace l'histoire d'une oeuvre et, à travers elle, celle du siècle.

11/2013

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Photographes

Henri Cartier-Bresson photographe

A la fin des années 1970, Henri Cartier-Bresson et son éditeur Robert Delpire décident de réaliser un livre qui reprendrait l'ensemble de sa carrière sous le titre Henri Cartier-Bresson Photographe. Depuis sa première publication il y a plus de quarante ans, cet ouvrage a été traduit en sept langues, réédité onze fois et est considéré comme la référence incontournable du maître. A travers ce corpus qui rassemble 155 images prises entre 1926 et 1978, celui que l'on a souvent appelé "l'oeil du siècle" nous présente sa vision intime d'un monde dont il a parcouru tous les paysages, rencontré tous les acteurs - artistes, écrivains, anonymes -, et dont il a immortalisé les événements historiques majeurs. Figure majeure de la photographie du XXe siècle, Cartier-Bresson considérait son appareil photo comme le prolongement de son oeil - ce qui souligne son talent inégalé à composer spontanément une image capable d'évoquer le mystère, l'humour et l'universalité des personnes et des moments capturés par son objectif. Certaines de ses photographies, telle "Près de la gare Saint-Lazare" , sont devenues des icônes, étudiées dans les lycées, et sont considérées comme des chefs-d'oeuvre de l'art du 20e siècle.

10/2022

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Critique littéraire

Cahiers Roger Martin du Gard Tome 2

Ce deuxième Cahier Roger Martin du Gard a été conçu, comme le premier, pour intéresser non seulement les chercheurs mais aussi tous les lecteurs de l'oeuvre de Roger Martin du Gard qui souhaitent mieux connaître le romancier. On trouvera donc ici un important ensemble de cinquante et une lettres inédites, recueillies après la publication de la Correspondance générale. Ces lettres, adressées par Roger Martin du Gard à Bernard Grasset ou à des amis comme Henri Ghéon ou Stefan Zweig, nous font mieux connaître son activité d'écrivain, ses préoccupations personnelles devant la montée des périls. Sont ensuite présentées neuf études originales sur divers aspects de l'oeuvre de Roger Martin du Gard. On verra d'ailleurs, en lisant la bibliographie qui complète ce volume, que la recherche sur Roger Martin du Gard s'est considérablement développée depuis quelques années, surtout à l'étranger. C'est ainsi que le Centre international de recherches sur Roger Martin du Gard, qui prépare ces Cahiers, rassemble maintenant près d'une centaine de chercheurs de vingt pays différents.

11/1991

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Critique littéraire

Cahiers Roger Martin du Gard Tome 1

Ce premier numéro des Cahiers Roger Martin du Gard a été préparé par le Centre international de recherches sur Roger Martin du Gard, dont le siège est à la faculté des Lettres de Nice. Nous avons voulu présenter un ensemble très varié de documents, d'études, d'informations qui intéressent non seulement les chercheurs mais plus généralement tous ceux qui désirent mieux connaître l'oeuvre de Roger Martin du Gard. Ce numéro fait la plus large place à des inédits de première importance : la conférence prononcée par Roger Martin du Gard à Stockholm après la remise du prix Nobel, un fragment d'un volume des Thibault que le romancier a abandonné pour écrire L'Eté 1914 et un dialogue conçu comme une courte pièce de théâtre. On trouvera ensuite huit articles sur divers aspects de l'oeuvre de Roger Martin du Gard qui n'avaient pas été étudiés jusqu'ici. La bibliographie, établie pour les années 1982 à 1987, sera un instrument de travail extrêmement précieux. Des comptes rendus d'ouvrages récents complètent ce numéro. Nous souhaitons que la publication de ces Cahiers contribue au développement des études sur Roger Martin du Gard. Le Centre international de recherches, créé en 1982, à la suite des colloques du Centenaire qui avaient eu lieu à Sarrebruck et à Paris, en 1981, rassemble aujourd'hui plusieurs dizaines de chercheurs de vingt pays différents. En faisant connaître leurs travaux, ces Cahiers permettront de suivre le progrès des études sur l'oeuvre de Roger Martin du Gard et inciteront, nous l'espérons, de nouveaux chercheurs à venir apporter leur contribution.

