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Le voleur

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Cécile Coulon

Née le 13 juin 1990, Cécile Coulon publie son premier roman à l'âge de 16 ans, Le Voleur de vie, en 2007, aux éditions Revoir. En 2010, elle récidive avec Méfiez-vous des enfants sages, aux éditions Viviane Hamy. Ses talents sont rapidement remarqués, puisqu'elle reçoit le Prix Mauvais genre dès 2012.

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Dossier

Quand ranger ses livres n'est plus un casse-tête

Agencer ses livres, les organiser, les mettre en valeur dans un intérieur, et par conséquent habiller, voire décorer ce dernier... Ce dossier soumet des propositions de rangement avec une ambition : rehausser un espace bibliothèque. Dans toutes les pièces de la maison, apporter une coloration culturelle à son chez-soi, et ce, à travers des étagères originales.

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Dossier

Foire du livre de Londres

Née en 1971, la Foire du Livre de Londres est l'un des plus importants événements consacrés au livre d'Europe : elle se déroule chaque année à Londres et s'adresse uniquement aux professionnels, sur 3 journées consécutives auxquelles s'ajoutent souvent des ateliers ou des journées d'étude. Pensée comme une grande plateforme d'échanges de droits, la Foire développe depuis plusieurs années un côté transmédia, pour mettre en valeur le cinéma, la télévision ou encore les jeux vidéo, parallèlement aux livres.

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Dossier

Les Imaginales 2023 : Le futur de la cité

Depuis sa création en 2002, le festival des Imaginales a su s'imposer comme l'un des rendez-vous majeurs des Littératures de l'imaginaire. Des milliers de passionnés se rassembleront à Épinal, du 25 au 28 mai prochain, pour découvrir les derniers ouvrages de science-fiction, fantasy, horreur... 

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Dossier

Stan Lee, la géniale incarnation de la maison Marvel

Né en 1922, Stanley Martin Lieber, alias Stan Lee, avait en tête, dès son plus jeune âge, l'écriture d'un « grand roman américain » : sa carrière en tant qu'auteur et éditeur lui aura permis de participer à la construction d'un véritable empire du divertissement, Marvel Comics.

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Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

Extraits

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Littérature française

Le voleur

" Education. La chasse aux instincts. On me reproche mes défauts ; on me fait honte de mes imperfections. Je ne dois pas être comme je suis, mais comme il faut. Pourquoi faut-il ?... On m'incite à suivre les bons exemples ; parce qu'il n'y a que les mauvais qui vous décident à agir. On m'apprend à ne pas tromper les autres ; mais point à ne pas me laisser tromper. On m'inocule la raison - ils appellent ça comme ça - juste à la place du cœur. Mes sentiments violents sont criminels, ou au moins déplacés ; on m'enseigne à les dissimuler. De ma confiance, on fait quelque chose qui mérite d'avoir un nom : la servilité ; de mon orgueil, quelque chose qui ne devrait pas en avoir : le respect humain. Le crâne déprimé par le casque d'airain de la saine philosophie, les pieds alourdis par les brodequins à semelles de plomb dont me chaussent les moralistes, je pourrai décemment, vers mon quatrième lustre, me présenter à mes semblables. J'aurai du savoir-vivre. Je regarderai passer ma vie derrière le carreau brouillé des conventions hypocrites, avec permission de la romantiser un peu, mais défense de la vivre. J'aurai peur. Car il n'y a qu'une chose qu'on m'apprenne ici, je le sais ! On m'apprend à avoir peur. "

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Littérature française

Le voleur

Georges Randal, jeune homme de bonne famille promis à l'existence d'un bon bourgeois, découvre sa vraie vocation quand son oncle le dépouille de son héritage. Il sent alors peser sur lui l'obligation morale de ne pas être complice des voleurs légaux : révolté contre le monde où il vit il fera du vol son métier. Il est vite repéré par le mystérieux abbé Lamargelle qui l'introduit dans la confrérie des voleurs et l'élite de la canaille. Suivent diverses aventures provoquées par des hasards et des rencontres dans des décors de théâtre et de bals masqués où les rideaux dissimulent des ombres et où les cadavres se mettent à parler. Mais l'essentiel n'est pas là car Georges Darien, anarchiste militant (et peut-être lui-même voleur professionnel, le doute demeure), se soucie peu d'écrire un roman traditionnel. Ses personnages, libérés des servitudes et des lâchetés bourgeoises, improvisent entre deux cambriolages des réquisitoires passionnés contre une société qui non seulement permet et encourage le vol légal, mais encore "poursuit, avec le knout du respect, l'unité dans la platitude" . Selon André Breton, "Le voleur", où se mêlent le romanesque le plus fantaisiste et la satire sociale la plus âpre, "est le plus rigoureux assaut que je sache contre l'hypocrisie, l'imposture, la sottise, la lâcheté" .

