Paris autobus insolite. De l'omnibus à chevaux au bus électrique, deux siècle d'histoire

Insolite : un obus au collège pour illustrer le cours d'histoire

Vexé le père Steven, qui a probablement révolutionné, quels que soient les goûts et avis, le cinéma mondial. Mais sa frustration, le réalisateur aux trois Oscars vient de la manifester suite à l'adaptation du livre de Michael Morpurgo, War Horse.

RentréeLittéraire2023 - Fresque familiale à l’incroyable souffle romanesque, Mississippi, La Geste des ordinaires charrie près de deux siècles d’histoire, porté par les voix particulièrement incarnées de ses personnages. 

Insolite : Histoire de l'uniforme scolaire au Japon

Paris, XXIIe siècle. La société devenue ultralibérale n’obéit plus qu’aux lois impitoyables de l’argent, des réseaux sociaux et du paraître. De grandes multinationales amassent des millions, dont Morgane Corp., qui fait fortune en prélevant et en revendant des organes...

Titania est devenue une icône des réseaux sociaux au physique presque irréel, tant elle ne cesse de modifier son apparence. Adulée, suivie par des millions de followers, rien ne la prédestine à rencontrer Jan, simple jeune homme de dix-neuf ans, poète à ses heures perdues. Et pourtant ! Lorsqu’ils se rencontrent, c’est le coup de foudre.

Les traducteurs et traductrices ont toujours joué un rôle majeur dans la société, tout en contribuant à la richesse des langues et des cultures. Cette septième partie est consacrée aux traducteurs du XXe siècle, qui prônent une traduction non littérale pour les œuvres de fiction et qui créent une nouvelle discipline dénommée traductologie. Cette série est réalisée en collaboration avec Anna Alvarez, traductrice professionnelle.

Les traducteurs et traductrices ont toujours joué un rôle majeur dans la société, tout en contribuant à la richesse des langues et des cultures. Cette cinquième partie est consacrée aux traducteurs du XVIIIe siècle, qui prennent pour habitude de traduire d’une langue étrangère vers leur langue maternelle, et non le contraire. Cette série est réalisée en collaboration avec Anna Alvarez, traductrice professionnelle.

Les traducteurs et traductrices ont toujours joué un rôle majeur dans la société, tout en contribuant à la richesse des langues et des cultures. Cette quatrième partie est consacrée aux traducteurs du XVIIe siècle, dont les traductions tentent d’être plus fidèles et transparentes que celles de leurs collègues des siècles passés. Cette série est réalisée en collaboration avec Anna Alvarez, traductrice professionnelle.

Les traducteurs et traductrices ont toujours joué un rôle majeur dans la société, tout en contribuant à la richesse des langues et des cultures. Cette troisième partie est consacrée aux traducteurs du XVIe siècle, qui traduisent les auteurs classiques et la Bible dans des langues modernes (anglais, allemand, français, etc.). Cette série est réalisée en collaboration avec Anna Alvarez, traductrice professionnelle.

Les traducteurs et traductrices ont toujours joué un rôle majeur dans la société, tout en contribuant à la richesse des langues et des cultures. Cette sixième partie est consacrée aux traducteurs du XIXe siècle, qui affinent leurs méthodes et tentent de nouvelles approches dans leur art. Cette série est réalisée en collaboration avec Anna Alvarez, traductrice professionnelle.

En collaboration avec les Archives nationales, le Conseil d’État publie le Guide de recherche dans les archives du Conseil d’État. Destiné aux chercheurs, universitaires, généalogistes, étudiants, mais aussi aux citoyens curieux de leur passé, cet ouvrage inédit fait la part belle à près de deux cents ans d’histoire du Conseil d’État.

Dans la série des angoisses modernes dont notre société est si friande, il conviendrait d'en rajouter deux

Le roman de Gaëlle Nohant, La Part des flammes, pourrait être un des livres de l’été, mais ce serait réducteur de le réduire ainsi. En effet, ce livre met en scène un événement historique : le feu qui a embrasé, le 4 mai 1897, le bazar de la Charité. Et décrit l’existence de personnages que rien n’aurait réunis, si cet incendie n’avait pas eu lieu.

Au cours des dernières semaines, deux livres prétendument écrits par nul autre que Satoshi Nakamoto ont été annoncés sur la plateforme en ligne d'Amazon. Selon un fil de discussion BitcoinTalk, ils devraient être publiés au cours du mois de juin 2019. Cependant, les quatrièmes de couverture ont de quoi faire lever des sourcils et laisser dubitatifs...

