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La tyrannie de la pénitence. Essai sur la masochisme occidental

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Dossier

Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

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Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Dossier

Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

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Dossier

Yasmina Khadra : le goût de la liberté

Il est aujourd'hui le romancier algérien le plus lu au monde, et l'un des auteurs francophones les plus traduits sur la planète. Yasmina Khadra est entré dans le Petit Robert en 2014, alors que sortait son nouveau roman, Les anges meurent de nos blessures. À cette occasion, il assurait, comme une poétique de son écriture : « Je suis responsable de chaque mot dans mes livres. Je peux me tromper, mais je ne triche pas. J’explique ce que je crois avoir compris, raconte ce que je crois savoir. »

Extraits

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Sciences politiques

La tyrannie de la pénitence. Essai sur la masochisme occidental

" Le monde entier nous hait et nous le méritons bien telle est la conviction d'une majorité d'Européens et a fortiori de Français. Depuis 1945, notre continent est habité par les tourments de la repentance. Ressassant ses abominations passées, les guerres incessantes, les persécutions religieuses, l'esclavage, le fascisme, le communisme, il ne voit dans sa longue histoire qu'une continuité de tueries qui ont abouti à deux conflits mondiaux, autant dire à un suicide enthousiaste. A ce sentiment de culpabilité, une élite intellectuelle et politique donne ses lettres de noblesse, appointée à l'entretien du remords comme jadis les gardiens du feu : " l'Occident " serait ainsi le débiteur de tout ce qui n'est pas lui, justiciable de tous les procès, condamné à toutes les réparations. Dans cette rumination morose, les nations européennes oublient qu'elles, et elles seules, ont fait l'effort de surmonter leur barbarie pour la penser et s'en affranchir. Et si la contrition était l'autre visage de l'abdication ? " PB

10/2006

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Sciences politiques

La Tyrannie de la pénitence. Essai sur le masochisme occidental

Le monde entier nous hait et nous le méritons bien, telle est la conviction d'une majorité d'Européens et a fortiori de Français. Depuis 1945, notre continent est habité par les tourments de la repentance. Ressassant ses abominations passées, les guerres incessantes, les persécutions religieuses, l'esclavage, le fascisme, le communisme, il ne voit dans sa longue histoire qu'une continuité de tueries. A ce sentiment de culpabilité, une élite intellectuelle et politique donne ses lettres de noblesse, appointée à l'entretien du remords comme jadis les gardiens du feu. Dans cette rumination morose, les nations européennes oublient qu'elles, et elles seules, ont fait l'effort de surmonter leur barbarie pour la penser et s'en affranchir. Et si la contrition était l'autre visage de l'abdication ? P. B.

11/2008

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Psychologie, psychanalyse

Masochisme mortifère et masochisme gardien de la vie

Il n'y a pas selon l'auteur, de théorie possible du masochisme sans la pulsion de mort et, d'autre part, le masochisme est le témoin ou l'expression par excellence de la pulsion de mort. Le masochisme "érotise" et lie la destructivité issue de la pulsion de mort, la rendant ainsi supportable et, dans certaines conditions, limitant sa dangerosité. C'est ainsi que le masochisme devient le "gardien de la vie psychique".

01/1991

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Philosophie

De la tyrannie

A partir d'un commentaire original, méticuleux et approfondi du Hiéron de Xénophon, Leo Strauss cherche à dégager les cadres d'une réflexion " classique " sur la tyrannie, et prétend qu'il est possible de comprendre, à partir de la pensée des Anciens, les formes dites modernes de totalitarisme dont il a été directement contemporain. Kojève, qui s'adosse, en revanche, à une lecture de Hegel et fait valoir la singularité des formes modernes de domination, lui répond (Tyrannie et sagesse) et amorce ainsi une discussion de fond (qui se poursuit dans la Mise au point de Strauss) sur l'histoire et les présupposés de la réflexion politique en général : y a-t-il une " nature humaine ", essentielle par rapport aux changements contingents des formes de domination ? " L'histoire " n'est-elle finalement qu'une " illusion " ? Est-il possible d'en imaginer la " fin " ou bien n'est-elle que le terrain où se répètent un petit nombre de possibilités dont la nouveauté n'est qu'apparente ? C'est Kojève qui a pris l'initiative de réunir en un volume les différentes phases de cette discussion qui tourne autour de la question cruciale du XXe siècle : l'historicisme et son corollaire le relativisme. La correspondance (publiée pour la première fois en français) échangée entre les deux penseurs, amis bien qu'adversaires résolus sur le plan philosophique et réunis par une estime réciproque assez exclusive, révèle les coulisses de cette discussion, et montre l'arrière-plan événementiel et théorique où elle se déroule : le Paris des années 1930 et 1950, l'Europe qui va basculer dans la Seconde Guerre mondiale, et le choc entre deux interprétations de la philosophie antique où la figure de Heidegger est constamment présente.

07/1998

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Sociologie

La tyrannie de la réalité

Peu d'idées sont autant galvaudées aujourd'hui que celle de " réalité ". Hommes politiques, chefs d'entreprise, mais aussi économistes, romanciers s'en réclament : seul le réalisme semble recevable, et il suffit à tout justifier. La réalité constitue désormais, dans notre mentalité collective, la valeur étalon. Elle est le nouveau dieu que nous vénérons ; le dernier qui reste en magasin, peut-être. Mona Chollet épingle l'usage pernicieux de cette notion dans tous les types de discours et démontre pourquoi l'injonction réaliste relève de l'imposture. Dans ce livre mordant et salutaire, elle met à nu l'idéologie implicite de certains " réalistes ", elle ouvre aussi joyeusement un chemin de traverse. Elle nous rappelle les bienfaits de l'imagination et du rêve, non pas pour " fuir la réalité ", mais au contraire pour se donner une chance de l'habiter pleinement.

03/2006

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Histoire et Philosophiesophie

La tyrannie de la science

Ce dernier ouvrage de l'" enfant terrible " de la philosophie des sciences est issu d'une série de conférences données par Paul Feyerabend en 1992. Il offre une synthèse de sa pensée sous une forme particulièrement vivante, faisant place aux questions des auditeurs. Le Feyerabend qui se dévoile dans ce livre est dépourvu de l'arrogance quelque peu provocatrice dont il pouvait faire preuve auparavant, notamment dans Contre la Méthode et dans Adieu la Raison. S'il est toujours aussi vif dans son expression, il est beaucoup plus souple quant à la formulation de ses thèses radicales, revendiquant assez souvent la légitimité de l'ignorance. Il ne faut pas voir le titre comme une charge sans nuances contre la science, mais bien plutôt comme une protestation contre l'unilatéralisme de la pensée quand elle se revendique de la science seule. Feyerabend montre que nombre de considérations sur la nature des théories scientifiques sont tout simplement erronées et qu'elles conduisent à des généralités abstraites sans effets sur les problèmes les plus pressants de l'humanité - guerre, pauvreté, etc. Il conclut sur une défense iconoclaste de la valeur de l'expérience pratique pour équilibrer les prétentions d'une théorisation à tout-va.

09/2014

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