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Littérature française

Le voleur

Georges Randal, jeune homme de bonne famille promis à l'existence d'un bon bourgeois, découvre sa vraie vocation quand son oncle le dépouille de son héritage. Il sent alors peser sur lui l'obligation morale de ne pas être complice des voleurs légaux : révolté contre le monde où il vit il fera du vol son métier. Il est vite repéré par le mystérieux abbé Lamargelle qui l'introduit dans la confrérie des voleurs et l'élite de la canaille. Suivent diverses aventures provoquées par des hasards et des rencontres dans des décors de théâtre et de bals masqués où les rideaux dissimulent des ombres et où les cadavres se mettent à parler. Mais l'essentiel n'est pas là car Georges Darien, anarchiste militant (et peut-être lui-même voleur professionnel, le doute demeure), se soucie peu d'écrire un roman traditionnel. Ses personnages, libérés des servitudes et des lâchetés bourgeoises, improvisent entre deux cambriolages des réquisitoires passionnés contre une société qui non seulement permet et encourage le vol légal, mais encore "poursuit, avec le knout du respect, l'unité dans la platitude". Selon André Breton, "Le voleur", où se mêlent le romanesque le plus fantaisiste et la satire sociale la plus âpre, "est le plus rigoureux assaut que je sache contre l'hypocrisie, l'imposture, la sottise, la lâcheté".

04/2023

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Lecture 9-12 ans

Le vrai voleur

Gardien en chef du Trésor Royal, Gauvain l'oie est le seul à détenir les clefs de la chambre forte du palais de son Altesse, l'ours Basil. Or, stupeur ! Le nombre de rubis diminue de jour en jour. Pire : le très précieux diamant "Kalikak" disparaît. Les soupçons pèsent sur l'honorable, l'irréprochable Gauvain.

10/2017

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Policiers

Le voleur de nuits

Clara reçoit un jour un appel téléphonique inattendu de Jérôme, un homme qu'elle a dû abandonner vingt ans plus tôt pour en épouser un autre. Sa passion pour elle semble intacte. Elle accepte de le revoir. Au fur et à mesure de leurs rencontres, elle s'interroge sur ses véritables intentions, au point de se confier à l'un de ses amis policier. Son coeur rejetant sans cesse les objections soulevées par sa raison, reste sans réponse en l'état la question de savoir si son amour d'antan l'a contactée par nostalgie ou pour se venger d'elle. Seuls des éléments alarmants semblent devoir répondre à cette question. Ce roman porte en lui une réflexion sur la limite entre la passion amoureuse et les troubles psychiques. Quand la folie se substitue-t-elle au romantisme ?

06/2020

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Poésie

Le voleur de souffle

Il y a en nous beaucoup de pensées, d'arts, de savoirs. Certains explorent des univers, nos désirs, et notre mémoire. Pourtant le passage du vent sur les blés nous parle plus qu'aucun livre ; un simple chant d'oiseau nous creuse parfois d'un vide que rien ne comble ; le vacillement d'un regard, un nuage qui se déchire, nous arrachent soudain à toutes nos certitudes. C'est peut-être que ce qui nous concerne vraiment n'est pas de maîtriser ou comprendre, ni même de veiller ou d'être fraternels. Nos paroles sont-elles si fondamentales, si nécessaires ? Est-ce qu'elles ne commencent pas à vivre seulement lorsqu'elles deviennent peu sûres, passantes et défaites, mourants lambeaux comme nos instants ? Lorsqu'elles nous livrent moins au pouvoir des faits et à l'esprit du moment qu'aux tensions et aux luminescences qui nous en délivrent. Comme si le langage ne nous forunissait aucun moyen ni aucune vérité mais ne s'animait qu'à notre insu dans notre respiration la plus démunie.

04/1991

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