Envie de voir comment on écrivait l’histoire au XIXe siècle ? BnF-Partenariats propose, dès aujourd’hui, un nouveau coffret numérique : 100 Livres d’histoire à (re)découvrir. Écrire l’histoire au XIXe siècle. Comme son nom l’indique, à travers cent ebooks, des oeuvres inédites ont été remises au goût du jour par les historiens et les conservateurs de la BnF. Écrites entre 1820 et 1920, elles racontent l’histoire de l’Antiquité au XIXe siècle, en passant par le Moyen-Âge et la Renaissance. 

Dans le cadre de son Salon international du Livre Rare et de l'Objet d'art, organisé chaque année au Grand Palais, le SLAM, Syndicat de la librairie ancienne et moderne, décerne son prix, d'une valeur de 1500 €, pour récompenser un travail de qualité concernant les livres anciens et modernes, la littérature, l’édition, l’illustration d’ouvrages, la reliure, l’histoire du livre, les bibliothèques ou la bibliophilie.

Les paris ne sont plus ouverts, inutile de tenter de faire vos jeux, le Booker Prize vient de connaître une petite et inexplicable vague de soutien en faveur de Tom McCarthy....

Il est des comparaisons audacieuses, et l'on ne s'étendra pas sur le sujet. Simplement, un reportage ici, une interview par là… et des chiffres. Des chiffres qui posent question. D'un côté, le marché du livre numérique en France. De l'autre, le marché… des voitures électriques. Rien à voir ? Eh bien, ce qui tenait de la réflexion amusée trouve de fait plusieurs échos… 

Mais comment diable arrivèrent-ils ici ?

Pour la 18e Édition du Prix du Sénat du Livre d’Histoire, le jury présidé par M. Jean-Noël Jeanneney a récompensé l’ouvrage suivant : Páscoa et ses deux maris Une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au XVIIe siècle. Ce titre de Charlotte de Castelnau-L’Estoile est publié aux Presses universitaires de France.

Pour cette année 2012, on espère que notre président saura se tenir, et ne pas lâcher une grosse vulgarité insultante comme il l'avait si bien fait en 2008. D'ailleurs, pour cette édition du Salon de l'agriculture, on se demande bien comment le livre pourrait trouver sa place... Facile, suffit d'aller voir du côté du MOTif.

Faut ce qu'il faut pour capter l'attention des jeunes. Et ce n'est souvent pas évident. Mais dans l'optique de la célébration de ses 100 ans, la bibliothèque publique de New York avait sorti le grand jeu.

C’est un beau livre, presque précieux, soigné, que nous avons entre les mains. Il n’est pas toujours nécessaire d’entamer une chronique par cette présentation, pourtant ici, la forme en elle-même pourrait tenir lieu d’incipit. Papier épais, typographie majestueuse, il y a quelquechose de noble derrière les mots de Thomas Vinau. On le sent, comme une promesse secrète, sous-jacente, qui nous souffle « bon voyage ».

Aujourd’hui, un roman de Fortuné de Boisgobey (1821-1891), Le crime de l’omnibus (1881) ; une curiosité assurément, mais dont la lecture reste un plaisir... peut-être parce que, comme le nom de son auteur, elle évoque un temps suranné. Avec ce texte, c’est tout un monde qui ressuscite, une ambiance qui annonce les enquêtes de Gaston Leroux ou de Maurice Leblanc. Plongeons-nous donc, ensemble dans le Paris de la fin du dix-neuvième siècle.

Par Hervé Bel

HIVER2024 - Habituée à conduire son autobus, elle a pris une direction inhabituelle ce jour-là : au lieu de tourner à droite en sortant de l'entrepôt, elle a choisi de partir à gauche.

Très intéressante chronique historique de Thomas Snégaroff diffusée ce matin sur France Info : alors que Paris accueille porte de Versailles son Salon du livre, en mai 1981, s’ouvrait la toute première édition de la manifestation. Un projet qui devait donner aux maisons d’édition un nouvel éclairage, et aux livres une plus grande visibilité.

À Paris, la poésie est partout. Dans cette ville Lumière, les poètes ont vécu mille et une histoires, sous les auspices de sainte Geneviève. La tour Montparnasse, construite à la fin des Trente Glorieuses sous Georges Pompidou, apparaît comme l’autre phare de la mythologie poétique.

Chaque année, une maison sort de son chapeau une idée amusante pour attirer l'attention sur elle. Le Salon du livre est un immense espace pour découvrir les richesses de l'édition francophone et internationale, mais encore faut-il savoir attirer les lecteurs à soi. Les éditions Estelas feront, assurément, parler d'elles en 2015.