09/1989

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Critique littéraire

Histoire de l'édition française. Tome 3, Le temps des éditeurs, Du romantisme à la Belle Epoque (1830-1900)

Le second tiers du XIXè siècle voit s'affirmer une nouvelle économie du livre. La presse mécanique à vapeur, la machine à papier continu, la reliure industrielle permettent une première industrialisation de sa fabrication. Les tirages toutefois restent modestes et l'édition demeure dominée par les genres et les titres de la tradition. La véritable rupture vient après la mi-siècle : les techniques de composition et d'illustration sont à leur tour industrialisées grâce aux linotypes, puis aux monotypes et à la photogravure. Mais, dès la décennie 1850, la production change d'échelle : elle franchit le seuil des 12 000 titres annuels. Car de nouvelles catégories de lecteurs apparaissent. De Guizot à Ferry, l'école (mais pas seulement elle) a alphabétisé les Français : l'enfant, la femme, le peuple, deviennent les figures emblématiques de ces consommateurs d'imprimés. Dans les années 1830, l'édition française invente des objets nouveaux, réduit les formats (ainsi avec les classiques Charpentier en format in-18), emprunte au journal la formule des fascicules largement illustrés, bon marché et lancés à grand renfort de publicité. 1848 marque l'échec du projet romantique et ouvre la voie à d'autres publics, ceux du manuel scolaire, du livre pour la jeunesse, de la littérature de gare, des ouvrages encyclopédiques. Enfin, la crise de surproduction de la fin du siècle opère un tri drastique parmi les éditeurs établis tout en favorisant de nouveaux venus. Concentrant entre ses mains la totalité du processus de production du livre, l'éditeur donne désormais la plus grande part de son temps, non plus au commerce de librairie ou à l'activité d'imprimerie, mais à la lecture des manuscrits, aux rencontres avec les auteurs, à la constitution de son fonds propre. La profession y gagne une légitimité intellectuelle inédite tandis que les plus habiles de ses membres deviennent des propriétaires cossus ou des capitalistes hardis. L'évolution est grosse de risques (d'où les faillites nombreuses qui scandent le siècle) et d'âpres conflits surgissent avec les auteurs qui, de plus en plus, veulent ou doivent vivre de leur plume.

11/1990

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Critique littéraire

Histoire de l'édition française. Tome 4, Le livre concurrencé (1900-1950)

Dans ce premier XXe siècle, l'édition française jette les fondements de sa modernité. Une façon nouvelle d'être éditeur est définie, qui substitue au temps des entrepreneurs, véritables inventeurs d'une profession, celui des maisons d'éditions organisées en services aux compétences distinctes (la direction littéraire, la fabrication, la gestion commerciale, la publicité). Par ailleurs, le commerce du livre se trouve bouleversé par la création de centrales de distribution et de clubs, par le recours massif à la publicité, par les formules nombreuses, annociatrices du livre de poche, qui visent à baisser le prix du livre. Enfin, les transformations techniques qui mécanisent, standardisent et industrialisent sa production, modifient les formes mêmes de l'objet imprimé, produit en nombre. Mais le marché ne suit pas, ou pas toujours suffisamment, cette offre renouvelée et augmentée. Le public des lecteurs de livres ne s'accroît pas à la mesure de l'alphabétisation et demeure fragmenté en clientèles séparées, restreintes, exclusives. Si, pour l'édition, le temps est venu des best-sellers et de la rencontre entre la littérature la plus légitime et les gros tirages, pour le public du livre, les mutations fondamentales ne sont pas encore faites. De là, la menace perpétuée de surproduction de titres ; de là, la fragilité structurelle de l'édition ; de là, les disparitions d'éditeurs, sans doute plus nombreuses que les créations durables. Ce volume se clôt par une réflexion d'ensemble, en forme de postface, sur les ruptures les plus significatives qui ont marqué l'histoire longue du livre, de l'édition et de la lecture en France, depuis le Moyen Age jusqu'à l'orée du temps contemporain. Par là, cette Histoire de l'édition voudrait nourrir les débats les plus actuels sur l'avenir de l'imprimé à la veille d'un nouvel âge possible, celui où la composition et la lecture des textes, affranchies de la forme prise par le livre aux IIe et IIIe siècles de notre ère, trouveraient un autre support : l'écran.

07/1998

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