Les Anges gardiens. Récit

Madison Avery: Ange GardienKim Harrison

La vingt-deuxième édition du prix Nice Baie des Anges a couronné, ce mardi 16 mai, Barbara Israël pour son roman Saint Salopard paru aux éditions Flammarion. 

La 27e édition édition du prix Nice Baie des Anges a couronné, ce 17 mai, Philippe Besson. Son roman Ceci n’est pas un fait divers, paru aux éditions Julliard, a été salué par le jury de la récompense, créée en 1996 à l'initiative de la ville. 

On connaissait déjà le roman personnalisable pour se retrouver aux côtés de toute la joyeuse équipe de Plus belle la vie. Voilà que c’est au tour de TF1 de s’y mettre afin d’encore mieux rentabiliser son concept d’ange gardien joué à l’écran par Mimie Mathy.

Face à une série de faux pas, d'égarements idéologiques et de déboires politiques, la réputation des penseurs et des érudits est mise à mal. Pourtant, à une époque marquée par d'innombrables bouleversements, notre société est en quête de direction, d'orientation et de vision. Plus que jamais, nous avons besoin de guides éclairés pour naviguer dans ce monde en constante évolution. Par Orélien Péréol.

Pour cette 43e édition du Prix maison de la presse, qui est remis ce jour au Centre national du livre, a été remis à Agnès Ledig, pour son ouvrage paru aux éditions Albin Michel, Juste avant le bonheur. 

L’affaire Alexandre Benalla – que certains préféreraient qualifier immédiatement d’affaire Macron – fait remonter l’éternel débat autour de la qualité de l’information. Débat problématique sur les niveaux d’information des membres du gouvernement. Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, en fait les frais. Sans compter ce que l’on peut lire sur les réseaux sociaux. Le président de la République reste pour l’heure silencieux.

Sophie, douze ans est télépathe et à une mémoire photographique. Grâce à sa mémoire, elle a sauté beaucoup de classe et s'ennuie en cours… Ses camarades ne l'apprécient pas, évidemment, c'est une surdouée. Un jour, à la visite d'un musée, elle va faire une rencontre qui va totalement changer sa vie : Fitz. Dès lors, elle va apprendre qu'elle n'est pas humaine, et que sa vie n'a été qu'un mensonge bien mené de bout en bout.

Le troisième volet des Gardiens de la galaxie de James Gunn est sorti ce mercredi en salle en France. Le réalisateur a annoncé qu'il s'agit de la dernière aventure pour l'équipe actuelle. Ce dernier volet ne signifie pas que la saga est terminée. Il est possible que d’autres films de la franchise soient produits dans le futur, avec de nouveaux personnages ou une nouvelle équipe de Gardiens. 

Quelques minables concours de miss dans la région où ses parents ont leur ferme, des trophées sans gloire et Monsieur X de l’agence Elite qui la repère.

Paris capitale de la mode, du luxe mais également le QG artistique et culturel de la France, là où les intellectuels se réunissent depuis quelques siècles déjà afin de discuter Art et de faire évoluer la société.

Le gardien des ténèbres Tome 1 : rencontrez les Anciens

Derrière la dernière superproduction de Disney, en association avec Marvel, les Gardiens de la Galaxie, on retrouve le réalisateur James Gunn. Et ce dernier, à qui l'on doit déjà le parodique Tromeo and Juliet, entend bien imposer sa touche personnelle, en se démarquant des classiques films de super-héros, rapporte Le Figaro, qui est allé à sa rencontre.

Avant de se réjouir du dernier roman d'Arto Paasilinna qui paraît en France, il est utile de lever l'agaçante ambigüité de l'éditeur à vouloir absolument le présenter sur son bandeau comme un livre nouveau et tant attendu : « Paasilinna, le grand retour ». Nouvellement traduit, peut être mais déjà vieux de plus de 10 ans en Finlande, écrit même avant les 10 femmes de l'industriel de Rauno Rämekorpi paru chez Denoël en 2009.

BONNES FEUILLES — Comment les anges vivent-ils ? Quelle est l'essence de leur existence ? Bien que leur véritable nature et leur forme ne soient pleinement connues que de Dieu, Emanuele Coccia nous offre un aperçu de ce que l'on peut comprendre sur la structure et les interactions sociales des anges.

ROMAN ETRANGER - « Guaglio » ! « Mon garçon » ! C'est ainsi que l'appelle, en napolitain, le patron chez qui il travaille maintenant ! Le patron d'une petite menuiserie du quartier dans lequel son père a réussi à le faire embaucher dès qu'il a eu quitté l'école. C'est normal de travailler. A treize ans ! C'est même extraordinaire car son père a fait en sorte de le laisser poursuivre des études bien au-delà de ce qui est obligatoire : pour qu'il ait un « meilleur niveau d'études ». Pour qu'il parle, écrive et comprenne l'italien alors que c'est seulement le napolitain qui est utilisé dans les rues, les petits commerces ou encore les docks où travaille son père.

Béatrice EgémarPrix Fulbert de la ville de Chartres

Exit les Avengers, l'été Marvel devra compter avec Les Gardiens de la Galaxie (Guardians of the Galaxy), une nouvelle équipe de super héros, essentiellement composée de bras cassés. Star-Lord, Rocket Raccoon, Groot, Gamora et Drax le Destructeur apparaissent dans une nouvelle bande-annonce, avec l'intention de tout exploser. Y compris le box-office.

La NHLM, c'est la ligue nationale de Hockey aux États-Unis, qui a priori n'aurait rien à faire dans nos colonnes, si le créateur de comics, Stan Lee, ne s'en était pas mêlé.

Sur les Terres d’Antyras – pays matriarcal – la magie n’existe pas. Les humains y vivent docilement sous l’égide du Grand Temple et de ses représentantes omniprésentes : les Mères. 

Village des arts : la lithographie, passeurs et gardiens...

Le Vatican met des bâtons dans les roues à Anges et démons

La société de développement et l'éditeur américain de jeu vidéo Telltale Games est l'un des plus plébiscités de l'industrie, après le succès de sa série The Walking Dead, adaptée du comics de Robert Kirkman et Charlie Adlard. C'est Marvel, cette fois, qui lui confie un de ses bébés avec Les Gardiens de la Galaxie.

Un recueil simple, comme une journée d’hiver. Ou, dit autrement, un livre de « recettes d’hiver » pour « quand la vie est dure », pour supporter les jours qui raccourcissent et les températures qui baissent, pour supporter le moment où l’on doit accepter que « tout est changement […] et tout est relié. — Également, tout revient, mais ce qui revient n’est pas ce qui est parti. »

Un livre blanc. La neige, comme héroïne. Le silence qu'elle répand. Le vent qui l'anime et la malmène ; elle virevolte et entraîne le lecteur dans son tourbillon. Le froid qui la transforme en glace, conduit au désarroi, au chagrin, à la folie, à l'abandon, à la solitude et à la mort,  et pétrifie le lecteur transi. Une blancheur éblouissante où les fantômes s'attardent, où la réalité vacille lorsque la rudesse de l'hiver oppresse et agresse. Une blancheur triste, dévoreuse d'hommes qui illumine pourtant chaque page de ce roman. Un blanc majestueux et pur.

Les aides attribuées aux professionnels de l’édition québécoise avaient beaucoup fait jaser, alors que s’ouvrait le Salon du livre de Montréal. En cause, le versement de subventions à hauteur de 1,1 million $ à l’enseigne Renaud Bray, par l’organisme de la Province, la Sodec. Un montant que les libraires indépendants considéraient comme leur revenant – et certainement pas destiné à une chaîne.